Appelle Moi Mademe 6

Madame doit aller en province pour régler un héritage important. Elle va me manquer pour jouir. Elle manquera à Monsieur pour la même raison. Toutefois comme nous sommes tombés amoureux, notre trio tiendra encore longtemps. Ce matin tôt elle est venue dans ma chambre pour me dire au revoir. Elle me réveille par un profond baiser. Sa langue me plait beaucoup. Elle me caresse la poitrine en disant Adieu, comme si elle allait disparaitre. Tout ça pour deux jours. Elle passe une main sous le drap, elle me fait des chatouilles en passant sur mon nombril avant d’aller poser toute sa paume sur ma chatte.
- Tu sais je viens de faire l’amour avec Gérard. Il en était content, je l’ai sucé un peu après pour avoir son gout sur ma langue.
- Je sais que tu aime son sperme.
- J’aime aussi le gout de ta cyprine. Je vais juste de faire un rapide cunnilingus.
- Et que veux-tu de moi ?
- Branles moi une fois seulement.
Sa langue me fait vite jouir, je n’aurais pas à me branler ce matin. Ma main a vite trouvé son clitoris. Je le branle comme elle adore. Malheureusement elle se relève, ajuste sa robe sous laquelle elle est nue pour ne pas changer.
Dès son départ je prépare le petit déjeuner de mon autre chéri Gérard, son mari. Je croyais lui faire plaisir en le lui portant, manque de chance, il est réveillé. Je reste toujours nue (que c’est agréable de vivre ainsi). Lui aussi est comme moi, sauf qu’il bande un peu. Puisqu’il est dans de bonnes dispositions je m’apprête à les sucer pendant qu’il petit déjeune. Il préfère m’enculer. Je me positionne sur la table, couchée sur la poitrine, mes fesses à sa hauteur. Il mouille mon cul avec de la crème fraiche froide, j’en suis surprise. Il entre plus que facilement. Nous savons comment faire maintenant si nous sommes seuls un moment. Bien sur son va-et-vient réveille mes sens, je mouille depuis le départ de Jo, je reste toujours dans les mêmes dispositions.
Que sa queue me fait du bien dans le cul.

J’aime quand il commence à me faire la seconde chose que j’aime quand il est dans le cul : il me branle.
Je l’accompagne pour qu’il se lave dans la salle de bain ; Pour une fois il est pressé. Il se passe de douche pour seulement se laver au lavabo. Je vois sa bite qui pendouille comme je n’aime pas. Je tiens ses couilles en lui caressant la raie des fesses : il écarte les jambes en sachant bien que je vais lui mettre mon doigt dans le cul. C’est-ce que je fais avec un doigt mouillé pas la salive. Il commence à bander. Je laisse mon doigt dans l’anus avant que de l’autre main je lui prenne la bite dans ma main. Je tire comme une insensée sur son prépuce. Je sais bien que je lui fais mal, j’insiste un peu avant d’activer mon mouvement. Il tend son bas ventre en avant comme s’il venait à la recherche de ma main. Je suis très attentive à l’éclosion de sa décharge : j’arrive à le faire jouir sur le bord du lavabo. Dès qu’il a fini, je m’empresse de recueillir sa semence dans ma bouche. J’aime son sperme comme je n’en ai jamais aimé d’autres.
En partant de la maison, Gérard me dit qu’il m’aime. Je me trouve seule dans la maison, seule et nue. Je fais vite le ménage puisque après tout je suis payée pour ça. Ensuite je vais prendre seule hélas une bonne douche dans ma chambre. J’ai heureusement pris avec moi le double gode. C’est mon premier essai sous la douche avec ce machin que fait jouir les femmes, et Monsieur.
L’eau chaude ruisselle sur mon corps. Je commence à mouiller. Je passe ma main entre mes jambes pour m’enculer d’abord avec un des glands, je le rentre moyennement profond avant de les tordre pour me le mettre dans la chatte. Je force un peu : c’est bien plus facile au lit. Une fois calé dans mon ventre je peux le manœuvrer pour me faire du bien. C’est tellement bon que je jouis rapidement, trop vite à mon gré. Je le laisse en place pour recommencer. Cette fois je me retiens : mon orgasme est retardé. Je pars dans un grand cri comme quand je jouis trop fort.

