Un Soir Dans Ta Chambre
Nous entrons dans la chambre. Il règne latmosphère fébrile si commune aux premières rencontres. Tu es particulièrement sexy, vêtu dun jeans, dune chemise et dun veston. Depuis que je suis arrivée chez toi, je ne cesse de te dévêtir des yeux. Mais jai aimé quon prenne notre temps. Jadore lexcitation qui précède lacte en lui-même. Tu me regardes errer, scruter, découvrir ce lieu privé quest ta chambre. Tu es chez toi, en terrain connu. Pourtant un certain malaise naît en toi, à lidée que je prenne mes aises dans cette pièce si intime, à lidée que jenvahisse ainsi une part de tes secrets, à lidée de ce que je vais bientôt te faire. Mais que vas-tu subir au juste ?... Une pointe dinquiétude teinte lexcitation qui grandit en toi.
Je minstalle sur un fauteuil. Je te regarde, pleine de désir pour toi. « Déshabille-toi. » Tu ne peux plus reculer. Cest maintenant que ça se passe. Ce fameux scénario que tu as fantasmé de mille et une façons depuis les dernières semaines, tu y es maintenant plongé, et cette fois-ci, cest bien réel. « Bien sûr Maîtresse, vous demandez et moi je suis là pour obéir. » Tu enlèves dabord ton veston, puis ton pantalon. Tu prends le temps de les replier un peu, de les placer sur le dos dune chaise près dune table toute en désordre, sur laquelle samoncellent plusieurs objets personnels. Ce petit manège nest pas particulièrement sexy, dans un film tu aurais plutôt laissé tomber nonchalamment tes vêtements sur le sol. Mais moi, ça mexcite. Parce que tu nes pas un acteur, parce que tu es vrai, parce que tu es toi, parce que ce strip-tease un peu maladroit laisse paraître que tu es intimidé, parce que jaime te voir ainsi.
Tu déboutonnes ensuite ta chemise, dévoilant ainsi peu à peu ton torse. Jadore te découvrir. Je suis toujours assise sur ce fauteuil. Je décroise lentement les jambes de façon à ce que tu puisses entrevoir sous ma robe courte la dentelle noire qui retient mes bas.
Je marrête dun coup. « Non, continuez Maîtresse, pourquoi vous faites ça ? » Je me contente dun silence comme réponse. Je me rassieds. Ma voix brise le silence : « Enlève-moi ce boxer. » Tu obéis à nouveau. Tu es complètement nu, dans ton plus simple appareil. Ton sexe se dresse fièrement pour moi. Tu es tout simplement magnifique. Je mapproche à nouveau. Je tourne en rond autour de ma proie, mes longues bottes noires frappent le plancher, mes yeux profitent de ton corps. « Alors, comment se sent-on, beau jouet, quand on se retrouve nu devant une inconnue ? » « Cest embarrassant Maîtresse. » Jaime te lentendre dire. Mes mains baladeuses se promènent sur toi. A nouveau tu tentes de me toucher. « De quel droit bouges-tu ? » Je te remets les bras en lair. Je me retrouve dos à toi, masse tes épaules, caresse ton dos, puis te flanque une première fessée. « Celle-ci, cest pour mavoir touchée la première fois ! » Quelques secondes plus tard, tu sens ma main cinglante une deuxième fois sur ta jolie fesse rose.
Mes mains pétrissent maintenant tes fesses fermes et rebondies. Je dépose des baisers dans ton dos alors quune de mes mains passe entre tes jambes, te caressant le périnée et le scrotum. Tu gémis doucement. « Ne bouge pas beau jouet, je reviens. » Tu gardes la position. Je méclipse un instant dans la salle de bain attenante à ta chambre. Une minute plus tard, jen ressors, ne portant plus que mes bas noirs, une petite culotte et un soutien-gorge en dentelle rouge et noire, ainsi quun peignoir fait dun tissu noir très fin, presque transparent, laissant aisément entrevoir ma peau et mes courbes. Je magenouille devant toi, lèche doucement lextrémité de ton sexe que je décalotte délicatement avant de poursuivre mes léchouilles. Tu respires bruyamment, tu mexcites énormément. Ma langue tournoie autour de ton gland rouge et turgescent. Puis je referme ma bouche et suce doucement ce gland en quête de plaisir. Tu gémis, tu voudrais tengouffrer en moi, tu voudrais mattr la tête, tenfoncer sauvagement au fond de ma gorge. Mais tu résistes à ton envie et demeure immobile, parce que ton désir de te plier à mes ordres est plus fort que toi.
