Suite Et Fin Avec Aurore
Dans mon dernier récit, Aurore, ma petite amie coincée du moment, avait subit une transformation de comportement.
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Désormais nous faisions l'amour tous les week end, devant la TV le samedi soir lorsque ses parents étaient au lit, ou en balade la journée dans divers endroits. Les parents d'Aurore faisaient refaire un vieux château à quelques kilomètres de leur résidence principale, et nous avions pris l'habitude d'y aller pour "surveiller l'avancement des travaux" mais surtout pour s'arrêter en forêt pour sadonner à tous nos plaisirs les plus fous.
Aurore n'était pas encore au niveau de Claire (de mon premier récit) mais elle me suçait formidablement bien en me fixant du regard jusqu'à ce que j'éjacule soit sur son visage, soit dans sa bouche lorsqu'on était chez elle (plus pratique pour le nettoyage). Elle n'aimait pas la sodomie et cela ne me dérangeait pas car j'avais tout de même le droit de jouer avec son petit trou avec mes doigts. Aurore empruntait le matériel de sa mère qui se faisait des lavements (sa mère prenait des médicaments pour maigrir et se rinçait le colon, c'était une dingue du régime). Je devais régulièrement lui lécher l'anus durant nos 69...
Bref... Aurore avait bien changé et j'étais ravi.
Un week end, celle ci me demanda comment je trouvais une de ses copines : Perrine.
Elles avaient le même âge et étaient dans la même classe. Celle ci était plutôt bien en chair et en était complexée. C'était la meilleure amie d'Aurore et elle était au courant de tout ce que je faisait subir à sa copine. J'étais méfiant sur la question d'Aurore car malgré son ouverture sexuelle, son sale caractère n'avait pas changé.
Aurore : Comment tu trouves Perrine ?
Nelson : Je sais pas trop pourquoi ?
A : Non mais sérieux, je voudrais vraiment savoir ce que tu penses d'elle physiquement.
N : Ben écoutes, si c'est sur ses rondeurs que tu veux avoir mon avis, tu pourras lui dire que pas mal d'homme aiment cela mais que les jeunes ne l'assument pas.
A : Et toi tu aimes ?
N : Honnêtement, et ne me fais une crise de jalousie, oui j'aime bien. Mais c'est vrai que le regards de mes potes me ferait chier...
A : Oui ben justement, elle déprime en ce moment car elle est toujours pucelle et qu'elle ne trouvera personne.
N : Faut pas dire ça, faut être patient et je suis sur qu'un mec fera le premier pas si ce n'est pas elle.
A : Tu la baiserais toi ?
N : Ben oui mais où tu veux venir toi ?
A : Et si je te disais que je lui avait proposé de se faire dépuceler par toi ?
N : T'es sérieuse là ?
A : Ben oui la pauvre avec tout ce que je lui raconte, elle est dégoutée de pas avoir de mec. En plus tu lui plais aussi.
N : Et tu n'es pas jalouse là ?
A : Non parce que c'est MA copine et que c'est MOI qui propose. Alors tu dis quoi ? Je l'ai invité le week end prochain...
N : D'accord... mais à une seule condition... (sur le moment, pour une fois, j'avais envie d'exposer mes doléances)
A : Ben quoi ?
N : Ben écoutes tu me demandes de dépuceler ta copine, alors moi je veux que tu le fasses avec moi... que vous fassiez des trucs devant moi.
A : Quoi t'es malade ? J'suis pas une lesbienne moi ! Tes trucs de pervers tu peux toujours rêver pour les avoir !
C'était notre première "grosse" dispute. Aurore ne s'attendait pas à ce genre de fantasme de ma part. Pour une fois je lui ai tenu tête et notre week end s'acheva le samedi après midi. J'étais en rogne et j'en avais marre de tous ses caprices.
C'est seulement le mardi que je reçu le premier SMS de sa part. Mademoiselle s'excusait de son comportement de gosse trop gâté... pour une fois !
Elle m'avait également confié que sa copine Perrine était prête à essayer et qu'elle s'était déjà embrassée et que finalement ce n'était pas si terrible.
