Dans La Chaleur De L'Été (7)
Je retrouvais Claire le lundi matin. Passé le 14 juillet, la moitié des bureaux étaient vides. Nous avions donc beaucoup de temps libre pendant nos journées de travail. Après avoir effectué quelques tâches chacun de notre côte nous nous sommes vite retrouvés et avons échangé sur notre weekend. Javais très envie de lui raconter ma soirée très chaude, et lexciter un peu plus pour arriver à mes fins. Elle me prit de court.
Je me suis masturbée en arrivant chez moi, me dit elle en fermant la porte derrière elle, jétais tellement excitée par ce que tu mavais dit que je nai pas pu attendre et je me suis branlée à peine la porte fermée. Jai joui en pensant à ta vie sexuelle. Jai joui plusieurs fois en pensant à ce que tu as connu.
Elle sest approchée de moi, et ma regardé droit dans les yeux. Je pouvais sentir son souffle sur ma peau. Elle saccroupi devant moi, glissa ses mains sous sa jupe et retira sa culotte quelle glissa dans la poche de mon pantalon. Elle alla sassoir, remonta sa jupe, écarta les cuisses.
Raconte-moi une histoire, me dit-elle en commençant à se caresser.
Je la regardais un moment sans rien dire, sa main glissant sur son sexe lisse.
Raconte-moi une belle histoire que je me branle.
Je lui racontais la soirée avec Émilie, notre rencontre avec Bella et notre trio dans les toilettes. Claire se caressa doucement, sattardant sur son clito, jouant avec, le massant, puis se glissa un doigt dans son sexe bien humide, accélérant le rythme. Elle me regardait droit dans les yeux pendant que je lui décrivais notre baise. Elle se mordait les lèvres, se tortillait sur son siège. Elle avait deux doigts en elle, de son autre main elle se caressait les seins au travers de son chemisier. Je mapprochais delle. Elle tendit la jambe et posa son pied sur ma braguette.
Pas touche, dit-elle, et tu ne te touches pas non plus.
Elle était sur le pont de jouir, je voyais son corps se tendre vers lorgasme.
Ce petit jeu se reproduisit plusieurs fois dans la journée. Claire nous enfermait dans une pièce et elle se donnait du plaisir en mécoutant lui décrire mes aventures sexuelles. Elle ne faisait aucun commentaire, me laissait libre de choisir mes histoires. Elle se masturbait, jouissait et sortait. Je navais pas le droit de la toucher, ni même de laccompagner en me branlant.
Elle venait de jouir pour la quatrième fois de la journée en mécoutant lui raconter ma fin de nuit avec Sophie et Gisèle. Elle savança vers moi, me tendit ses doigts et me fit lécher sa mouille. Je suçais ses doigts avec délice.
La prochaine fois, tu auras droit à un petit cadeau, me dit-elle en récupérant sa culotte et en quittant la pièce.
En rentrant, je racontais ma journée à Émilie, qui trouva très drôle la situation.
Elle sait que tu veux la baiser, et elle joue avec toi, ça doit être une sacrée bombe au lit.
Il me tardait de le découvrir.
Le lendemain Claire mignora. Elle me dit bonjour, mais ce fut le seul mot quelle échangea avec moi. Je la croisais souvent, comme chaque jour, mais elle mignora, ne me regardant pas. Je pensais quelle avait honte de ce qui sétait passé la veille, mais, en fin de journée, alors que je mimaginais avoir perdu toute chance avec Claire, elle ne coinça dans les toilettes, me poussa dans une des cabines, et sans rien dire défit ma braguette, sorti ma bite et me branla. Sans un mot. Elle me masturba, et me fit jouir dans sa main. Un long jet de sperme alla sécraser sur le sol. Elle sessuya, rangea ma queue dans mon caleçon et sortit.
Je rentrais troublé chez nous. Émilie rigola, et me dit que jétais fait comme un rat.
Elle te tient littéralement par les couilles, dit-elle.
Claire redevint charmante, avenante, discutant avec moi pendant toute la journée, mais névoqua pas ce qui sétait passé dans les toilettes la veille, ou lavant-veille. Rien de sexuel ne se passa ni ne se dit ce jour-là. Sauf que le soir, en rentrant, je trouvais une série de photos. Des nus. Une femme posant devant lobjectif. Je ne voyais pas son visage toujours hors cadre, mais jimaginais quil sagissait de Claire. La série avait été glissée dans ma poche de veste. Une trentaine de clichés, qui me dévoilaient son intimité, et me la montrait se caressant, se branlant.
Le lendemain cétait à mon tour de coincer Claire, je voulais quelle mexplique, quelle me dise ce quelle voulait. Mais elle était absente et je du ronger mon frein jusquau lendemain.
Je lattendais dans le bureau que nous occupions pendant cette semaine là. Elle arriva et fonça droit sur moi. Me plaqua contre le mur, et membrassa.
Je sais que tu as envie de moi, me dit-elle, cest réciproque. Tu mexcites avec ta vie, tes histoires, et tout le reste. Mais je ne souhaite pas en faire partie. Un jour peut-être, mais pas encore. Si on doit baiser ensemble, ce sera ici, dans les bureaux, jamais chez nous.
Elle se mit à genou, ouvrit ma braguette, sortit ma bite, et la prit en bouche. Elle me suça et déroula une capote sur mon membre bien raide.
Je rêve de toi et de ta queue depuis des jours, il ma fallu beaucoup de volontés pour ne pas te sucer le jour où je tai branlée dans les toilettes.
Elle retira sa culotte, souleva sa jupe, et vint sempaler sur moi. Allongée sur le sol de ce bureau vide, elle me baisa. Jentendais des pas dans le couloir, des bribes de conversations étouffées par les murs. Le risque de se faire prendre augmentait notre excitation. Claire jouit une première fois, se bâillonnant de ses mains pour ne pas crier. Elle se leva, se mit à quatre pattes et je vins la prendre en levrette, explosant de plaisir en elle.
Cétait super dit-elle en se relevant. Je ne regrette pas, et même jen veux encore, mais pas tout de suite.
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