La Coiffeuse
Cétait une journée normale, un vendredi, fin de semaine. Je travaillais dans une boite dinformatique et javais une pause de 1h30 le midi, jen ai profité ce jour là pour aller me faire couper les cheveux. Petit rappelle, je suis brun, 26 ans, yeux marron, 1m84, 80 kg, plutôt large dépaule. Je vais toujours dans le même salon de coiffure mais la coiffeuse change souvent, il faut dire que jy vais peu.
Ce jour là je fus reçu par une charmante demoiselle, blonde, plus jeune que moi des yeux bleue, une paire de lunette fine, les cheveux étrangement coiffé comme seules les coiffeuses ont, et un sourire ravageur. Coté corps, environ 1m70, 90 C a vu de nez et une chute de rein indescriptible.
Elle commence donc son travail, une coupe simple, tondeuse et ciseaux. Pendant ce temps elle me parle de ses études, de sa vie, ses sorties, elle à lair pétillante et heureuse de vivre je souris comme un con, buvant ses paroles. Au détour dune phrase, japprends quelle est célibataire. Intéressant me dis-je. A un moment, alors quelle sort un rasoir pour peaufiner la nuque :
- Je vous enlève les poils disgracieux à ce niveau, votre petite amie ne doit pas apprécier. enfin si vous en avez une.
- Et Non, répondis-je.
A ce moment jaurai juré quelle ma fait un clin dil. Je nai pas cessé de la reluquer durant une demi-heure, mais hélas arriva la fin. Au moment de payer, je griffonne rapidement mon numéro sur un papier et lui tend avec la carte bleue. Elle me rend la carte bleue, sans le papier, en souriant. Je retourne rapidement au travail.
Evidement jai eu beaucoup de mal a me concentré cette âpres midi là. Mais vers 16, mon portable à vibrer. Cétait elle qui menvoyait un sms, très court : Bar le Finnegan, 21h30 Signé : Une certaine coiffeuse. Autant dire que mon sang na fait quun tour et que le temps est passé encore plus lentement, je nen croyais pas chance.
Autant dire que je me suis préparé avec soin, rasage de prés, chemise propre et bien évidement des capotes dans une poche de ma veste.
Le bar est plein, normal cest vendredi soir. Je scrute lassemblé du regard mais elle ne semble pas être là. Bon, après tout je suis en avance, je me trouve donc une table libre et commande un Martini. 21h30, ma belle nest toujours pas là, je ne sais pas pourquoi mais je stresse, alors que si ce trouve cest une blague, elle va me planter là. 21h45, deuxième martini, je lattends toujours, finalement lambiance est chaleureuse, la boisson sympathique. Elle franchit enfin le seuil de la porte
Elle porte une petite robe bleu nuit, mettant en valeur sa généreuse poitrine, et son sourire illumine la salle, je vois beaucoup de mec tourner les yeux vers elle. Elle maperçoit, nos regard se croisent, elle sourit, puis vient sassoir à ma table.
Jentame la conversation :
- Bonsoir, vous êtes absolument ravissante ce soir.
- Merci, elle rougit, désolé du retard.
- Vous êtes toute pardonnée
- Pour ne rien vous cacher jai un peu hésité à venir.
- Je comprends, dis-je en souriant, je reste un inconnu.
- Voilà, mais vous inspirez tout de même confiance.
- Et bien, cest déjà ça. Que buvez-vous ?
- Une piña Colada.
Je commande des boissons et nous entamons la conversation. Nous somme rapidement à laise pour parler et plaisanter. Le courant passe bien, et lalcool aidant nous nous éclipsons pour une petite promenade le long des berges de la rivière locale. Les quais sont déserts, la nuit est douce et agréables. Je lui propose ma veste quelle refuse, et elle se colle soudain à moi, une flamme dans les yeux :
- Ecoutes, tu es un mec génial mais je ne veux pas su sérieux, je ne veux pas du quotidien, de la routine et des courses du dimanche. Je veux de laction, et je la veux maintenant. A prendre ou à laisser.
Sans me laisser le temps de répondre elle membrasse et part en trottinant.
Je la ratt rapidement et la plaque contre un arbre pour un baiser passionné, mes mains plaqués sur ses fesses.
Nous montons doucement chez elle, ponctuant la montée de baiser, de mains baladeuses, je goute à la douceur de ces fesses, elle porte un string, et ces mains vont jusqu'à ce perdre dans mon boxer sur le pas de sa porte.
La visite de lappart est rapidement expédiée jusqu'à la chambre, sur le lit où elle sallonge dun regard gourmand. Je roule sur elle, nos lèvres ne se quittent pas, mais mes mains sont de plus en plus baladeuses, je titille son entrejambe déjà humide, ça la fait sourire. Je lui retire doucement son string, dévoilant un sexe épilé de prés, et remarque au pied du lit un sextoys et un string roulé en boule. Elle pouffe :
- Oui, hihihi, jai pensé à toi en rentrant du boulot
- Et cétait bon ?
- Moins bien que maintenant
Elle commence doucement à placer une main entre ses jambes en me regardant. Jatt le gode et glisse ma langue sur son nombril (elle a relevé sa robe), puis descend doucement jusqu'à son clitoris. Elle se mord les lèvres et commence à gémir tandis que ma langue titille de plus en plus rapidement son bouton damour.
