Baisé Dans Un Chantier (1)
Bonjour tout le monde. Je suis de retour. Lhistoire que vous allez lire remonte à quelques années, à lépoque où je devais avoir pas plus 28 ans.
Alger, un soir dété. Il faisait chaud. Nayant rien à faire à la maison, javais décidé de sortir marcher un peu, histoire de le temps. Sortant du quartier et empruntant lavenue principale, je me laisser guider par mes pas, sans savoir où jallais exactement. Je marchais laissant mon esprit voguer. Je marchais sans but apparent. Au bout dune vingtaine de minutes, je passe devant un chantier. Un immeuble en construction.
Un jeune homme, 18 ans, était debout devant la porte en zinc. Il portait un bermuda et débardeur blanc. Il avait la peau bien bronzée. Sans vraiment le regarder, je répondis à son salam (salut). Dépassant le chantier, jarrive à une station-service. Je marrête et je me retourne et décide de rebrousser chemin.
Je repasse devant le chantier. Le mec est toujours là, me fixant du regard. Je le regarde rapidement. Il a la main gauche sur son entrejambes, malaxant son sexe. Sa langue passe et repasse sur ses lèvres. Je continue mon chemin ; je me retourne et je constate quil me suit du regard. Je marrête devant un glacier. Jachète un cornet de glace et je le déguste avec envie.
Absorbé par mon cornet de glace, je navais pas remarqué que le gars du chantier était juste à côté de moi, me regardant en train de savourer cette glace. Le sourire au coin de la bouche, il me lance doucement, pour que personne nentende : « Jai un cornet de glace qui ne se termine pas ! » Ne relevant pas la remarque, je continue lécher mon cornet. Il me fixe du regard. Sa main gauche toujours sur son entrejambes. Je remarque que le tissu tire un peu. Il bandait. Heureusement quil faisait nuit, sinon les passants auraient remarqué son érection.
Il sapprocha de moi, me tendit la main pour me saluer et me dit toujours à voix basse : « Bonsoir, jai chaud. Si tu veux, tu me rejoins au chantier, on sera plus à laise.
Je me sentais envahi par une douce chaleur. Sans me rendre compte, je pris la même direction que lui. Il était derrière le portail à mattendre. Une fois le seuil du chantier franchi, il ferma le portail. Il prit ma main et la posa sur son entrejambes. Je sentais sa queue dure. Elle était de bonne taille. Il me guida vers une baraque en parpaing. Il sadossa au mur. Sans préliminaire, il appuya sur mes épaules. Je compris ce quil voulait. Il était directif et jaimais ça. Jaime bien me sentir dominé. A genoux, je me retrouvais face à sa bite qui se tenait droite comme une lance. Une touffe de poils entourait ce magnifique engin ; ce qui nétais pas pour me déplaire. Car jaime les queues poilues. Il avait baissé son bermuda pour être plus à laise.
Je ne métais pas trompé. Il avait une belle queue. Longue et dune bonne épaisseur. Elle devait mesurer dans les 20x5 cm. Sans hésiter, je commençais à le sucer. Sa queue emplissait ma bouche. Je la sentis grossir encore. Elle me remplissait bien, trop bien même. Je mactivais sur cette belle pièce. Je suçais le gland, le titillant avec ma langue, puis je lembouchais entièrement jusquà suffoquement. Mon nez venait coller à son pubis. Je menivrai des odeurs de mâles qui sen dégageaient... Délaissant sa queue, je gobais ses deux noix qui étaient bien pleines et bien dures et surtout poilues. Je les léchais, je le prenais une par une puis toutes les deux dans ma bouche, le chatouillant
Puis je remontais vers son gland tout en astiquant sa belle tige. Je ne laissais rien. Je suçais, je léchais, je gobais. Tantôt je taquinais le gland, tantôt je faisais des gorges profondes. Je moccupais de sa queue comme si ma vie en dépendait. Le temps sétait figé pour moi. Rien ne comptait. Rien nimportait que sa queue qui memplissait la bouche. Elle était bonne et sentait bon le mâle.
Apparemment, il appréciait ce que je lui prodiguais comme « sévices », vu ses gémissements.
Je navais aucun choix que davaler pour ne pas . Il resta dans ma bouche, je continuais à le sucer jusquà la dernière goûte. Il ressortit de ma bouche la tige propre, reluisante. Il remballa sa bite dans son bermuda. Au moment où je me remettais debout, jentendis des voix. Apparemment, on nétait pas seul. Je me retournai et je vis quil y avait personnes dans le chantier. Ils sapprochèrent de nous et demandèrent à mon « casseur de bouche » qui jétais. « Un PD qui ma sucé et que jai rempli sa bouche de mon sperme ! »
Je baissai ma tête, ne savant plus où me mettre. Les 4 mecs, sapprochèrent davantage. Je sentais leur regard sur moi. Josais lever les yeux. Ce que je vis me surprit un peu. Tous les quatre se caressaient en me regardant. Un silence lourd régnait sur le chantier. Je nosais pas bouger, eux non plus. Cest alors que le premier mec que jai sucé se plaça derrière moi, me pris les deux mains, me força à me mettre à genoux et dit à ses camarades : « Quattendez-vous ? Il aime le bite, profitez de sa présence ! ». Je compris que jallais passer à la casserole.
Si vous voulez connaître la suite écrivez-moi un mail
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