Pour une fois, c'est moi qui tenais les rennes.
J'étais terriblement excité de pouvoir réaliser mon fantasme de coucher avec 2 femmes et je me suis masturbé toute la semaine comme un fou. Le vendredi matin, Aurore m'appris que ses parents allaient en week end... et a vrai dire je me foutais pas mal d'où. Le principal c'était que nous allions avoir la maison pour nous trois sans être dérangé !
Le samedi, à 13h, je sonnais à la porte. Aurore m'ouvra.
A : Bonjour mon doudou !
La porte fermée, j'embrassais Aurore à pleine bouche. Cette dernière me confirma que ses parents étaient absent en se laissant faire. Elle était en jupe et j'en profitait donc pour passer mes main dessous. Elle n'avait pas de culotte.
N : Perrine est dans ta chambre ?
A : Oui.
N : Vous étiez en train de vous bouffer la chatte ?
A : Oui pour être sur d'être prête...
N : Et alors tu aimes ça ? (Aurore me regardait dans les yeux timidement)
A : Oui ça va... je l'ai rasé car elle était comme moi.
N : Ok... bon on y va ?
Perrine était assise sur le lit d'Aurore. Elle était en robe longue et on devinait qu'elle n'avait pas de soutient gorge. Malgré sa corpulence, ses seins étaient petits. J'avais hâte de voir tout ça et c'est moi qui débuta la conversation.
N : Salut Perrine. Ça va pas trop le trac ?
P : Si, un peu beaucoup même....
N : Faut pas t'en faire. Je vais tout faire pour que tu te sentes bien d'accord ?
P : D'accord...
N : D'accord Aurore ?
A : Oui...
N : On pourrait commencer par s'embrasser ?
J'approchais de Perrine et je l'embrassais à pleine bouche comme avec Aurore.
Je proposait maintenant de nous mettre entièrement nu.
N : Vous êtes belle les filles. (Perrine serait timidement les jambes et cachait son ventre)
Détends toi Perrine, je te trouve super sexy. Allonges toi, je vais me mettre à côté de toi avec Aurore.
J'embrassais Perrine pendant qu'Aurore lui léchais le cou. Je pris la main de ma copine pour lui poser sur la fente de la sienne. De mon coté, je malaxais les seins de Perrine dont la respiration avec accéléré.
N : Maintenant, j'ai envie de vous voir à luvre. Aurore m'a dit que vous étiez ok pour un 69 maintenant, c'est ça ?
P : Oui !
A : Je me mets au dessus.
Les deux copines se léchait bien comme il fallait. Je faisait le tour afin de bien observer la scène de tous les angles. Je me masturbais de joie. J'étais comblé...
Je revins en face de la chatte de Perrine pour présenter mon sexe à ma copine. Elle alterna entre la fente et mon sexe, pour mon plus grand plaisir. Les préliminaires semblèrent durer des heures. Tout le monde avait sucé et léché tout le monde.
La première à se faire pénétrer fut Aurore. Elle avait les fesses bien en l'air pour que Perrine lui lèche l'anus, sur mon ordre, pendant que je la prenais en levrette. Je demandais à Perrine de me regarder dans les yeux quand je lui mettais mon sexe dans la bouche et il me fallut un gros effort pour ne pas éjaculer tout de suite.
N : Bon Perrine, tu es prête pour l'assaut final ?
P : Oui, je vais me mettre sur le dos...
A : Tu fatigues un peu ?
P : Un peu ouais...
N : Mets toi bien à l'aise. Aurore va te lécher une dernière fois pendant que j'enfile la capote. Tu vois j'ai pas oublié.
Aurore sexécuta avec un certain plaisir et elle me suça une dernière fois avec mon préservatif pour me lubrifier.
J'entrais maintenant dans Perrine. J'y allais avec prudence mais détermination. Aurore s'était allongée à coté de sa copine et lui tenais la main. Elles s'échangeaient des baiser avec la langue bien tendu ce qui mexcitait au plus haut point.