Je me dirige vers le lit, my assieds. « Viens me rejoindre, agenouille-toi à mes pieds. » Tu obéis. Jécarte lentement mes jambes. Je me caresse à travers la dentelle de ma culotte. Tu regardes avec lenvie den voir plus. Je continue à me caresser, à me donner du plaisir devant toi. Tu restes là, immobile, excité. Puis je fais glisser ma culotte toute mouillée le long de mes jambes que jécarte à nouveau. Ma chatte se présente à toi, douce, épilée, humide. Je continue à me caresser. Le plaisir monte en moi. Tu mentends gémir. « Ahhhh
. ah oui
ah ouiiii
. » Tu voudrais me goûter, me lécher. Mais je ne ty invite pas. Je marrête un instant, me penche vers mon sac, en ressors un godemiché. « Allez beau jouet, donne-moi du plaisir.
Je me sens heureuse, détendue. Je reprends mes esprits et ordonne : « Etends-toi sur le lit. » Tu ty installes sans broncher. Je fouille à nouveau dans mon sac, en sors un bas de nylon que jutilise pour nouer ton poignet et le fixer à la tête du lit. Amoureusement, je lie également ton autre poignet à la tête du lit. Puis je répète les mêmes gestes pour tes chevilles qui se retrouvent fixées au pied du lit. Je tobserve ainsi, fragile, à ma merci. Je dépose doucement un collier de doux baisers sur tout ton corps. Mes lèvres explorent tes bras, ton torse, tes tétons, ton abdomen, ton nombril, tes jambes
Tu deviens le plus beau des jouets, mon jouet. Aussi vulnérable que tu puisses paraître en ce moment, jadmire ton courage et ta témérité. Te livrer ainsi à une inconnue, cest un peu de linconscience
Je te le fais dailleurs remarquer. Tu nas maintenant plus demprise sur ton propre corps. En cet instant, ton sort mappartient. Malgré lappréhension qui te ronge le ventre, ton excitation monte dun cran. Tu sais que je ne veux que ton bien, que ton plaisir.
Je fais couler de lhuile à massage sur ton corps. Puis de mes mains, je commence à masser tous tes muscles. Mes mains glissent, foulent, pétrissent chacun de tes membres, ton torse, ton abdomen. Tu te détends peu à peu. Ton sexe est toujours bien dur pour moi. Mes mains huileuses montent et descendent maintenant sur ta verge. Ta respiration est plus haletante. Je décalotte ton sexe, et dune main abondamment huilée, je caresse ton gland. Tu pousses un fort gémissement. Tu mexcites tellement. Jai envie de te posséder entièrement. Je défais le nud qui lie ta cheville au pied du lit, remonte ta jambe, et fixe le bas nylon à la tête du lit. Alors que je fais la même chose pour ton autre cheville, tu me lances, un peu inquiet : « Cest une blague ? » La petite pointe de nervosité dans ta voix me rend folle. « Pourquoi voudrais-tu que ce soit une blague beau jouet ? Aie-je la tête à faire des blagues ? » Tu ne réponds pas. Je dépose un masque devant tes yeux. Tu te retrouves dans lobscurité, ligoté, les jambes en lair et écartées, moffrant une vue spectaculaire sur ton beau petit cul