Je le sort de mon corps pour le laver et le désinfecter. Maintenant je n’ai qu’à préparer le repas. Je ne mets qu’un couvert puisque Madame est absente. Quand Monsieur arrive il me dispute un peu, comment peut-il manger sans une femme à branler à ses cotés. Je remplace Madame : il se fait un devoir de me masturber. A son tour, il se branle dès que j’ai joui. Il décharge sur un des mouchoirs en papier, évitant les lavages de la nappe.
Je tourne en rond après ma sieste : Jo m’a réveillée trop tôt. J’ai même dormi un peu. Je passe un coup de fil à Monsieur en lui demandant si c’est possible de venir avec un copain pour une double pénétration. Il sait que j’aime me faire mettre par deux hommes. Il ne promet rien, il va faire son possible.
Je suis certaine qu’il va tenir parole : il me tarde d’être à ce soir, j’aurai au moins le cul et le con remplis ensemble. Je me demande même si je ne revêts pas une tenue spéciale. Après tout pourquoi faire des frais de toilette, je serais vite déshabillée. C’est aussi agréable de se faire déshabiller par un homme. Et puis zut, je vis bien à poils depuis je ne sais combien de temps : je reste comme suis, naturelle.
Monsieur entre enfin, il est vite nu. Je l’embrasse sur la bouche et lui caresse un peu la bite comme il me fait à la chatte.
Cette fois c’est moi qui lui dis que je l’aime, qu’il est mon unique amant, même si je lui ai demandé d’en faire venir un autre. C’est vrai que depuis que nous formons un ménage à trois, les choses sont beaucoup plus franches et simples.
- Tu as pu inviter un copain pour ce soir ?
- Quand tu le verras tu voudras me quitter.
- Pourquoi, il est bien monté.
- Non, il va m’enculer aussi devant toi.
- Tu as aimé quand tu as eu le gode dans le cul l’autre nuit.
- C’est vrai. J’ai bien joui avec.
Nous attendons un moment que son copain arrive. C’est vrai qu’il est bien foutu. Il nous imite de suite : il est aussi nu que nous. Cette fois pas de chichi : il est comme nous, il se conduit comme il pense avec moi.
J’ai sa main sur ma poitrine vite fait. Il caresse bien le salaud. Mes pointes se redressent vite fait. Il passe derrière moi pour bien caresser : je sens sa bite à la naissance de mes fesses. Il me fait mouiller. Je remue mon popotin pour le faire bander encore un peu plus. Il comprend vite la manœuvre. Je la sens gonfler encore et encore jusqu’à être parfaitement en extension. Sa bite mérite qu’on se fasse enculer par elle.
Un des grands moments arrive. C’est Gérard qui me prend d’abord à la missionnaire. Il entre dans ma grotte lentement pour que je déguste bien son entrée. Ensuite il va au fond, tout au fond où il m’a faite jouir d’une façon indéterminée. Je pars dans une série d’orgasmes inouïs. C’est tellement bon que je cri à la fin, quand il m’abandonne. Notre invité me caresse les seins comme il peut.
Gérard se retourne quand je suis encore sous lui. Je remets sa pine dans le gouffre. Il me baise à nouveau. Je remue pour maintenir la cadence. J’avais oublié le deuxième homme qui lui se souvient parfaitement de moi. Je le sens quand il pose sa jambe contre la mienne. Il hésite un peu pour trouver mon rectum : enfin il le trouve. Il ne m'encule pas de suite, sa bite caresse longuement la raie, le pourtour de ma sortie arrière avant de venir sur elle. Il me tarde qu'il me la mette. Je pousse intérieurement un ouf de contentement. Il entre sur la pointe des pieds en faisant très attention à mes réactions. Quand tout son gland est en moi, qu'il me met son morceau dans le cul complètement que je gémis longuement, il comprend qu'il peut me défoncer la rondelle.
Je ne connais qu’un seul moyen de manifester mon contentement. Je dis de mots sans suite qui ont tous un rapport avec les deux bites qui sont dans mon ventre.
Ma bouche est bloquée sur celle de Monsieur, mon vagin est bloqué par le même et mon cul par un autre. Je suis au paradis des baiseurs anonymes. Je ne peux même pas dire combien de fois j’ai joui. Je me souviens seulement que les orgasmes étaient de plus en plus proches.

Je jouis ne dernière fois quand je sens les deux bites lâcher leur sperme.
L’étonnant est qu’ils ne débandent pas. J’en suis surprise, surtout que Gérard donne son cul à son copain. C’est un nouveau spectacle pour moi qui m’excite d’un rien.
Monsieur est debout, penché en avant comme l’a fait mettre mon dernier amant.
Il verse une bonne dose d’huile que nous avons dans la chambre commune. Prêt Gérard ouvre ses fesses à deux mains. Je regarde quand il se fait mettre la pine dans le cul. Il bande comme un âne. Je pensais qu'il allé être branlé par celui qui la lui mettait. Ils ne font rien de semblable. Monsieur va jouir simplement avec une bite au cul, comme moi ou Jo. Comme une fille en somme. Je regarde la queue libre secouée par les va-et-vient de l’amant.
Je m’assois pour me branler le cul en les regardant. Ils mettent un bon moment avant de jouir. Je vois le jet de Gérard suivit ou précédé de peu par celui de mon amant dans le cul.
Voilà, la petite partouze est terminée. Le copain s’en va en promettant de revenir. Avant de filer au lit, j’embrase encore Gérard en lui prenant la queue pour le masturber une dernière fois.
Nous attendons Jo pour lui raconter notre aventure. Elle sera jalouse de ne pas avoir assisté elle aussi à la sodomie de son époux



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