La fente de Perrine saigna légèrement mais elle ne semblait pas souffrir. Elle jouissait d'une pénétration pour la première fois. Aurore lui embrassait le front avec tendresse. C'était beau...
Perrine relâcha sa tête en arrière dans un dernier râle de plaisir.
J'en profitais pour ôter mon préservatif ensanglanté.
N : Je vais me finir sur vous les filles.
A : Viens mon doudou !
Je présentais mon sexe au dessus de la tête de Perrine et Aurore le pris en bouche directement. Sa copine était fatigué et avait les yeux mi clos. Elle me léchait les boules sur ordre d'Aurore qui semblait excitée par ce qui les attendait.
Jéjaculais sans retenu dans la bouche à moitié fermée d'Aurore. Mon sperme s'en échappait pour atterrir sur le visage de Perrine. J'étais aux anges et je le faisais savoir en râlant longuement de plaisir.
N : Lèches lui le visage, Aurore !
Aurore sexécuta une fois de plus alors que mon sexe avait gagné la bouche de sa copine, trop fatiguée pour protester contre ses premières goutes de sperme dans la bouche, ou bien très satisfaite de la situation. Lorsqu'elle demanda à Aurore de lui en mettre dans la bouche, je compris que c'était la deuxième solution...
Perrine était tellement inondée d'histoire salace durant la semaine qu'elle voulu tout essayer durant le week end. Ce fut une expérience inoubliable.
Après négociation et deux bons lavements avec les instruments de la belle mère, Perrine accepta même de se faire éjaculer dans la bouche (à distance quand même) après sêtre fait sodomiser à s'en retrouver trempée de sueur. Les deux filles étaient à mes ordres et me trouvaient parfois tordu, surtout quand je leur demandais de séchanger mon sperme de bouche en bouche.
Je suis rentré chez moi le dimanche à 3h du mat avec en cadeau le culotte de Perrine plein de mouille. Aurore ne voulu pas me donner la sienne... comme si ça mère comptait le linge...
Plusieurs semaines passèrent. Aurore couchait avec moi le week end et avec sa copine la semaine. Perrine, qui avait pris confiance en elle, trouva finalement un copain. C'était un petit gringalet boutonneux. Aurore ne manqua pas de me raconter comment Perrine s'en occupait.
Tout allait bien avec Aurore lorsqu'un jour elle mannonça que ses parents avaient décidé de se séparer. Aurore allait vivre avec sa mère dans le sud de la France et on ne se verrait plus...
Un week end, alors que les beaux parents découchaient de nouveau (mais pour faire quoi du coup ? j'ai jamais su), Aurore me présenta sa demi sur.
Elle avait dans la trentaine, elle été grande et bien en chair mais sans être trop grosse et avait les cheveux court. Elle était avec un étranger, un kurde, je crois. Il parlait en anglais pour se faire comprendre donc aucun sujet de conversation pour moi. Nathalie proposa à sa petite sur de profiter de l'occasion pour m'inviter à dormir chez elle. C'était pour moi l'occasion de passer une dernière nuit de débauche.
La belle sur dormait avec son homme dans le grenier aménagé donc on était tranquille pour le bruit (et puis elle était au courant elle).
Pour une nuit de débauche, ce fut une nuit de débauche. Aurore était déchainée et fatiguée de sa semaine en même temps. Je fut obligé de la nettoyer après notre dernier ébat car elle s'était endormie.
Moi je fut agacé par un problème technique qui m'a longtemps soulé : le papier toilette qui colle sur le gland... je sais c'est con mais depuis j'utilise des lingettes !
Je décidais donc d'aller me nettoyer à l'eau dans la salle de bain. Arrivé sur place, je tentais de retirer les derniers morceaux de PQ avant d'ouvrir le robinet de la douche.
Tout d'un coup, Nathalie pénétra dans la salle de bain.
J'étais derrière la porte que j'avais laissé ouverte et elle ne m'avait pas vu. La lumière éteinte (je me débrouillais au clair de lune), Nathalie ne pouvait pas se douter de ma présence. Elle ferma la porte et eu un petit cris de surprise.