Je glisse alors un doigt dans son sexe brulant, elle à lair dapprécier, un deuxième, elle gémit de plus en plus fort. Puis je prends le sextoy et tout en gigotant ma langue comme un diable je lui insère le gode. Elle à un râle de plaisir intense, elle gémis comme une folle sous le rythme soutenue, je la sens se cambrer, se crisper. Elle att ma tête, la lâche, la récupère, ses jambes pédalent sur le lit, elle commence même à crier, je veux continuer mais elle men empêche :
- Hop hop hop, Buggs Bunny, à ce rythme tu va me faire jouir, et je veux en profiter pleinement, alors a ton tour de subir
Elle mallonge sur le lit et retire sa robe, me dévoilant ses seins magnifiques.
Je perds doucement pied lorsque sa langue descend le long de mon torse épilé tandis quelle me branle, je me mordille les lèvres. Elle enlève ensuite le caleçon et me caresse plus vigoureusement. Ma respiration saccélère. Je pousse un soupire quand sa langue joue avec mon gland, avant daller titiller la base de mon sexe dressé. Je gémis de plaisir.
Sans crier gare, elle englobe mon sexe pour une fellation magistrale, elle avale ma bite sans peine et va jusqu'à la garde, elle va et vient comme une furie, jatt le lit tellement cest bon, je gémis, lui murmure de continuer, quelle va prendre
Elle gémit pendant la fellation, je suis aux anges. Le plaisir monte vite, mais avant que ne lui dise elle arrête en souriant, puis att une capote, quelle menfile directement. Elle me chevauche et me murmure :
- Yeeeeeeehaaaaaaa
Le rodéo commence tambour battant lorsquelle sempale sur moi comme une forcenée et entame le va et vient rapide. Son mouvement de hanche est torride, je pose mes mains sur ses fesses que je griffe pour accompagner le mouvement, elle feule, elle gémit, commence même à crier, je suis au paradis. Elle continue ce mouvement un bon quart dheure, durant lesquelles je lui malaxe les seins, lui titille les tétons et me colle à elle pour de torrides baisers.
Puis je reprends les choses en mains en roulant sur elle, et la prend en missionnaire, relevant ses jambes de chaque coté de ma tête. De nouvelles sensations menvahissent, je vois des étoiles dans ses yeux. Jaccélère le rythme pour lassaut final, je donne tout ce que jai fait des vas et viens rapides et profonds, elle crie son bonheur, je sens son vagin se contracter sous lorgasme, je sens le miens approcher, je retire la capote, et joui sur son ventre et ses seins
.
Je massoie sur le bord du lit essoufflé, elle me regarde en souriant :
- Tes pas mauvais, mais jai connu mieux.
- Dit-elle, jimagine que tu simulais il y a à peine quelques minutes.
- Mais parfaitement, ricane-t-elle, aller je vais me laver.
Elle séclipse dans la sale de bain, et jentends leau de la douche qui coule. De mon coté, mon sexe à repris sa mini taille, je suis toujours sur le lit, quand il me prend lenvie de la rejoindre.
Je suis dans la salle de bain, je ne pense pas quelle mai vu. Je pousse doucement le rideau de la douche, me glisse derrière elle pour la serrer contre moi. Mais elle ne sursaute pas :
- Tu as mis le temps pour venir mon coquin.
- Je voulais attendre que tu te lave.
- Ben tu penses
Puisque tu es là jai besoin daide pour me frotter le dos.
Jatt le savon et commence doucement la lui frotter le dos. Jeffleure ses seins au moment de le reposer ce qui la fait sourire. Je commence à lui savonner le dos, puis les fesses avant daller empoigner ses seins. Leau chaude coule toujours, ce qui à pour effet de me redonner de la vigueur. Collé dans son dos, une de mes mains vient lui titiller lentrejambe, elle pousse un soupir avant décarter légèrement les cuisses. Je la caresse doucement pour la mettre en condition mais elle semble déjà bien chaude.
Ça ce confirme lorsquelle se retourne, sagenouille et entame une fellation rapide pour me faire bander complètement.Ca bouche plus leau chaude me fond littéralement perdre pied et je suis rapidement dur comme du bois. Elle pose ses mains sur le mur, tortille ses fesses et se retourne pour me regarder dans les yeux avec un air de gamine mutine.
Je prends ma bite pour la guider dans son sexe, entamant doucement une levrette brulante, je prends possession de son sexe jusquau fond et entame un doux va et vient. Rapidement la chaleur monte, la buée recouvre la salle de main et la levrette devient sauvage, je donne chaque coup de rein comme je voulais la faire quitter terre. Jalterne entre mes deux mains sur ses hanches pour plus de bestialité et collé à elle, une main sur un sein et lautre qui lui titille le clitoris, avec un va et viens plus lent mais plus profond. Nous gémissons en cur :
- Mmmm
.aaaaaa..ouiiiiii.tarrête pas mon lapin.
- Mmmm.pfiouuuuu
. haaaaann
cest pas près de finir.
- Ouiiiiiiiiiii
Nous continuons notre dialogue pendant une vingtaine de minutes, vingt minutes de pure bonheur et dextase, de jouissances partagées. A un moment je la sens qui joui, je me retire pour lui gicler sur les fesses, dans un soupir dextase
Essoufflée nous nous sourions puis elle rompt le silence :
- Je vais devoir me re-laver
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