Dans La Chaleur De L'Été (5)
Nous marchions bras dessus, bras dessous dans lair frais de cette nuit dété. Fatigués de nos aventures, mais heureux de ces rencontres. Les terrasses des cafés se vidaient petit à petit. Quelques groupes parlaient fort, riant en buvant des coups. Nous rentrions tranquillement, en silence, savourant les derniers frissons de plaisir qui parcouraient nos corps. Quy avait-il de plus agréable que le sexe entre adultes consentants ? pensais-je. Limage de Gilles traversa aussi mon esprit, javais été son premier mec, et il y avait pris un vrai plaisir. Jétais perdu dans les pensées quand jentendis une voix nous héler. Sophie. Installée à la terrasse dun café, elle prenait un verre accompagné dune superbe femme. Elle nous invita à la rejoindre et nous présenta à son amie.
Gisèle avait 20 ans, elle était mannequin, e qui nétait pas étonnant. Elle avait une poitrine superbe quelle mettait bien en valeur, de grands yeux bleus, et une peau qui appelait les caresses. Émilie fut immédiatement sous le charme, et elle me dit avant de nous assoir quelle adorerait rentrer avec elle.
Nous commandâmes un verre et trinquâmes avec les deux filles. Nous navions pas vu Sophie depuis que je lavais présentée à Emilie.Même si nous en avions eu envie, loccasion de nous revoir ne sétait pas présentée.
Nous echangeames des propos banals sur le temps, nos vies, et Sophie nous demanda ce que nous avions fait de cette soirée, si nous étions allés danser au bal des pompiers. Émilie ne résista pas à lenvie de raconter nos rencontres. Bella prise dans létroitesse dune cabine de toilette. Gilles et Flora dans leur chambre dhôtel. Linitiation de celui-ci aux plaisirs homos. Elle ne se gêna pas pour entrer dans les détails. Sophie souriait, peu surprise de nos aventures, dont elle avait été une des participantes quelque temps auparavant. Gisèle écouta sans rien dire, buvant de temps en temps une gorgée de son verre. Si Émilie cherchait à la choquer, cétait raté.
Je pense quils ont passé une plus belle soirée que la notre, dit elle à lattention de Sophie une fois quÉmilie eu fini.
La nuit nest pas terminée lui répondit Sophie.
Émilie sourit, elle savait que les choses allaient finir comme elle le souhaitait. Elle proposa alors que tout le monde aille boire un dernier verre chez nous.
Si tu nous promets que ce ne sera pas juste un verre, lui répondit Gisèle en se levant.
De verre il ny en eut pas. À peine avions-nous franchi la porte que Gisèle se jeta sur Émilie et lembrassa à pleine bouche, la colla à elle et fit courir ses mains sur son corps.
Il ne faut pas men promettre trop, dit-elle, tu mas chauffé à blanc avec tes histoires, maintenant il va falloir assurer, je mouille à mort.
Pas de problème ma belle, lui répondit Émilie, je rêve de te baiser depuis que je tai vue.
Les deux femmes allèrent jusquau salon sans se décoller lune de lautre et Émilie plongea vers le sexe dégoulinant de Gisèle. Lisse comme un péché, elle le lécha comme si sa vie en dépendait, comme si elle navait pas eu sans compte de sexe pour la soirée.
Toujours aussi gourmande, me dit Sophie.
Toujours aussi bandante, lui répondis je en lui caressant les fesses.
Je suis heureuse de te faire de leffet, me dit-elle en posant sa main sur ma braguette t constatant que malgré ma folle soirée, je bandais encore.
Sophie bandait aussi, et je la fis assoir pour prendre sa bite en bouche. Elle se déshabilla, et je fus une nouvelle fois bluffé par sa beauté, sa féminité, et cette queue bien dure, ferrement dressé qui nattendait que ma bouche.
Émilie et Giséle sétaient mises en 69 sur le tapis du salon. Elles gémissaient de concert.