Nath : Mais qu'est ce que tu fais là toi ?! (Je voyais au clair de lune qu'elle ne portait que son débardeur et qu'elle avait un morceau de papier entre les jambes)
Nelson : Ben... je crois que je suis venu me nettoyer comme toi.
Nath : ... ok....
Nous sommes restés quelques seconde sans rien dire, tout bête.
Nathalie rompu le silence et rigolant sans faire de bruit.
Nath : Bon... on va pas faire de scandale, après tout on est là pour la même chose. Surtout fais pas de bruit car mon copain est super jaloux.
Nelson : Ok alors comment on procède ?
Nath : Tu veux faire quoi toi ? Et aurore elle ne va pas te rejoindre ?
Nelson : Non elle s'est endormie, et je voudrais me laver la ...
Nath : Ok... ben moi aussi. Prends la douche et moi le lavabo. Bon j'allume hein ?
Nelson : si ça te déranges pas...
Nathalie alluma la lumière et se dirigea d'abord vers les toilettes. Elle retira son bouchon de papier pour laisser s'échapper le sperme de son copain, le tout dans un bruit que je ne pu pas faire semblant de ne pas entendre. De mon coté, je fis couler l'eau sur mon sexe, au dessus de la baignoire, et le nettoya avec du gel douche. Quand je me suis retourné, Nathalie avait les jambes écartées à coté du lavabo et se nettoyait sa fente parfaitement lisse.
Nath : T'as fini ?
Nelson : Ouais.
Nath : Et tu fais quoi tu me regardes ?
Nelson : ...ouais.
Nathalie sessuya l'entre jambe et se redressa en ajoutant "J'ai fini". On était maintenant face à face, à quelque mètres, sans rien se dire. Lorsque je posais ma serviette sur le rebord de la baignoire, Nathalie porta son regard sur mon sexe qui commençait à regagner en raideur.
Après un moment de silence pesant Nathalie pris la parole.
Nath : Qu'est ce qu'on fait ?
Nelson : je sais pas et toi ?
Nath : On va se coucher ?
Nelson : Pas envie.... (mon sexe était devenu parfaitement dur à cause de cette situation)
Nath : ... Tu veux quoi ?
Je ne répondais pas.
Nath : Aller tu veux quoi ? Dis moi le fond de ta pensée.
Nelson : Je veux te prendre en levrette pour ensuite finir dans ta bouche.
Nath : J'avale pas.
Sur cette dernière parole, Nathalie se tourna pour s'appuyer contre la baignoire. Elle écarta ses fesses et c'est sans attendre que mon sexe gagna sa fente.
Ses fesses n'étaient pas très régulières et cela m'excitait terriblement. J'avais l'impression de voir les fesses de Perrine.
Notre coït était silencieux. Nathalie lâchait parfois des "ptits salaud", ce à quoi je répondais par des "cochonnes".
Au bout de quelques minutes, je faisais mettre Nathalie à genoux face à moi.
Nath : Javale pas hein !
Nelson : Oui oui mais tu vas me sucer quand même !
Je voyais que Nathalie était un peu dégoutée de devoir avaler ce qu'elle avait déposé sur mon sexe. Je retirais rapidement mon sexe de sa bouche pour lui éjaculer au visage.
Nelson : Ouvres la bouche, tu vas me la nettoyer comme ta sur.
Nath : Ptit salaud va...
Malgré sa réticence, Nathalie me suça jusqu'à ce qu'un dernier jet de sperme lui percute le fond de la gorge.
Je la laissais se nettoyer pour de bon et je regagnais la chambre d'Aurore avec le sexe encore tendu.
Sans refermer la porte en entier, je me plaçais de nouveau entre les jambes d'Aurore, toujours endormie suite à nos ébats. Je la pénétrais direct et celle ci se réveilla à moitié. Elle souriait de me voir à nouveau à luvre. Ce qu'elle ne vit pas, c'est que c'est sa grand sur qui ferma doucement la porte avant de remonter se coucher.
C'est ainsi qu'Aurore et moi finirent notre relation, une dernière fois au lit. Après son déménagement, on a cessé de se voir. Tout simplement...
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