Ma bouche sapproche de la tienne. Je tembrasse tendrement, nos langues semmêlent. Je chuchote : « Au contraire, cest maintenant quon passe aux choses sérieuses
»
Tu mentends fouiller dans mon sac. Quelques secondes plus tard, tu sens une petite pression froide sur ton anus. « Quest-ce que cest Maîtresse ? » demandes-tu dun ton légèrement affolé. « Mmmmm
tu aimerais bien le savoir
quest-ce que ça peut bien être ?... » Tu sens que je tournoie sur ton anus, que je le titille doucement. Tu vis désir et crainte à la fois. Lenvie de te donner, de te sentir possédé, de découvrir de nouvelles sensations. La peur davoir mal, davoir lair idiot, faible. Les poussées se font plus pressantes, tout doucement, je tenvahis. « Ahhhh
Ahhhhh
cest un gode Maîtresse ? Ahhhh
» Jaime jouer avec toi. « Un gode ? Non, non, tu le sens, cest tout petit
» « Ahhhh
ahhh cest bon
cest quoi, je vous en prie
ahhhhh
» Je te laisse face à tes questions, ton sphincter se détend et se dilate peu à peu, tu mouvres la voie. Après quelques minutes ainsi, je te réponds : « Ce nest que mon doigt beau jouet, pas de panique, laisse-toi aller. » Tu sembles inquiet. Si mon simple doigt te donne limpression dêtre ainsi rempli, tu crains ce qui pourrait suivre. Mon doigt entre et sort aisément maintenant, il tourne dans tous les sens, atteint ta prostate, la masse avec douceur. De mon autre main, jeffectue des mouvements de haut en bas sur ton sexe maintenant plus ferme que jamais. Le plaisir te gagne, chasse progressivement tes craintes. Tu gémis doucement.
« Il me semble quun doigt ne soit plus suffisant, passons à la suite
» « Quallez-vous me faire Maîtresse ? » Le ton de ta voix traduit tes réticences. « Tu verras bien beau jouet, à toi de deviner. » Je fais couler du lubrifiant entre tes jolies fesses fermes. Tu sens à nouveau pousser sur ton anus. « Allez, sil-vous-plaît, dites-moi ce que cest
» Cest frustrant de ne rien voir, apeurant de subir sans pouvoir réagir. Pourtant cest ce que tu cherches, cest ce qui texcite et cest ce que je toffre : limpuissance. Lobjet doux appuie de plus en plus fort, tu sens quil progresse en toi. Je chuchote à ton oreille : « Cest un plug, acheté spécialement pour toi
» « Ahhhhh
ahhhh
ahhhh
» Ton muscle se dilate de plus en plus. Il cède soudain, alors que tu pousses un long gémissement. « Je te fais mal beau jouet ? » « Non Maîtresse, cest bonnnnnn
» Je tapote sur lextrémité du jouet pour te stimuler. Je dépose des baisers dans ton cou, caresse ton sexe. Je murmure : « Contracte-toi autour du jouet. » Tu obéis. Puis je continue : « Maintenant relâche. » Tu suis les directives. Nous recommençons ce petit jeu de contractions et relâchements. Ma main monte et descend toujours le long de ta verge, ma bouche est à quelques centimètres de la tienne, tu sens mon souffle chaud. Ma langue simmisce entre tes lèvres entrouvertes. Je mempare de ta bouche. Je suis partout sur toi, partout en toi. Tu gémis, tu trembles, je deviens folle de désir à te voir te perdre ainsi.
