Mes Années Britanniques - 7
Deuxième partie de strip poker et nouveau jeux de société.
Plusieurs semaines se sont écoulées depuis notre retour de week-end. Elles ne furent pas marquées par une activité sexuelle particulière. Annie et moi nous adonnions à notre goût commun pour la masturbation solitaire ou mutuelle, des baisers échangés avec Traoudel au détour d'un couloir, une pipe furtive à l'un de nos amis britanniques dans les toilettes du pub histoire de ne pas perdre le goût du sperme et le délice de passer la langue tout le long d'un sexe bien rigide.
Bref rien de bien notoire, j'ai donc décidé qu'il fallait mettre un terme à cette monotonie en organisant une nouvelle partie de strip poker. Mon projet fît l'unanimité de mes consurs et avons décidé que le week-end suivant, prévu pluvieux, Grande Bretagne oblige, serait idéal. Mais un strip poker, même en trichant, ne dure pas tout un week-end or je voulais que celui la soit une fête du sexe "non stop" pendant deux jours.
Pour se faire Annie et moi avons prévenu la direction que nous serions absentes afin d'être sure que personne ne vienne nous déranger ou s'étonne que nos rideaux soient clos.
J'ai organisé un prolongement à la partie de carte en inventant un nouveau jeu de société: un quiz de culture générale avec des gages ayant trait aux plaisirs des sens, du style: sucer la pointe d'un ses propres seins, aller caresser la poitrine d'une participante, embrasser profondément une autre, se caresser le minou sans toucher à son clito, bien écarter ses lèvres pour montrer aux autres son bouton d'amour, aller le faire sucer par une autre joueuse, s'accroupir sur la table comme pour faire pipi et se caresser jusqu'à l'orgasme, sucer la tache de mouille laissée lors du gage précédent etc.
Les questions de culture générales étaient de tous ordres et la "luxure" assez présente, elles allaient de la Capitale de l'Australie à qui est l'auteur de Justine en passant par le meilleur récit d'Ovide ou le nom du théâtre de Shakespeare, l'auteur d'Emanuelle.
J'avais rendu la chambre la plus "coosy" possible, rideaux bien tirés, éclairage tamisé, bougies de différentes couleurs et suave parfum d'ambiance. Boissons et nourriture pour tenir un siège, faire l'amour même entre filles cela creuse! Donc sandwichs du Lord du même nom et qui en a été l'inventeur pour ses parties de cartes.
Dès le départ j'ai senti une ambiance électrique et pleine de promesses érotiques.
La blonde et la rousse semblaient très en forme, parlant à la vitesse d'une mitraillette, comme seuls les anglais savent parfois le faire. Annie avait tenu à se faire belle et elle l'était, où était l' Annie coincée dans ses principes du début ? Je pensais en moi-même que ses parents auraient un choc en la retrouvant!!!
Pour ma part et afin de faire durer le jeu j'avais revêtu une longue robe transparente bleue, me la faire ôter des chevilles à la tête serait un vrai délice. Des dessous de même couleur. Soutien gorge, porte jarretelles, bas et slip. La rousse, cela se voyait, était nue sous son kilt et cardigan. La blonde en tenue très classique qui augmentait le désir de savoir ce qu'il y avait dessous, idem pour Annie.
Nous nous sommes installées autour de la table pour commencer la partie, avec la promesse de ne pas se caresser seule sous la dite table, je connaissais mes partenaires!
Devant tricher Annie fût nue très rapidement, la voir ainsi et sachant que plus tard j'allais pouvoir me délecter de sa superbe fente me faisait mouiller d'abondance
La partie se poursuivait et les vêtements allaient joncher le sol l'un après l'autre. Une suave odeur de femmes parfumées, de sexes mouillés et d'envie de "baise" se répandait dans la pièce. Mes phéromones étaient aux aguets!!!
La seconde à être nue comme Eve fût la rousse suivie de la blonde, pour ma part j'avais encore tous mes sous-vêtements, je dois avouer que j'avais triché effrontément!!!
De les voir, toutes les trois nues humidifiait très correctement ma fente.
Le jeu des gages pouvait commencer. Annie, la première perdante, avait l'honneur d'ouvrir le bal. Elle devait donc se coucher sur un lit, jambes repliées sur la poitrine, les yeux bandés. A tour de rôle nous devions venir entre ses cuisses sucer, lécher, caresser son minou, sa toison, dont je m'occupais de l'entretien avec beaucoup d'attention. Elle devait deviner laquelle était à l'uvre. Si la réponse était mauvaise elle avait un autre gage. Il consistait à ce que l'une d'entre nous écarte ses lèvres pour bien faire saillir son bouton d'amour tandis qu'une autre le caressait jusqu'à l'orgasme. Nous y prenions toutes beaucoup de plaisir et mes cuisses commençaient à être luisantes de ma cyprine qui coulait d'abondance de ma fente. Je savais que les autres aussi étaient trempées.
Très vite le jeu des gages a dégénéré pour tourner à l'orgie, afin d'être plus confortablement installées nous avons mis les matelas par terre pour consti un vaste terrain de jeu. J'ai décidé de l'étrenner en m'y couchant, jambes largement écartées, afin que la blonde puisse venir enfoncer son doigt dans ma fente, sans toucher à mon clito et que dans le même temps Annie vienne s'accroupir sur ma bouche pour que je puisse, tout à loisir, lui prodiguer des caresses jusqu'à l'orgasme afin que sa mouille envahisse ma bouche.
Nous changions à tour de rôle, c'était d'un érotisme extraordinaire et chaque orgasme nous laissait pantelantes. Pendant les poses nous étions assises en tailleur pour manger nos sandwichs ce qui ne nous empêchait pas de poursuivre nos cochonneries, passer le sandwich sur la fente de l'une ou l'autre, introduire dans la fente d'une autre le goulot d'une bouteille de coca et en faire couler un peu dans son vagin pour qu'une autre aille le boire, des petits jeux permettant de ne pas laisser retomber l'ambiance d'érotisme dont la chambre était pleine.
Après ces poses restauration nous reprenions nos jeux, deux par deux pour des 69 sans fin ou toutes les quatre ensemble à tel point nous ne savions plus le doigt de qui était au fond de nous ni quelle chatte nous sucions, l'essentiel étant que les orgasmes puissent se succéder presque sans fin.
Nous nous sommes endormies, nos membres entre mêlés, la main de l'une sur le sein d'une autre, laquelle avait un doigt rivé dans la fente d'une troisième.
Ces petits jeux innocents se sont prolongés le lendemain sans grandes poses.
Nous étions toutes les quatre très heureuses, mais nos sexes endoloris d'avoir été soumis à pareil épreuve.
Nous avons décidé de recommencer de tels amusements quelques semaines plus tard mais cette fois en faisant participer les deux garçons que nous avions connu au pub, mais afin qu'ils soient nos "jouets", nous les sucerions jusqu'à ce que leur source de sperme soit tarie, mais pas question pour eux de pouvoir pénétrer l'une de nous.
Cette expérience fût un succès et sera l'objet d'un autre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!