La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°280)

Suite de l'épisode précédent N°279 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -

La soumise s’exécute sans oser même lever la tête, un peu gênée de devoir se mettre nue devant celui qu’elle ne connaissait pas quelques minutes plus tôt, et tout autant excitée de se sentir si vulnérable et docilement prête à s’exécuter, se dépêchant d’ôter tous ses vêtements, de défaire le chemisier de soie qui est en loques et dont les boutons et boutonnières ont été arrachés de force. Elle est en train d’enlever sa petite culotte blanche en dentelles quand Walter reprend, tout en profitant de l’occasion pour glisser sa volumineuse main dans la chatte mouillée de la soumise qui vient de lever une jambe après l’autre pour défaire son string.

- Attends un peu, donne moi ce truc là. Je vais lui trouver une bien meilleure place qu’entre tes cuisses.

Alors qu’elle n’a même pas pu encore enlever ses bas et ses escarpins à talons, le majordome roule en boule le string humide et lui fourre aussi sec dans la bouche, avant de la forcer à se mettre sans tarder à genoux en lui appuyant fortement sur les épaules pour la faire plier. D’une tape sur la nuque, il l’oblige aussi à se mettre à quatre pattes.

- Voilà comment tu aurais dû être prête ce matin. Nue, humble et courbée, attendant de recevoir les ordres de ton Maître par mon entremise et non pas vêtue en femme d’affaires, libre et indépendante, prête à rentrer chez elle pour reprendre son activité après un week-end où il paraît, néanmoins, que tu as excellé. C’est bien parce que ton Maître est fier de ta prestation et qu’IL m’a chargé de te le redire, que je vais peut-être retenir mon bras tout à l’heure quand tu seras punie. Sache que dans quelques jours, tu auras l’honneur de pouvoir rejoindre le Château du Marquis d’Evans pour y parfaire ton dressage. Tout à l’heure dans la voiture, je te ferai passer toutes les consignes. Mais en attendant, lève-toi…

Le majordome tourne autour de la soumise qui a baissé la tête et les yeux, ne se gênant pas pour la palper de tous les côtés comme s’il voulait prendre pleinement connaissance d’un corps qu’un jour il pourra chevaucher tout à son gré.

Il passe la main sur ses deux fesses plantureuses, en tâtant la fermeté et n’hésitant pas à terminer son geste par une fessée bien appuyée. Il att ensuite les deux seins de la poitrine généreuse de Thaïs, les malaxant comme pour les pétrir et se plaisant en outre à pincer et à étirer fortement les tétons de la belle qui deviennent vite érigés sous la pression à laquelle elle n’ose se soustraire.

- Ecarte les jambes, que je vois si tu es bien la chienne lubrique laquelle ton Maître m’a dressé le tableau.

Thaïs s’exécute et se sent très mal à l’aise de sentir cet homme qui lui fait peur, qui passe allégrement sa main dans son intimité, plongeant tous ses doigts dans sa chatte avant d’enfoncer l’un d’eux dans son anus. Elle se demande s’il a l’habitude d’inspecter ainsi toutes les soumises du Marquis d’Evans quand il les rencontre pour la première fois. Mais d’être ainsi fouillée sans pouvoir dire quoi que ce soit, elle ne peut s’empêcher de se sentir excitée, même si elle aurait voulu n’en laissé rien paraître et pouvoir rester maître de ses réactions intimes et féminines. Walter ressort sa main trempée, ôte le string qui avait servi de bâillon, et approche ses doigts de la bouche de Thaïs.

- Lèche bien, car tu n’es bonne qu’à cela, sortir la langue et me nettoyer la main que tu as rendue toute poisseuse. Tu mouilles dès qu’on te touche, prête à te laisser enfiler par n’importe qui à ce que je vois. Moi, qui m’imaginais que tu n’avais des sentiments que pour ton Maître Vénéré, juste prête à lui plaire et à satisfaire chacun de Ses désirs et exigences. Tu me donnes des idées perverses, petite cochonne…