Je retire délicatement le plug. Du lubrifiant coule à nouveau entre tes fesses. Tu comprends ainsi que je nen ai pas fini avec toi. La position devient inconfortable, les liens serrent tes chevilles et tes poignets. A nouveau un objet pointe à lentrée de ton rectum. « Cette fois, cest une taille convenable pour toi beau jouet. » « Cest un gode Maîtresse ? » Aucune réponse nécessaire. Tu le sais, tu le sens. Le jouet sinsinue en toi, tu es une petite salope que je sodomise. La progression est plus lente, lobjet est beaucoup plus long. Il te remplit totalement. Tu es à moi, tu mappartiens. Je mets le moteur du jouet en marche. Des vibrations envahissent ton rectum. Lextrémité du gode tournoie sur ta prostate. Tu gémis plus fortement. Tu trembles, es parfois pris de spasmes. « Cest bon Maîtresse, je voudrais jouir. » « Pas maintenant, ne tavises pas déjaculer maintenant, cest moi qui décide si tu peux ! » Je continue à faire des aller-retour en toi avec le godemiché. Je caresse ton sexe de mon autre main. « Ah oui
ahhhhhh
ahhhhh
cest bon
je veux jouir
» « Taime ça être ma petite pute, mon pantin ? » Je te donne la fessée. Tu cries. Le plaisir monte et monte. « Ahhhh
ahhh
Je dois avoir lair ridicule Maîtresse
ahhhhh
» Tu naimes pas limage mentale que tu te fais de la situation : toi, lhomme habituellement en quête de pouvoir, sur ton lit, ligoté, les jambes en lair, écartées, un jouet dans le cul, moi qui te caresse et te possède, qui sempare de ton corps et ton esprit. « Si seulement tu pouvais te voir, beau jouet, tu es tout simplement magnifique, pas ridicule du tout à mes yeux. Tu me combles de bonheur. Nest-ce pas ce que tu souhaites ?»
Je retire doucement le jouet. Ce nest pas ainsi que je veux te faire jouir. Je défais les nuds qui retiennent tes jambes en lair. Te voilà étendu à nouveau, plus à laise. Tes poignets sont toujours liés à la tête de ton lit. Je retire le masque qui te couvrait les yeux. Doucement, je laisse tomber mon peignoir. Le fin tissu glisse le long de mes bras. Puis, lair coquin, je retire avec lenteur mon soutien-gorge, offrant à tes yeux mes petits seins fermes dont les tétons pointent fièrement. Je me penche vers toi pour te les faire lécher. Mmmmmm
jadore ce traitement, jadore ta langue. Je mouille abondamment. Je me retourne alors, mes cuisses de chaque côté de ta tête. Je te présente ma chatte, massieds pratiquement sur ta bouche, te la fais lécher. Je gémis. « Ahhhh oui, ahhh ouiiiii
Mmmmm
Continue
Donne du plaisir à ta Maîtresse
» Je fais de petites bascules avec mon bassin. Je profite de tes lèvres, ta langue humide. Puis je me penche vers lavant et avale ton sexe tout entier. Tu viens buter au fond de ma gorge. Tu gémis, tu grognes de plaisir. Ma bouche monte et descend autour de ton sexe. Tu es vraiment très excité. Je poursuis encore ces douces caresses buccales, te mène à nouveau près de lorgasme. Puis je marrête.
« Non, Maîtresse, narrêtez pas, je vous en prie ! » Tu sais bien supplier. « Je compte te récompenser pour ton bon comportement. » Je dénoue les liens autour de tes poignets. Je métends sur le lit, écarte les jambes. « Prends-moi, prends ta Maîtresse ! » Sans te faire plus prier, tu tinstalles sur moi. Je sens ton sexe senfoncer dans mon vagin glissant. Je gémis, je suis haletante. Tu me prends dabord avec douceur. Je repousse ton thorax vers le haut. « Retiens-toi sur tes bras. » Jai ainsi accès à ma chatte. Je caresse mon clitoris alors que tu entres et sors de mon ventre. Je sens le plaisir me gagner peu à peu. Jaime ton corps. Tu accélères la cadence des coups de reins. Je sens que tu tapproches à nouveau de lorgasme. Cette fois, je ne vais plus te le refuser. Jai envie de te sentir jaillir en moi. Ton visage est transformé par le plaisir qui tenvahit. Tu mexcites, je vais jouir à nouveau. Je plonge mes yeux dans les tiens. « Tes yeux sont magnifiques beau jouet. » Je te sens au fond de moi. Je cède à la jouissance. « Ahhh ouiii, ahhhhh, cest tellement bonnnn !
» Au même moment, tu te laisses aller en moi, dans un râle bestial de jouissance. Ton corps tombe ensuite avec lourdeur sur moi. Tu es détendu, apaisé. Mes jambes tenserrent contre moi, je reprends mon souffle. Nous sommes bien, assouvis.
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