Une Histoire À La Plage.

J’avais 24 ans, je venais de terminer mon service militaire et je commençais ma vie professionnelle. C’était dans le sud de la France à Montpellier. La ville est très agréable et les filles sont jolies. Dès le printemps, la chaleur commence à vous pénétrer et tout est souriant.
Je travaillais en semaine, mais le weekend je profitais de l’arrière-pays et ; bien sûr, des plages et de la mer. Les filles étaient belles (je l’ai déjà dit) et peu farouches. Quelques aventures sans lendemain mais avec bonheur emplissait mes journées (et mes nuits). Bref, la vie m’était très agréable.
Un soir de Mai, après le travail, l’après-midi se finissait, mais il faisait beau. Je décidais d’aller à la plage. J’avais découvert une grande plage nudiste. C’est là que j’allais. Une fois sur place, je me déshabillais et je me mis à profiter des rayons du soleil. La journée avait été longue, je m’endormis, couché sur le dos. Des rêves accompagnaient mon sommeil. L’un d’eux, très agréable et érotique, me permettait de sourire dans mon sommeil. Je sentais une langue s’intéresser à mon sexe. Quelques lentes et douces caresses d’une bouche agissaient sur mon membre, une langue paresseuse et humide louvoyait le long de la hampe qui commençait à se dresser fièrement. C’était agréable, mais je me réveillais lentement, sortant petit à petit de la torpeur du sommeil. Mon rêve n’en était pas un, une femme était là, qui jouait avec mon sexe. Elle était brune, je la croyais vieille (elle approchait la cinquantaine, mais pour mes 24 ans, elle était loin d’être jeune). Elle était nue, comme moi, et ses cheveux longs caressaient mes cuisses. Comme c’était agréable! J’ouvrais alors les yeux. La première vision fut celle d’une belle chatte naturelle, mais bien entretenue Les effluves de l’amour arrivaient jusqu’à moi. Je me dressais un peu pour admirer le spectacle donné. Elle s’en aperçût et se tourna pour me présenter son sexe à ma bouche. Elle continuait ses caresses quand je commençais à embrasser ses lèvres intimes.

Quelle délicieuse fellation. Elle me suce le gland tout en me caressant la hampe d'une main et les couilles de l'autre. Je croyais être à mon paroxysme quand elle me goba entièrement la bite en gorge profonde tout en me doigtant l'anus. Cette odeur merveilleuse, cette humidité tendre, la douceur de cette partie privée, ma langue voulait en profiter. La cyprine coulait lentement de cette grotte et ma bouche en profitait pour en avoir encore plus. D’un côté mon membre était honoré, pendant que ma bouche appréciait ce ruisseau qui l’abreuvait. J’aurais voulu que ça continue longtemps, mais l’action de sa bouche était trop bonne. Elle commençait à jouir également avec des mouvements de plus en plus cambrés, de plus en plus saccadés. Finalement je jouis dans sa bouche en même temps qu’elle jouissait su mon visage. Elle s’écroula à côté de moi. J’étais bien.
Après quelques minutes, elle se retourna vers moi, me dit merci et m’embrassa. «Pourquoi me dire merci, c’est moi qui ai cette présentation!». Elle me sourit et me dit qu’elle m’avait remarqué depuis quelques temps mais qu’elle ne savait pas comment m’aborder. Mon sommeil l’avait alors enhardi, je connaissais la suite..
C’était une belle présentation, lui dis-je. En même temps, je lui caressait les seins, qu’elle avait magnifiques, bien dressés, Le bout des tétons se durcissait sous l’action de mes doigts. Elle se laissait faire et me regardait en souriant. «Prends moi, s’il te plait, j’ai trop envie. Il y a si longtemps que je n’ai plus fait l’amour!». J’étais jeune, je rebandais alors très vite, mais je voulais voir son plaisir monter, sa «détresse heureuse» remplir son esprit et son corps. Un de mes doigts délimita la raie de ses fesses et s’introduit lentement dans sa petite grotte secrète. Elle ouvrit les cuisses de plus en plus en disant des «ouiii!» des «c’est trop bon, continues!». Bien sûr que je continuais, je la voyais se cambrer, s’abandonner, avoir des spasmes de plaisir. Ses doigts s’agrippaient à mon sexe qui grossissait, grossissait… Finalement je la retournais et d’un seul coup, je pénétrais son sexe ruisselant, elle poussa un petit cri de plaisir quand elle sentit ma verge en elle.
J’arrêtais tout mouvement. On n’entendait plus que le bruit des vagues le long de la plage, la petite brise de printemps nous enveloppait. Elle haletait de plaisir, elle gémissait de bonheur. Je commençais doucement mes mouvements d’amour. J’entrais et je sortais de ses reins, je voyais ma queue qui aimait ressortir pour mieux rentrer. Que c’était bon! Je continuais à la besogner lentement, avec virilité. Mon sexe grossissait encore. Elle gémissait de plaisir, sa chatte ruisselait. Puis elle fut secoué de spasmes alors que, moi-même, j’explosais en elle.
Quelle merveilleuse histoire ! J’étais aux anges. Au sol, allongé, tout ouvert. J’étais heureux. Puis après quelques minutes, nous nous sortîmes de ces brumes de bonheur. Je l’embrassais et lui demandais quand nous pourrions recommencer. «Demain, même heure, même endroit, d’accord?».
Bien sûr j’étais d’accord, Mais ce fut vingt-quatre heures longues, très longues.
Et en guise de conclusion partielle, depuis, j’aime les femmes mûres, celles qui ont de l’expérience.
A suivre?

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