A Travers La Vitre 3/3

Suite et fin de l’histoire, à la demande d’une lectrice impatiente.

Le surlendemain, en début d’après-midi, tu me dis :
- Va dans la chambre et habille-toi. Tes affaires sont sur le lit.
Je vais dans la chambre et je vois une paire de bas et un string noirs, bien en évidence. Je suis un peu gêné, mais tes indications étaient sans ambiguïté. Je m’habille, en prenant soin de bien remonter les bas le long de mes jambes, comme j’ai vu faire les femmes dans certains films. Le string est très provocant, étroit et transparent à l’avant. La ficelle rentre délicieusement entre mes fesses.
Tu prends le volant et je m’assoie à tes côtés, en passager. L’air est chaud, nous roulons fenêtres ouvertes, laissant l’air de l’après-midi nous caresser la peau. Nous nous dirigeons vers notre parking du vice. Je t’interroge depuis la veille sur ce qui nous attend là-bas, mais même sur le trajet, tu ne lâches aucune information.
Arrivés sur place, je reconnais la voiture d’où le voyeur exhibitionniste était sorti. A peine sommes-nous garés qu’il sort de sa voiture et se rapproche. Tu entrouvres ta vitre pour lui parler. Il demande :
- Tu es venu avec ton mari ? Il n’est pas jaloux ?
- Peu importe, il fait ce que je lui dis.
- Ah bon ? demande le mec sur un ton moqueur.
- Oui regarde : déshabille-toi, chéri.
Je me doutais que tu ne m’avais habillée en femme pour que je garde mes vêtements. Mais je ne m’attendais pas du tout à ce que tu me fasses déshabiller devant quelqu’un d’autre. Je m’exécute, honteux que tu aies un tel ascendant sur moi. J’enlève mes chaussures, mon tee-shirt, puis mon jean, laissant apparaître mes dessous. Le mec les voit et commente, goguenard :
- Je vois que madame n’est pas la seule coquine dans votre couple !
Ma queue, encore endormie et ridicule à cause de l’humiliation que je subis, commence à grandir et finit par sortir de mon string. Tu me regardes intensément et je sens que tu es toi aussi très excitée.


