Nicole Et Monique
Tranquille dans ma chambre, je me branle : cest normal ma femme est absente depuis plusieurs jours, je me retrouve seul à la maison. Le soir, après avoir regardé la télé, je me couche, nu comme tous les soirs. Ma bite enfle, je dois me masturber. Jaime bien mes petites branlettes le soir, même et surtout quand ma femme est là. Ma bite est bien dure : je vais bien jouir. Ma main droite sert de machine en allant de haut en bas et retour. Je vais doucement pour faire durer mon plaisir qui monte très lentement.
De temps en temps, jarrête tout quand ma main est presque sur mes couilles. Je reste ainsi plusieurs minutes à fantasmer sur la fille du voisin, la femme dun collègue, bref sur nimporte qui. Je reprends mes mouvements lentement quand je suis bloqué par une main. Jouvre les yeux en débandant rapidement.
- Surprise, me dit Nicole, ma cousine qui na aucun complexe.
Nous avions, il y a longtemps fait quelques coucheries en commun, elle aimait baiser, Elle na pas du changer.
- Que fais-tu ici ?
- Rien je prends la suite de ta main, je vais de branler un peu avant que tu me la mettes.
- Comment es-tu entré ?
- Tu mavais donné une clé que jai gardée. Ta femme nest pas là ? Dommage, jaurais bien baisé avec elle.
Elle sarrête vite de parler pour prendre ma bite dans la bouche, comme elle le faisait il y a longtemps, nous navions même pas 17 ans. Elle na pas perdu sa dextérité : sa langue est toujours aussi efficace : ma bite retrouve une forme plus humaine. Si elle me suce, jai ma main sur sa tête comme avant, pour la diriger quand elle dévie, ce qui est rare. Jaime sentir ses lèvres autour de mon mandrin. Ce qui métonne est quelle reste habillée, quelle ne ma pas offert son sexe pour moi aussi la sucer. Elle sait ce quelle fait en poussant au maximum ma bite au fond de sa gorge : elle me fait jouir royalement.
Elle fait comme avant, elle avale tout le sperme.
Enfin elle membrasse sur la bouche.
Sa langue et ses seins trop petits à lépoque. Par contre quel talent pour jouir du vagin, du cul ou du clitoris. Nous allions souvent au cinéma. Ne me demandez pas quels films nous pouvions voir : aucun. Nous passions notre temps, toujours à la même place à nous caresser, nous branler, nous sucer. Les après midi passaient vite dans ses conditions. Nicole était toujours au bord de la rangée, les jambes tournées vers le dehors, jétais assis sur la marche, ma tête dans ses jambes. Je la léchais partout où cétait possible, même et surtout dans lanus : elle adorait. Elle se poussait ensuite pour me prendre la bite dans la bouche.
Actuellement, elle finit davaler ma semence. Comme jai fini de jouir, il faut quand même que je sache ce quelle vient faire.
- Je passais en ville pour vous voir avec ta femme.
- Tu aurais pu me prévenir.
- Je ny ai pas pensé. Je tai cherché dans la maison pour te retrouver nu avec ta pine dans la main. Je nai pas pu résister pour avaler ton jus.
- Normalement mon jus, comme tu dis je te le mettais dans le con. Ou dans le cul.
- Tu me le mettras tout à lheure quand je taurais fait bander une autre fois, comme avant.
Son tout à lheure commence maintenant. Nicole me faisait ça déjà à 17 ans. Ma bite grossit dans sa main avec les petits mouvements quelle fait. Je me retrouve avec un gros morceau.
- Baises moi, mets-moi là.
- Devant ou derrière ?
- Devant dabord.
Elle fait vite pour se déshabiller, se coucher, membrasser sur la bouche, reprendre la bite, mattirer sur elle. Je la trouve plus fine et plus délicate quavant. Par contre son sexe est le même, toujours aussi mouillé au moment de la pénétration.
Je suis à peine dans son fourreau quelle entame les vas et vient. Je retrouve les sensations de mes 17 ans à peine passés. Elle resserre longuement les muscles de son ventre pour prendre encore un peu plus de plaisir.
Elle arrive à nous faire tourner sur nous même : Nicole se retrouve volontairement sur moi.
- Cest dommage que ta femme ne soit pas là, je pourrais la branler pendant que tu me baise. Je vais jouir, je jouiiiiiiis. Elle reste plantée sur moi simplement pour changer dorifice. Elle ne fait que se relever à peine pour faire sortir ma queue de son étui pour la changer dendroit. Je nai rien à faire pour la sodomiser. Elle me regarde dun air bravache pendant que ma pine la ramone. Si elle ferme les yeux cest quelle jouit.
Arrive le moment où je suis obligé de larguer mon sperme. Je lui fourni une bonne rasade ! Elle se branlait à ce moment : elle accélère sa vitesse de croisière pour bien sastiquer. Nicole ne bouge pas : elle garde ma queue dans le cul. Même si elle resserre son anus, je débande complètement.
Nous sommes surpris quand le téléphone sonne. Jallais y répondre quand Nicole décroche pour répondre elle-même :
- Bonsoir Monique, je suis avec ton mari : nous baisons, tu ne veux pas baiser avec nous au téléphone ?
Je ne sais ce que répond ma femme. En tout cas Nicole lui raconte notre baise avec tellement de termes crus que je pense que ma femme va raccrocher et mengueuler quand elle reviendra. Je peux enfin parler à Monique pour lui expliquer ce qui cest réellement passé.
Elle sen fiche pour le moment, il faut que nous baisions en lui décrivant tout pour quelle aussi se masturbe comme elle faisait quand elle appelait. Son désir était de baiser par fil comme ça nous arrive quelques fois.
Je mets le haut parleur pour quelle entende tout. Nous lentendons aussi pendant quelle se branle : elle a mit le gode dans sa chatte. Dans nos esprits cest ma bite qui est dans son ventre.
Son intervention me fait encore bander.
Quand Nicole me donne sa chatte à sucer, je ne peux plus rien dire. Cest Nicole qui décrit maintenant ce que je lui fais. Bien sur son récit est haché des petits soupirs quelle pousse pour montrer que je la lèche bien. Nous entendons ceux de ma femme qui prend elle aussi son plaisir.
Le cri de jouissance de ma cousine est un point fort dans cette relation par téléphone. Mon épouse regrette elle aussi de ne pas être là ; elle aurait aimé baiser avec Nicole. Je ne savais pas quelle était attirée par les filles.
Finalement ce ne sont que les deux femmes qui se font lamour par téléphone, je ne sers plus quà me branler devant ma cousine. Je jouis une fois, je nai plus de jus dans les couilles.
Jentends quand même ce que disent les femmes.
- Je menfile le gode dans le con et toi ?
- Je mencule avec trois doigts.
- Jaime savoir que tu te mets les doigts dans lanus. Jaime me le faire aussi. Ca ne vaut pas une bite, mais cest bon.
Un instant de silence déchiré par la voix de ma femme :
- Ca y est je jouis. Je garde le gode dans le con. Je vais me le mettre au cul. Dommage quon ne soit pas ensemble, on montrerait à mon mari comment les filles saiment.
- Je te sucerai le bouton en te mettant un doigt dans le con et un autre dans le cul.
- Je te boufferais la chatte avec mes lèvres et ma langue irait dans ton cul. Je ny tiens plus, je jouis. Salut
- Je jouis aussi. Au revoir.
Je retiens de cette folle nuit quà la première occasion elles se baiseront, que je resterais à les regarder simplement.
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