Thaïs se sent de plus en plus gênée et humiliée de la situation et des propos désobligeants de celui avec qui elle va devoir rester pendant le voyage et sûrement plusieurs jours si elle doit séjourner au château, ne sentant en lui aucune compassion et commençant même à se demander s’il s’en tient bien à l’accomplissement strict des ordres de son patron, tant il semble prendre plaisir à profiter de la situation en l’humiliant de toutes les manières possibles.
Mais elle sait aussi que le majordome bénéficie de toute la confiance du Marquis et elle essaye de chasser ses interrogations en se laissant faire, comme la bonne et dévouée soumise qu’elle est. Walter sentant que sa main est à nouveau propre, commence par attr les lèvres de Thaïs pour inspecter sa dentition en la forçant à ouvrir la bouche qu’il tient de l’autre main. Thaïs a l’impression de se trouver sur un marché aux esclaves où l’acquéreur ferait la vérification du bétail humain qu’il va emporter avec lui et elle a de plus en plus de mal à se trouver dans cette situation indécente, à la merci de cet individu qui la traite comme moins que rien. Paradoxalement Thaïs se sent excitée partout cela.

- Je vais devoir te punir pour ce matin, mais je veux bien te proposer un marché. J’aime en général les femmes comme toi, plantureuse et je dois avouer que j’ai parfois l’occasion d’en baiser quelques unes. Monsieur le Marquis me laisse de temps en temps profiter de ses esclaves et j’ai bien envie de me vider les couilles sans avoir à me salir les mains. Alors, je veux bien supprimer ta punition et ne rien dire à Monsieur le Marquis d’Evans. Tu as déjà le dos et les fesses bien marqués, de nouveaux coups bien cinglants seraient assez pénibles à supporter mais pour la peine tu devras me sucer et ensuite te laisser enculer profondément. Attention, il te faudra y mettre de l’entrain et de la conviction, car je ne suis pas ce petit pubère de jeune businessman que tu as piégé en moins de quelques minutes en le mettant dans ton lit, parait-il... Dis-toi bien que si tu refuses, tu vas passer un sale quart d’heure entre mes mains car je manie très bien la cravache et j’aime particulièrement la voir s’abattre sur les parties les plus intimes et les plus sensibles d’une femme aux cuisses grandement écartées.

Thaïs est interloquée de ce qu’elle vient d’entendre, elle ne s’attendait sûrement pas à une proposition de ce genre, qui relève d’un véritable chantage.
Elle sait qu’elle va s’attirer les foudres de celui qui lui fait face, la regardant d’un œil malicieux et pervers, mais elle préfère cela à l’idée même de trahir son Maître Vénéré en acceptant une transaction qui ne serait pas du tout du goût de son Maître, s’IL venait à l’apprendre. Elle regrette vraiment qu’IL ne soit pas là en cet instant pour la protéger et la sortir des griffes de celui entre les mains de qui IL l’a remise, en toute confiance de surcroît, lui demandant de lui obéir en tous points, tout en pensant qu’elle ne sait pas si elle pourra prendre le risque de relater cet incident au Marquis d’Evans, car elle serait bien mal en peine d’apporter la moindre preuve de ce qu’elle pourrait essayer de raconter.

- Monsieur, je suis vraiment désolée. Je suis l’esclave-soumise de mon Maître Vénéré, Monsieur le Marquis Edouard d’Evans. J’obéis à tout ce qu’IL exige et exigera encore de moi. Je n’avais reçu aucune consigne pour ce matin et ne savais même pas où vous deviez me conduire. Je me suis habillée, pensant bien faire, avec l’une des tenues que mon Maître m’avait demandé d’emporter pour le Week-end. Si j’ai mal agi en faisant ainsi, j’accepte la punition que mon Maître m’imposerait s’IL était là, et celle que Vous avez le droit de m’infliger en ses lieux et place. Mais je ne puis concéder à donner suite à Votre proposition pour m’éviter une punition, si elle est méritée. Si un jour mon Maître me l’impose, je Vous laisserai sans la moindre tentative de m’y soustraire, m’enculer et me baiser la bouche, mais seulement si cela vient d’un ordre de mon Maître lui-même, ou si Vous m’affirmez que Vous en avez reçu l’autorisation préalable…
- Petite imprudente ! A qui crois-tu t’adresser pour oser me parler ainsi avec tes grands airs ! Tu vas le regretter, chienne, tu aurais mieux fait d’accepter sans rien dire, ajoute Walter qui a entre temps attrapé une cravache dans l’un des sacs de voyage qu’il commence à faire siffler dans l’air…

