Dans La Chaleur De L'Été (4)
Je suis bien chaude, et jai encore envie, me dit Émilie alors que nous sortions du café et que Bella, notre amante passagère séloignait dans la rue.
Elle membrassa et nous nous apprêtions à reprendre notre chemin quand je sentis une main se poser sur mon épaule. Je me retournais et découvrais un couple derrière nous. Ils avaient sensiblement le même âge que nous. Lui brun, une barbe de trois jours, assez grand, plutôt musclé, vétu dun simple teeshirt blanc et dun jean me souriait. Elle, un peu en retrait, rousse, yeux vert, le teint pâle, mince, arborant la même tenue, me dévorait des yeux.
Désolé de vous aborder commença, dit-il, mais Flora, ma copine vous a entendue dans les toilettes.
Flora rougit. Émilie me serra ma main un peu plus fort. Gilles, le bel inconnu poursuivi.
Flora ma dit quelle avait été très excitée par ce que vous faisiez. Elle na pas osé jeter un coup dil, mais elle ma dit que rien que le son était suffisant. Elle est sortie un peu avant vous pour me raconter et surtout pour vous voir sortir à votre tour. Elle vous a trouvé très mignon tous les trois, et même si elle regrette un peu que votre amie soit partie, nous aimerions vous inviter.
Je regardais Émilie qui me souriait. Elle était daccord, et moi de même.
Gilles et Flora nous conduirent à leur hôtel. Un petit hôtel sans charme, dans une rue à lécart. On entendait encore les bruits de la rue, et la musique des bals. Leur chambre était à limage de lhôtel, fonctionnelle, mais dénué de tout caractère. À peine la porte fermée Flora vint membrasser et défit les boutons de ma chemise. Gilles sapprocha dÉmilie et en fit de même. Il passa sa main sur ses fesses, remonta sa jupe et fut heureux de voir quelle était nue.
Il faut toujours être prêt pour samuser, lui dit-elle, en se mettant à genou devant lui et en sortant sa bite de son jean.
Flora avait pris la même position.
Je me mis derrière elle et la prit en levrette, mes mains posées sur ses hanches, jallais et venait en elle, pendant que Gilles prenait la même position avec Émilie. À nouveau côte à côte nous baisions ensemble dans cette chambre un peu sordide. Je jouissais et tombais sur le lit. Flora vint le retrier ma capote et me lécha la bite enduite de sperme. À son tour Gilles poussa un cri de délivrance en se vidant les couilles.
Nous nous retrouvâmes tous les quatre allongés sur le lit, essoufflé, transpirant. Reprenant nos esprits nous sentions chacun les corps des autres si proche, si chaud. Je jetais un coup dil à Gilles, a son sexe flasque et sans réfléchir, sans lu demander sil avait envie me mis à le sucer.
Il se redressa surpris, et protesta un peu.
Je..., non..., je nai jamais...
Laisse-toi faire, lui dis-je, je ne toblige pas à quoi que ce soit en retour, tu vas voir, je suce très bien, et tu vas adorer ça.
Flora poussa un petit rire, et sapprocha dÉmilie. Elles sembrassèrent, et Flora demanda à mon amante de venir lui bouffer la chatte. Ce quÉmilie fit sans attendre.
Gilles, bien qu'un peu tendu, craintif, ne tarda pas à se laisser aller. Sa queue grossissait dans ma bouche, entre mes lèvres. Elle était bien épaisse et pas trop longue. Elle memplissait la bouche sans m.
Gilles et Flora gémissaient de plaisir sous nos caresses buccales. Flora semblait être habituée aux amours saphiques, et après avoir joui, se mit à son tour à lécher Émilie.
Cétait bon, dit Gilles, je ne pensais pas que jaimerais me faire sucer par un mec. Bizarre au début, mais pas désagréable.
Une bouche est une bouche, dit Flora, je savais que tu aimerais ça, mais maintenant il faut que tu lui rendes la pareille.
Gilles hésita, me regarda. Il hésitait. Se faire pomper était une chose, mais prendre une bite en bouche en était une autre. Flora insista, le poussa. Je lui dis quil nétait pas obligé, que javais apprécié de la faire, mais que je nattendais pas quil franchisse le pas.
Tu veux savoir, me dit-il, jen ai envie, depuis longtemps cest un truc qui me tente, mais je nosais pas, alors là, maintenant, avec toi, je crois que jen suis capable.
Il se pencha vers mon sexe dressé, et lembrassa. Du bout des lèvres, pour en ressentir la douceur, la dureté, le gout.
Je ne vais peut-être pas le faire aussi bien que toi.
Ne tinquiète pas, lui dis-je, je te guiderai, tu fais ce qui te plait à toi, et le reste viendra tout seul.