- Tu aimes ça t’exhiber habillée en pute, hein ?
Je ne réponds pas assez vite. Tu mets négligemment une petite gifle sur ma queue.
- Réponds !
- Oui, j’aime m’exhiber, Maîtresse.
- T’exhiber comment ?
- M’exhiber habillée en pute, Maîtresse.
- Branle-toi maintenant.
Je m’exécute sans que tu aies à insister.
- Tu l’as bien en main, commente le mec planté à côté de ta portière, sans que je sache s’il te parle à toi, ou à moi...
- Maintenant, mets-toi à quatre pattes sur ton siège et montre-moi ton cul, petite salope, me lances-tu avec ton sourire vicieux.
Je n’ai plus aucun vêtement mis à part mes bas et mon string, dont je sens la ficelle exciter mon petit cul. Je me positionne à quatre pattes sur le siège passager, les fesses tendues vers toi. Afin d’être à l’aise, je passe la tête par la vitre ouverte, en m’appuyant sur la portière. Dans cette position, je me sens complètement à ta merci. Tout mon corps t’appartient, dans cette voiture. Seule ma tête dépasse.
- Regarde-la, cette petite chienne, qui prend l’air frais par la portière ! Et qu’est-ce qu’elle veut cette petite chienne ?
Je n’ose pas te répondre. Je tortille un peu les fesses en guise de réponse. Mais ça ne te suffit pas.
- Qu’est-ce que tu veux ? Dis-le ou tu ne l’auras pas.
- Votre gode dans mes fesses, dis-je tout bas.
- Plus fort ! Je suis sûr que notre ami n’a pas entendu.
- Votre gode dans mes fesses, dis-je plus fort.
- Et la politesse ?
- Votre gode dans les fesses, s’il vous plaît Maîtresse.
Je me retourne et je vois que le mec se caresse au travers de son pantalon. J’ai le regard figé sur sa tige. Je me cambre dans votre direction.
Pendant ce temps, tu as mis un gant en latex prévu pour l’occasion et tu m’enfonces lentement un doigt dans le cul. Je gémis. Tu me demandes :
- Tu aimes ça.
- Oui Maîtresse !
- Et tu aimes qu’on te regarde, en plus !
Tu accélères le mouvement de ton doigt, puis sans prévenir, tu le retires.
Tu enlèves on gant et sors un gode de ton sac à main. Tu l’enduis de vaseline, et tu me l’enfonces lentement mais inexorablement au plus profond de mon cul. J’ai un mouvement vers l’avant, et ne peut retenir un petit cri de plaisir, très aigu.
- Ca y est, elle couine, cette chienne, dis-tu a ton partenaire voyeur. Continue, couine, petite lopette !
Sur ces encouragements, je ne me retiens plus du tout et lâche complètement prise. Je me mets à gémir de plus en plus fort, de plus en plus aigu. Comme tu vas plus profond, j’ai un mouvement vers l’avant pour échapper au gode, et je m’accroche de la main gauche au rétroviseur. Je me rends compte que je peux voir derrière moi dans le rétroviseur. Ton complice a sorti sa queue et te la présente, comme une chose entendue. Tu arrêtes tes va-et-vient dans mon cul quelques secondes, pour avaler sa bite déjà en érection. Au bout de quelques dizaines de secondes, tu me demandes :
- Tu préfères que je suce monsieur, ou que je t’encule ?
Je suis bien embêté pour te répondre. Dans le rétroviseur, je croise ton regard enflammé. J’avais toujours rêvé de te voir sucer un autre mec. Il m’arrivait même de te l’avouer pendant nos ébats. Tu sais également que j’adore que tu me prennes avec un gode. Cela fait déjà plus de dix ans que tu m’as dépucelé. Et j’avoue que je reviens vers toi régulièrement, avec l’envie que tu investisses mes fesses. C’est un dilemme. Je bafouille que je ne sais pas.
Tu t’adresses alors à ton partenaire :
- Je ne peux pas le laisser comme ça. Par contre, tu devrais faire le tour de la voiture et profiter de sa bouche. On fait ce qu’on veut de lui, quand il est dans cet état.
Le mec fait le tour de la voiture sans demander plus d’explication. Tu remontes la vitre électrique avec ta commande. J’ai la vitre qui m’appuie sur la gorge et la tête coincée à l’extérieur de la voiture, pendant que tu reprends les va-et-vients du gode dans mon cul. Le mec se pointe devant mon visage, la queue dans la main, en se branlant frénétiquement.
Il se rapproche. Tu me dis d’ouvrir la bouche. Je n’obéis pas assez vite, comme me le fait comprendre un violent coup de gode dans le fond de mon cul.
- Ouvre grand la bouche, petite chienne !
Complètement dépassé par la situation, j’ouvre la bouche en grand. J’ai la tête trop haute, coincée par la vitre. Sa queue est à au moins 20 centimètres. Je tire la langue dans sa direction, il se grandit mais ne parvient pas à me la fourrer dans la bouche.
Alors, tu me dis de me branler plus vite, en ouvrant bien la bouche « pour que notre ami puisse la viser ». Je m’exécute, le mec se branle de plus en plus vite. Tu accélères aussi tes mouvements dans mon cul. Tout se brouille, je me branle frénétiquement. Et d’un coup tout explose : le mec gicle sur mon visage, en m’en foutant une dose dans la bouche, et je me répands en même temps sur le siège, à grands jets.

De retour à la maison, quand tu sors de la voiture, je regarde ton siège et j’y vois une grande tâche mouillée. Apparemment, toi aussi tu t’es répandue au même moment que nous. Tu vois que j’ai remarqué la tâche. Tu me regardes et me dis :
- Viens dans la chambre, nettoyer ta Maîtresse.

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