La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°283)

Suite de l'épisode précédent N°282 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -

Sur une halte tranquille presque avant la sortie de l’autoroute, Walter gare sur une aire la voiture dans laquelle Thaïs a été attachée et menottée, pieds et poings liés à la demande de son Maître Vénéré, le Marquis Edouard d’Evans. Il est sorti du véhicule pour aller jusqu’à la porte avant droite pour pouvoir défaire toutes les contraintes qui entravent la soumise sur le siège passager, et ce, sans lui adresser le moindre regard, mais il ne se gêne pas pour lui donner une bonne tape sur la nuque pour la forcer à baisser rapidement à nouveau la tête, qu’elle a dû relever pour qu’il puisse défaire le mousqueton de la double chaîne qui avait été accrochée sur l’anneau en « O » qui pend au collier scellé sur son cou.

- Il est temps de te rendre une liberté apparente, mais seulement apparente je dis bien ! Il y aura peut-être du monde au péage en sortie, et ta condition d’esclave-soumise doit rester cachée aux yeux du monde le plus possible, et surtout en particulier à la vue de tes collaborateurs, hormis ton collier d’esclave que tu porteras en permanence, d’autant plus que tu n’as aucun moyen de pouvoir le retirer. Seul l’esclave Philippe qui va rejoindre tes bureaux dans l’après-midi est au courant de la réalité de ta situation qu’il partage également depuis plus longtemps que toi. C’est un esclave parfaitement docile qui était employé depuis longtemps dans une des entreprises de ton Maître quand Celui-ci a su révéler à ce chien sa véritable nature servile (voir la Saga saison 2 : L’entreprise)…

De retour sur Orléans, Walter dépose Thaïs directement devant l’entrée des bureaux de la société qu’elle dirige. La soumise sort délicatement de la voiture, remettant le plus rapidement possible sa jupe en place sur ses cuisses. Elle est particulièrement troublée et agitée car elle sait qu’elle est toujours sans petite culotte, avec un long plug enfoncé dans le cul depuis le matin, mais surtout relativement poisseuse car sa cyprine a fini par couler sur ses cuisses et ses fesses.

Elle est d’autant plus gênée de la situation qu’elle s’est retournée instinctivement en descendant de la voiture et qu’elle a aperçu la tâche humide qui a laissé une nette auréole sur le cuir des sièges de la Rolls-Royce. Walter qui était sorti également du véhicule avait aussi eu l’idée de s’enquérir de l’état du siège.

- Et bien ! Tu n’es en somme qu’une femelle humide ! Je ne sais pas si Monsieur le Marquis va être content de savoir que tu as tâché sa splendide voiture de luxe. Tu ne pouvais pas te retenir et aussi serrer fortement tes lèvres roses pour éviter d’en mettre partout, on aurait du te mettre une couche comme les vieux incontinents, mais ce n’était pas les ordres de Monsieur le Marquis… Tu crois que je n’ai que cela à faire, laver les tâches des chiennes femelles lubriques dépravées comme toi dont les chattes dégoulinent sans cesse quand elles sont émoustillées (ajoute le majordome d’un ton plus que diabolique). Heureusement, que tu n’as pas pissé en plus, cela aurait été le comble. Tu ne perds rien pour attendre, je m’occuperai de toi quand tu seras arrivée au Château.

Thaïs se met à rougir comme jamais en entendant les propos si humiliants de celui qui la toise de sa forte carrure et hauteur importante. Elle se demande bien comment il aurait pu en être autrement, puisque tout a été fait pour la maintenir dans un état d’excitation importante et permanente qui ne pouvait que laisser sa cyprine couler abondamment. Elle baisse la tête pour essayer de cacher ses joues écarlates et voudrait à cet instant trouver un petit trou de souris pour se faufiler et retrouver, comme si de rien n’était, son siège de chef d’entreprise sans avoir même à passer par la porte d’entrée et devoir dire à retardement bonjour à tous ses collaborateurs, mais surtout également avoir à se justifier plus ou moins de son retard non prévu dans l’agenda, car elle pense que tout le monde va irrémédiablement remarquer son trouble manifeste et finir par se poser des questions.
Walter remonte dans la voiture et démarre sans tarder pour reprendre la route et rejoindre la demeure de son patron, le Château de la Noble famille des Evans…

La semaine a passé si rapidement que Thaïs a très peu trouvé le temps de manger et de dormir, essayant tant bien que mal de mettre un peu d’ordre dans son bureau et dans les dossiers en cours, très occupée par l’arrivée dudit Philippe dès le lundi après-midi. Mais son esprit a surtout été préoccupé par son arrivée future au Château du Marquis d’Evans. C’est pour elle un instant qu’elle attend depuis si longtemps, Son Maître ne lui a jamais montré de photos de la demeure ancestrale dont IL ne cesse pourtant de parler, et elle a si souvent imaginé les majestueuses pièces qu’elle espère pouvoir découvrir un jour ou l’autre, imaginant d’y vivre tant de choses si réjouissantes et émouvantes. Le Marquis d’Evans aime bien entretenir le mystère jusqu’au bout et IL adore jouer des effets de surprise car c’est aussi une forme de Domination que de maintenir Sa soumise en permanence dans la vulnérabilité de sa condition librement consentie et l’incertitude de ce qui va lui arriver à chaque instant, en fonction du seul bon plaisir du Maître, qui ne manque ni d’imagination, ni de perversité, pour user et r de celle qui Lui appartient totalement et qu’IL aime autant voir jouir que subir, le principal étant qu’elle puisse ressentir le puissant et réconfortant joug qui pèse sur ces frêles épaules d’esclave-soumise dévouée et loyale.