Il me lécha doucement, hésitant autour de mon gland doù perlaient quelques gouttes. Je sentais son souffle de plus en plus rapide, lexcitation qui montait en lui, mais aussi les peurs, les réticences à oser me prendre en bouche. Il me regarda, je lui souris, et il mavala. Il garda mon sexe entre ses lèvres sans bouger, faisant glisser sa langue dessus. Dune main il me caressa les couilles. Puis il commença à me pomper. Lentement, prenant le temps de gouter à ma bite.
Regarde comme ils sont beaux, dit Émilie à Flora, jadore voir des mecs faire lamour. Ça mexcite à chaque fois.
Flora et Émilie se caressèrent mutuellement en nous regardant. Gilles semblait prendre gout à mon sexe, sa bouche allait plus vite, me serrait plus fort.
Tu me prendras le cul après, dit Flora, jai envie de te sentir bien profond en moi.
Je pense quil préfèrerait enculer Gilles, dit Émilie
Pour une première fois peut-être que cest beaucoup, dis-je, mais je ne serais pas contre me faire mettre par Gilles.
Gilles releva la tête, me sourit, il avait lair partant pour lexpérience, et tout a son excitation, il accéléra la cadence et me fit jouir. Jenvoyais des jets de foutre sur son visage. Il sessuya et vint membrasser.
Tu serras mon premier pour toujours, me dit-il.
Jespère que tu en garderas un bon souvenir, lui répondis-je.
Excellent.
Flora prit la bite de Gilles et le branla un peu avant quil ne vienne me prendre. Et fit de même avec moi avant de moffrir son petit trou.
Nai pas peur, dit-elle, jai lhabitude, Gilles mencule souvent et jaime beaucoup ça.
Je me glissai derrière Flora, écartait ses fesses pour y glisser mon sexe de nouveau bien dur. Gilles en fit de même avec moi, et alors quil franchissait ma rondelle, jenculais Flora. Nous poussâmes tous les trois un gémissement de plaisir. Émilie se plaça jambes écartées devant Flora, linvitant à venir lui brouter la chatte.
Gilles en menculant donnait le rythme à notre étreinte. Ses coups de reins guidaient les miens, et les coups de langue de Flora. Il jouit le premier, se retirant de mon cul me laissant libre de finir mon uvre dans celui de Flora. Elle poussa un grand cri de jouissance quand elle sentit mon foutre chaud sortir de mon sexe et emplir ma capote.
Moi aussi je veux quon mencule, moi aussi je veux de ma bite, dit Émilie en se branlant.
Elle attendit un moment avant de venir branler Gilles. Quand il fut de nouveau bien en forme, elle se mit à quatre pattes et se laissa sodomiser. Flora me suça, et me fit bander de nouveau.
Encule-le, me dit-elle, je suis sûre quil va adorer.
Jhésitais, mais Gilles me regarda et me dit quil était prêt, quil voulait aller jusquau bout de lexpérience, et sentir ma bite en lui. Je me suçais un doigt et le glissais entre les fesses de Gilles. Chatouillant son anus, le préparant à maccueillir. Il frissonna quand je le glissais en lui et commençait à lui branler le cul. Je lui glissais un second doigt avant de placer mon gland contre son trou bien humide de ma salive.
TU es sur, lui demandais-je ?
Vas-y, encule-moi, dépucèle-moi le cul.
Je donnais un coup de reins, et le fit crier quand je franchissais sa rondelle. Je lui laissais le temps de shabi à ma bite avant de lenculer pour de bon, allant et venant dans son petit conduit. Il se crispa un peu avant de se détendre, et de commencer à pousser des petits râles de plaisir. Je lui tenais les hanches et y allait de plus en plus fort, sentant monter en moi un nouvel orgasme.
Gilles cria en jouissant, son corps entier tendu vers son plaisir. Déversant son foutre dans le cul dÉmilie, jouissant de la bite et du cul. Je me retirais et lâchait un dernier jet de sperme sur ses fesses.
Nous étions tous les quatre épuisés, couvert de sueur, la chambre sentait le foutre, le cul, la chatte. Les draps étaient couverts de notre fluide.
Émilie et moi allâmes nous doucher avant de nous rhabiller. Gilles et Flora ne prirent pas la peine de se vêtir pour nous accompagner jusquà la porte ou ils nous embrassèrent en nous remerciant pour le bon moment partagé.
La nuit était bien avancée quand nous redescendîmes dans la rue. La foule avait un peu reflué. Le bal continuait, mais avec moins de monde.
Émilie passa son bras sous le mien.
Cétait super, me dit-elle, on rentre.
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