Christian 2
Le lendemain, jai présenté mon exposé, en ayant effectué à létude du matin les retouches nécessaires pour le terminer, et obtenu, à la fois une note brillante, mais aussi les compliments de mes camarades de classe
.
Sils avaient pu savoir que ce succès était dû en partie au corps de mâle de Christian
!!!
Deux jours après, Christian de nouveau de garde. Jappréhendais vraiment de lavoir en face de moi, ne sachant ni quoi lui dire, ni quelle devrait être mon attitude en privé avec lui, parce que je savais quil ferait tout son possible pour que nous soyons seuls à nouveau, tous les deux. Pas manqué, après le repas, me dirigeant vers la cuisine pour parler au chef
(Ah Oui, cest vrai, jétais délégué à linternat et à ce titre, je voyais souvent lEconome, les gradés, et le Chef
Pour parler avec lui, voir les améliorations à apporter, voir ses possibilités et ses limites
. Bref, nous avions pris lhabitude de nous voir le soir, en toute amitié, et souvent pour partager, ensemble avec son équipe, un petit verre que mon âge maurait interdit)
Pendant cet instant de dialogue, de plaisir avec léquipe de cuisine, Christian est arrivé. Le service du soir était terminé, il pouvait se joindre à nous, il en avait le droit
« Quest ce que tu fais là toi... ?»
Le Chef sest interposé et lui a fait remarquer que si jétais là, cétait à sa demande, et avec plaisir, comme tous les soirs depuis un certain temps, quil était Chef dans sa cuisine, et que Christian, malgré son grade, navait rien à dire en ces lieux
Jai regardé Christian avec un air très ironique en lui demandant :
« Vous vouliez me parler Chef ? ». Et oui
A un MLC, on dit CHEF
Il sest approché de moi, à mon oreille
..
« Je tattends dehors
. Et vite
!!! »
Après un moment passé avec léquipe de cuisine, moment que javais fait durer tant et plus, pour faire râler Christian bien sur, je suis enfin sorti des cuisines du réfectoire, prêt à me rendre au bâtiment du dortoir
Sans compter quune main vigoureuse de militaire mattendait
.
« Samedi, tu sors, tu vas sur la place et je viens te récupérer
ok ? »
« Et tant que tu y es
pose une perm pour tout le Week-End
Comme si tu allais chez tes correspondants »
« Ah oui
? Pourquoi je ferais ça ? »
« Tu verras bien
. Et jattends de voir si tu vas le faire »
Avec son air ironique, conquérant, sûr de lhomme qui a conquis sa proie, il a pris ma main et la posée sur son sexe
Dur, chaud, tendu au max
. Il sest approché de moi, ma pris dans ses bras, a posé son souffle sur mon cou et ses mains sur mon cul
.
« Tu vas enfin savoir ce quest dêtre possédé, totalement défoncé par un vrai sexe de mâle
Cest ce que tu veux, non ? Et ne me dis pas NON
je le sais
. A samedi
»
Son, « à samedi » sonnait comme une mesure sardonique
En fait, cétait assez simple
javais envie de ce mec, il était beau, il me plaisait, mais il voulait tout
Il voulait prendre ce que je navais jamais donné auparavant
.
Mon cul
mon pucelage
Il voulait enfoncer son sexe long au plus profond de moi-même
me faire connaître un plaisir, que je navais pas encore connu.
Le samedi, jétais là, sur la place, et sans rien dire, je me suis assis à ses côtés dans sa voiture
« Tu sais ce que tu fais
? »
« Oui »
« Tu sais que ce que je vais faire de toi ? Une vraie femelle
Je vais te prendre par tous les trous
Je vais te défoncer, r de toi, de ton corps pendant tout ce Week-End ? Je vais te faire connaître le vrai mâle
»
« Oui »
Alors
en route
!!!