Pendant ces quatre jours, Thaïs répondant aux exigences de son Maître Vénéré, a transmis sans état d’âme, tous les éléments, code d’accès et autres procurations bancaires à celui qui va dorénavant occuper son siège pendant un temps indéterminé, effaçant juste à la demande de son Maître les messages plus personnels qu’ils ont échangés et qui se trouvent dans son ordinateur. Elle présente ‘’Monsieur Philippe’’ à son personnel comme un collaborateur qui va la seconder pendant quelques temps, leur annonçant la fusion ou plus exactement le fait que sa société avait été avalée par une plus grande structure, opération financière et juridique dont ils seront tenus au courant en temps voulu, mais rassurant chacun individuellement que tous les emplois seraient maintenus et qu’elle comptait sur la motivation et l’expérience de chacun pour pouvoir profiter de cette opportunité qu’elle avait dû tenir secrète jusqu’à ce jour, qui allait permettre à la société de profiter de nouveaux moyens d’action lui permettant de se développer encore plus qu’avant.
Elle avait aussi annoncé son départ précipité dès Vendredi midi, pour une durée qu’elle ne pouvait à ce jour préciser, mais les assurant que ‘’Monsieur Philippe’’ qui la remplacerait pendant toute cette période servirait d’intermédiaire avec toute la légitimité possible et qu’ils devaient tous, pouvoir lui faire entièrement confiance et se comporter avec lui comme avec elle.

C’est dans un pot de l’amitié, que Thaïs avait dit au revoir à tous ses collaborateurs le Vendredi midi, les embrassant sur les joues les uns après les autres, car dans sa société, il existait un total esprit d’équipe soudée avec respect de chacun à quelque niveau hiérarchique que ce soit et une vraie convivialité sereine, même si elle ne débordait pas du champ professionnel pour laisser à chacun la pleine liberté de sa vie intime et personnelle. Après tout, Thaïs était dans sa vie professionnelle un chef d’entreprise compétent et apprécié, mais au fond de son âme elle était et se sentait une vraie soumise, elle avait donc une analyse très personnelle des rapports de pouvoir hiérarchique qui n’était basés que sur le désir de permettre à chacun de donner le meilleur de soi-même et non sur l’idée trop fréquemment répandue dans beaucoup d’entreprises d’un égoïsme individualiste où chacun tire la couverture à soi et essaye de prendre le pouvoir de la manière la plus malsaine possible en n’hésitant pas les coups dans le dos, ceux qui font le plus mal.

Ce n’est que la veille, le Jeudi Soir qu’elle avait reçu un mail plus précis, quoique pas vraiment non plus très détaillé, concernant son départ qui lui avait dans tous les cas été confirmé par Philippe dès son arrivée. Voici le contenu de ce mail :

‘’Bonjour Ma belle chienne, demain midi, tu quitteras les bureaux de ta société. Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer. J’ai totalement confiance en ce chien servile de Philippe et il me tiendra au courant de tout ce qui pourrait poser un souci en ton absence. De toute manière, tu me l’as dit toi-même, tu as de bons collaborateurs, alors tu dois aussi apprendre à leur faire confiance et Philippe sera là pour veiller au grain et pour me relater tout ce que tu n’as pas pu m’expliquer pendant ces quatre jours.
Mon équipe au bureau a pris en charge le suivi de la gestion et tous les éléments financiers et comptables que tu nous as fait passer par le Net. Imagine toi juste que c’est comme si tu partais l’été en vacances, sauf que je peux te l’assurer, cela risque de ne pas être des vacances du tout, car j’ai des milliers de projets en tête et je n’ai pas du tout l’intention de te laisser te reposer sur tes lauriers, ni même sur une chaise longue à la plage. Il me tarde comme je te l’ai déjà dit de te savoir à Mes pieds, et aussi entre Mes mains, ici dans Mon chez moi, sous l’œil attentif de tous Mes ancêtres dont les portraits habillent les murs du Château et dont les âmes habitent encore les couloirs, les pièces dans lesquelles Ils ont chacun à leur tour mis en valeur la Noblesse de notre lignage. Tu retourneras chez toi demain à 14h, pour y attendre la suite de Mes instructions. Tu libéreras les étagères de ta chambre. Philippe va s’y installer définitivement en ton absence car il y sera plus à l’aise. Tu lui laisseras si ce n’est déjà fait sur une fiche toutes les instructions et les coordonnées dont il pourrait avoir besoin pour l’entretien de la maison et le règlement des factures qu’il m’adressera puisque tout sera géré d’ici maintenant que j’ai récupéré la procuration personnelle sur ton compte. Ne te tourmente pas, il s’occupera aussi de tes poissons rouges. A demain …

Thaïs avait été assez interloquée de ce mail. La survie des poissons rouges était vraiment la moindre de ses préoccupations. Elle allait laisser à celui qu’elle n’avait fait que croiser subrepticement quelques fois dans les couloirs de l’Entreprise du Marquis d’Evans, mais sans jamais avoir eu l’occasion de lui adresser la parole, tant son siège noir en cuir de chef d’entreprise que son grand lit aux draps de soie dans lequel peu d’hommes avaient eu la chance de venir se coucher et la baiser. Thaïs avait toujours cherché à préserver son intimité même avec ses anciens amants habituels. Depuis plusieurs mois, et depuis le jour où elle était devenue la soumise de son Maître, elle avait mis un terme à toutes ses anciennes relations amicales et charnelles, pour ne plus appartenir qu’à un seul Homme qui avait seul le pouvoir de la faire jouir quand IL le désirait ou quand IL l’autorisait à se masturber…

(A suivre…..)

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