Thaïs reste immobile, la tête baissée, la bouche fermée et c’est dans le plus grand silence que, refusant même de répliquer et de répondre, elle attend la suite des évènements, se tenant prête à affronter le pire, mais sûre malgré tout de ce qu’elle devait faire dans pareille circonstance… Mais le majordome reprend son souffle et esquive enfin un premier sourire presque amical :

- … Tu es digne d’être la chienne soumise de Monsieur le Marquis d’Evans.
En effet, ton Maître te connaît bien malgré tout. C’est un fin psychologue en matière de Domination et de soumission. IL était sûr de ce qui allait se passer et c’est lui qui m’a demandé de tester ainsi ta loyauté en son absence. Et ta réaction tantôt est celle qu’il attendait… Bien, parfait … Tu vas t’habiller maintenant pour partir. Tu remets ton ensemble, avec un chemisier neuf, mais pas le moindre sous-vêtements, ordre de Monsieur le Marquis. A la place, tu porteras l’un des plugs de Sa collection. IL te laisse le choix. Dépêche toi, je ne dois pas tarder à prendre la route, tu auras la suite des consignes tandis que nous roulerons. Je te laisse cinq minutes et j’appelle le service d’étage pour qu’ils descendent les bagages. Avec le pourboire que j’ai laissé en bas à la demande expresse de Monsieur le Marquis qui a apprécié son séjour en ce lieu, je pense qu’on va les voir rappliquer en moins de deux. L’argent, c’est pire que le miel pour les abeilles...

Le majordome la regarde longuement tout en reprenant un air autoritaire :

- Ce n’est pas parce que tu as bien réussi cette épreuve matinale que tu dois pour autant oublier ta condition de simple esclave-soumise et qui je suis. A partir de maintenant, tu m’appelleras exclusivement « Monsieur », et ce en toutes circonstances, jamais par mon prénom bien sûr, car tu n’es et ne resteras toujours qu’une esclave du cheptel, même les domestiques au service de Monsieur le Marquis me doivent le respect. Tu devras m’obéir en toutes circonstances en l’absence de ton Maître, et contrairement à ce que tu avais pu imaginer ou croire ce matin, sache que je n’agis uniquement sur Son ordre exprès et en lui en référant à chaque fois que cela est nécessaire. Comme Il me dit souvent, je suis bien plus que Son majordome, je suis aussi Son bras droit. J’ai toute Sa confiance et pour rien au monde, je la trahirai. D’ailleurs, je suis très bien rémunéré pour cela…

Thaïs, soulagée, se dépêche de se vêtir, encore un peu abasourdie de tout ce qui s’est passé depuis l’arrivée du majordome Walter. Après quelques courtes minutes, elle sort de la salle de bains, à nouveau vêtue, recoiffée, portant cette fois-ci un chemisier bleu ciel, le précédent ayant fait les frais de la mise en scène que son Maître lui a imposée pour la tester une fois de plus. Elle enfile son manteau et se tient prête à suivre le doméstique jusqu’à la voiture. Plusieurs membres du personnel de l’hôtel-château se sont pressés dans la suite pour faire office de bagagistes espérant de nouveaux pourboires accordés par la largesse de ceux qu’ils accompagnent. Walter descend l’escalier qui mène vers la grande porte d’entrée, s’occupe de surveiller le rangement de toutes les affaires du Marquis dans le coffre de la luxueuse Rolls-Royce noire qui est d’une propreté si impeccable qu’on pourrait croire qu’elle vient de sortir de l’usine. Thaïs l’a suivi à un mètre derrière lui et elle attend que le majordome lui indique ce qu’elle doit faire.

- Je t’aurais bien fait voyager dans le coffre s’il n’en avait tenu qu’à moi, mais la place est déjà prise par toutes les précieuses affaires de Monsieur le Marquis d’Evans. Ne t’imagine pas non plus que tu vas prendre la place du Maître confortablement assise à l’arrière dans Sa voiture. Tu montes à côté de moi à l’avant et estime toi heureuse d’être déjà admise à cette place. Tu vas d’ailleurs recevoir pendant le voyage toutes les consignes pour la suite et en particulier pour ton arrivée en Son Château. Et pas d’histoire, tu t’assois en relevant ta jupe, les fesses posées à même le cuir du siège, avec ton plug à l’intérieur… En route ! …

(A suivre...)

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