Maître Ou Pas Maître, Telle Est La Question (Démission 3)
Le lendemain matin de nos premières galipettes, jai fait comme si de rien nétait. Boulot, boulot.
A midi, pendant que les autres déjeunaient dehors, jai retenu Camille dans mon bureau.
- Soumise, suce-moi ai-je simplement dit.
Elle sest agenouillée devant moi, ma ouvert le futal et ma sorti le jonc en moins de deux. Et en avant pour une pipe. Je lui tenais la tête, enfonçant mon membre bien au fond. Gorge profonde pour cette poulette ! Elle encaissait sans rien dire, avec un peu de bave qui parfois séchappait, mouillant encore plus lensemble.
Quand jai giclé dans sa bouche, jai maintenu sa tête, la forçant à avaler le tout. La forcer est exagéré, car elle a trouvé cela bien délicieux et me regardait avec ses yeux pleins de reconnaissance.
- File bouffer, petite chienne, je veux être peinard.
- Oui, Monsieur Steve, et hop, elle sest tirée.
Je commençais à trouver le truc plutôt fastoche et y prenait goût. Se faire piper ainsi au débotté, sans avoir la greluche qui renâcle sous prétexte que cest pas le moment, que cest pas bien, quelle veut pas, voilà qui change la vie dun homme. Ouais, je sais, certaines nanas et les mecs timides vont encore me sermonner sur le respect de la femme, et patati, et patata, mais là, pour une fois, jmen tape.
Une bonne femelle qui aime la bite et la domination, cest top. Attention, jrespecte la nana hein, j vais pas la violenter, et même jpourrais lui demander ce quelle veut pas faire, mais bon, moi je découvre le truc, hein, et à mon âge, ya plus de temps à perdre en minauderies. Alors ceussent que ça y plait pas, passez au texte suivant.
Bon, donc me voilà soulagé des burnes.
Le boulot reprend, et le soir, cette petite salope, en manque sûrement, se pointe à nouveau à la porte de mon bureau quand tout le monde est parti.
Avant quelle savance plus, je lance
- A poil, après les heures de bureau, tu rentres ici à poil, vu ?
- Oui Monsieur Steve
- Et ensuite, à quatre pattes
Elle sest déloquée, sest mise à quatre pattes et sest approchée.
- Mmm, tes une bonne chienne, je vais adorer être ton Maître
- Merci Monsieur Steve
- As-tu des limites, jeune pute ?
- Aucune, Monsieur Steve, tout ce que vous voudrez vous pourrez me le faire.
- Bon, voilà un programme qui me plait (vous voyez bien, les coincé(e)s, quand on demande, les bonnes cochonnes ne se formalisent pas !).
- Pour commencer, appelle moi Maître, et je vais te faire jouir, jveux pas que tu simules, je veux que tu prennes ton pied.
- Merci Maitre
Je lai allongée sur la moquette, et jai commencé à lui approcher labricot. Il suintait déjà ! Jai humé sa craquette de minette, une odeur douce et un peu sucrée. Jai approché mon pif et jlai mis entre ses lèvres pour la renifler à fond tant cétait bon. Rien que ça et déjà un petit courant de chatte ma humecté le museau. Jai sorti ma baveuse et jai lapé le bon jus. Son ptit clito sérigeait et me narguait, alors jlai lapé aussi. Tout dans cette jeune fente était attirant.
Jai écarté ses lèvres et introduit ma baveuse dans son con. Le plus loin possible. La garce commençait à geindre, alors jai empogné ses obus pour accélérer le rythme. Elle haletait un peu.
Jme suis concentré sur son pic damour en lentourant de ptits cercles de langue, et lui mettant des coups sur sa pointe, puis jai mis deux doigts dans son con bouillant et lai branlée lentement, courbant mes doigts pour pogner son point G.
Jsentais quelle allait mfaire la digue de la chatte, alors jai calmé le jeu et msuis concentré sur les nibards, remontant ma tête près delle et lui roulant un palot mahousse. Elle a pas molli et sa langue sest vite acoquinée à la mienne. Bref, une ratatouille de salive qui débordait un peu sur nos torses.
Jsuis redescendu vers sa cave en passant sur les obus. Bouffre, quels nibards, sur lesquels jai appliqué ma méthode du léché-pincé tant appréciée de ces dames. Et elle couinait, la petiote, me faisant penser qujétais le roi du pétrissage.
Bon, après lui avoir enduit les lolos de ma bave, jsuis allé revoir sa touffe royale. Ben oui, taillée comme à Versailles quoi !
Jlui ai de nouveau ramoné le vestibule chatounesque, mais brusquement, jlai retournée et lui ai mis une bonne fessée.
- Ça mdémangeais dte frapper le cul, soumise.
- Oh, Maître, tout est bon dans le cochon que vous êtes.
De la réplique, en plus, jétais gâté !
- Fais pas la mariole, soumise, vu ? mais je sentais bien quelle se marrait en douce. Et dailleurs moi aussi, ce jeu me faisait marrer, je narrivais pas à me prendre totalement à mon rôle.
- Oui Maître ma-t-elle souri
- Ouais, ouais, tu mas lair plutôt impertinente ce soir ! Bon, maintenant, on continue.
Elle était sur le ventre, et son cul se tendait vers moi.
Jai remis deux doigts dans sa chatte, mais jai ajouté un dans le derche, direct dans le trou de balle.
Ah la mousmée, comme elle se trémoussait, gémissant son plaisir dêtre pénétrée.
Jme suis bien appliqué, vu que jlui avais dit que jallais la faire reluire, alors alternant doigts dans le fion, doigts dans lcon, jlai fourrée jusquà ce quelle pisse sa mouille sur la moquette dans un grand cri.
Jdois dire, jétais fier, parce que faire monter une greluche comme elle au balcon, cest pas les manchots qui peuvent. De la gourmande de qualité comme elle, faut du doigté, messieurs, pas du plan-plan du samedi soir. Hein, mesdames, vous qui êtes que des gourmandes ici, que vous voulez du bon mec bien attentif à vous faire bramer vos entrailles, pas des freluquets qui pensent quà leur nouille.
Et ma soumise, jla domine peut-être, mais les bons maître veulent-y pas leur bonheur ? Parce que sinon, parlons clair, elles se carapatent les asticots.
On nest le maître que parce quelles le veulent, faut pas loublier.
Bon, vu quelle avait quand même mouillé ma moquette, elle la nettoyée avant de partir.
Moi, une fois seul, je me suis refait un ptit plaisir solitaire.
Parce que ya pas draison de soublier (et Florence le sait bien, la coquine, que se caresser labricot ou le manche, cest du tout bon).
Bon, au vrai, y'a encore un peu de taf pour que je sois un vrai Maître.
Vu le nombre de lecteurs/lectrices ici, va falloir que j'assure, y'a d'l'attente, je l'sais.
Si l'un(e) de vous veut m'donner des conseils, c'est le moment de se lâcher, vu qu'la Camille, pour dompter son ciboulot autant qu'son anatomie, ça va être sport.
Mais si vous vous défilez, j'me ferai tout seul, y'a pas à tortiller.
A la revoyure.
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