Je lavais déjà sucé pas mal de fois au Collège, mais ça, je savais le faire depuis des années, dans des endroits discrets, même une fois dans sa chambre de permanence, où excité comme un malade il avait voulu aller plus loin et javais refusé.
Ce soir, jétais décidé
Je voulais perdre enfin ce pucelage anal, et sentir son sexe me pénétrer et devenir un véritable
enculé
.
Entre temps, il avait loué un appart hors de lenceinte du collège et après quelques minutes, nous y sommes arrivés. Après une visite sommaire des lieux, je me suis installé sur son canapé et il ma apporté un thé, il savait que jadorais ça. Le savoir à côté de moi, sentir ses effluves de mâle poilu, contempler son torse velu sous sa chemise ouverte et voir cette barre qui se dressait sous son survêt moulant, ont eu raison de moi. Ce nétait plus le thé que javais envie de boire, mais Lui
Il ma pris dans ses bras, ma amené dans sa chambre et ma porté sur son lit. En même pas une minute, jétais à poil et lui aussi et javais enfin la totalité de son corps sur moi. Sa peau frottait la mienne, et de ses genoux, il écartait mes jambes pour lui donner accès à ce quil voulait depuis longtemps
.
Puis il sest tourné, ma présenté son sexe, et la enfoncé dans ma bouche en me léchant tout le long de mon périnée jusquà mon puit damour, but de ses délices
Quand il ma senti prêt, il a positionné mes jambes sur ses épaules en les écartant au maximum et jai senti son gland frotter contre mon orifice vierge de toute intrusion jusquà cet instant.
Même si jen avais très envie, javais quand même un peu peur, la nature ne lavait pas oublié, et cette barre de chair, sans être hyper épaisse, mais quand même, était surtout très longue avec des couilles bien lourdes, bien pendantes, gorgée de ce bon jus dhomme qui ne demandait quà sortir.
Cette barre foreuse sest enfoncée dans moi dun coup après que le gland soit passé et jai senti ses couilles taper sur mes fesses, les poils de sa bite me caresser comme je caressais ceux de son torse
..
Javais ouvert mes lèvres pour crier, quil eut vite fait de fermer avec sa bouche, puis avec sa main en me disant :
« Il vaut mieux dun coup
. Ca fait mal au départ, mais au moins cest rentré
. »
Jai compris ce que lexpression « se faire défoncer » voulait dire
.
Jaimais ça
. Jaimais trop ça et mes mains se baladaient partout sur son corps, surtout sur ses fesses pour le pousser encore plus fort dans moi
Quel plaisir, quel bonheur
!!!
Pourquoi navais-je pas voulu donner mon cul avant alors que cétait aussi bon
.. !!!
Pendant tout le Week-End, ça na pas arrêté
. Christian voulait toujours ma bouche ou mon cul quil avait défloré, rempli de sa liqueur, qui sécoulait en permanence de la chatte quil avait créée entre mes jambes en me défonçant sans pitié
. Ce mec était insatiable
Si je savais quil avait pas mal de sperme pour lavoir sucé maintes fois auparavant et avalé ce précieux nectar, javais limpression quil men mettait des litres
..
Le dimanche soir arrivant, il ma déposé près du Collège. Jai eu du mal à marcher jusquà lentrée, tellement mon entrejambe était douloureux, du sperme continuant à sévacuer de mon orifice que je savais, désormais, destiné au plaisir des hommes.
Jétais enfin dépucelé, javais enfin donné lintégralité de mon corps à un sexe dhomme et je savais aussi que beaucoup dautres allaient suivre.
Je suis monté directement me coucher, rempli de ses odeurs, de sa liqueur de mâle en pensant ironiquement, avant de mendormir :
« Maman, tu dois être contente maintenant
Je suis une vraie fille et je viens de me prendre du sexe de mâle par tous les trous, jai enfin une chatte, une chatte qui vient de connaître le sexe masculin »
Et je me suis endormi, du profond sommeil de la femelle qui a rassasié le mâle.
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