Nous nous installâmes pour regarder les filles et Sophie me raconta son histoire avec Gisèle. Elle lavait connue alors quelle était encore un homme. Cétait la petite sur dun ami.
Je ne pensais plus à elle, ni même à mon ami de lépoque, poursuivit-elle, et puis il y a quelque temps, je vais à une expo de photo, je flâne dans la galerie quand je sens une présence. Cétait Giséle. Je lai reconnue tout de suite. Elle avait grandi, était devenue femme, et quelle femme, mais elle avait le même regard, les mêmes gestes. CE qui est le plus surprenant cest quelle ma reconnu tout de suite aussi. Pourtant jai bien changé. Si je te montrais de photos de moi à 17 ans tu ne me reconnaitrais pas. Mais elle si, elle est venue, et ma appelé par mon ancien prénom. Jai été surprise, plus personne ne mappelle comme ça, à part mes parents et encore. Je lui ai dit que maintenant jétais Sophie. Elle a souri, et elle ma embrassé.
« Tu sais que jétais amoureuse de toi à lépoque, ma-t-elle dit. »
Je savais bien sûr, mais jai fait létonnée.
« Je me masturbais en pensant à toi »
Je lui ai dit que jétais flatté, mais quelle devait être déçue de me voir en femme.
« Pas du tout, je dirais même que je te préfère comme ça, dit-elle, comme je préfère les femmes, mais que je ne dis pas non aux hommes, tu résumes parfaitement ce dont jai envie »
Elles sont alors parties de lexpo et sont allées chez Sophie. Gisèle sest mise nue. Sophie a admiré le corps parfait de celle quelle avait connue adolescent. Alors, timidement, à son tour elle sest déshabillée, révélant son ambigüité. Ses seins, et sa queue. Ses formes féminines et sa masculinité cachée. Giséle est venue lembrasser. Se serrant contre Sophie, caressant sa peau douce, ses seins, et prenant sa bite dans sa main.
Tu es si belle, lui dit Gisèle, si parfaite.
Elle guida Sophie vers le lit, sans lâcher son sexe, et la fit entrer en elle.
Je ne pensais pas dire ça un jour, mais je suis amoureuse. Gisèle, qui mavait aimé secrètement quand jétais un autre, maime tout autant, voire plus maintenant que je suis pleinement moi.
Émilie et Gisèle avaient joui devant nous, explosant chacune dans un grand cri. Elles sembrassaient désormais, se lovaient lune contre lautre, et écoutaient Sophie raconter son histoire.
Mais je taime pour ce que tu es et ce que tu nes pas, nest plus, je tai toujours trouvé beau, et je te trouve belle, dit Gisèle, mais on ne va pas faire dans le culcul, on est là pour baiser avec tes amis.
Je caressais Sophie depuis un moment, sentant sa queue sous mes doigts, avec lenvie très forte de la prendre dans ma bouche. Les deux filles sapprochèrent, membrassèrent, embrassèrent Sophie et nous nous miment tous les trois à sucer Sophie. Nous nous passions sa queue de bouche en bouche, nous embrassant autour delle, caressant ses couilles, ses seins.
Baise-moi, me dit Gisèle, je veux gouter à vous deux ce soir.
Elle se mit à quatre pattes et je la pris en levrette pendant que Sophie continuait de se faire sucer par Émilie.
Encule-moi, lui dit elle en lâchant sa queue, jadore te sentir dans mon cul.
Sophie se plaça derrière Émilie. Les deux femmes se faisaient face et sembrassaient pendant que Sophie et moi les prenions par-derrière. Je jouis sur les fesses de Gisèles, et regardait Émilie atteindre lorgasme sous les coups de bite de Sophie.
Jétais épuisé, Émilie aussi, mais nos invités, qui navaient pas passé la même soirée que nous avaient désormais faim de sexe, et pendant que nous nous reposions, continuèrent à samuser sous nos yeux.
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