Collection Vengeance. Je Sacrifie Ma Vertu Pour La Dette De Mon Mari (5/5)
Marie, je te prends pour épouse dans le bon et le mauvais jusquà ce que la mort nous sépare.
Cest les mots que Jean prononce le jour de nos noces.
Jean, celui que je vois allongé près de sa mère, un drap sur son corps.
Sa mère, ma putain de belle-mère qui semble avoir manipulé et qui elle aussi a fini de gruger les gens.
Je vois leur visage, lorsque la gendarme en chef mayant ramenée chez moi alors que javais été amenée à la gendarmerie après un coup de fil anonyme maccusant dêtre une pute.
Oui, ce sont bien la vicomtesse de la Bal et son fils, le vicomte Jean.
Nous avons trouvé une lettre sur cette table expliquant leur geste.
Ce quils déclaraient dans cette lettre étant exacte, ils auraient eu des remords sur ce quils avaient fait pour capter lhéritage du voisin du Duc et dArsène.
Quand les gendarmes sont venus me chercher, ils se sont sentis cernés.
Il va sans le dire, que dès le premier soir, je suis rejointe par mon amant.
Ma chatte et mon anus étant bien reposés, la nuit suivie des suivantes sont extraordinaires.
Deux ans que ça dure, un seul problème, jessaye de vendre le manoir, mais le double suicide fait peur aux éventuels acheteurs.
Arsène me dit avoir la solution, il est plein de ressource Arsène.
Deux ans, je suis à la mairie à côté du Duc, qui va faire de moi une vraie Duchesse, pas une Vicomtesse de pacotille comme je le suis devenue à la mort de ma belle-mère.
Je minterrogeais, sur le titre du vivant de la mère de Jean, cétait inutile, leurs pendaisons ont fait de moi la seule vicomtesse sur cette terre !
Deux ans ou malgré le monstre quest François pour certains, je lépouse sans plus de questions sur la mort de lhomme et de la femme qui mavaient obligée à me prosti. Quon le veuille ou pas, faire déflorer sa jeune épouse pour rembourser une dette, cest de la prostitution.
Madame Marie, vicomtesse de la Bal, voulez-vous épouser, le Duc François de la Ravière ici présent ?
Oui, je le veux.
Et vous monsieur le Duc François de la Ravière, voulez-vous prendre pour épouse, madame marie, vicomtesse de la Bal ici présent.
Oui, je le veux, plutôt deux fois quune.
François me passe mon alliance, cest sa première adjointe qui nous marie.
Bien sûr, mes parents sont là.
Nous les avons installés dans les appartements qui auraient dû m'être réservés et que jai quitté dès le deuxième jour retrouvant le lit ducal.
Pour la première fois, je vois mon père essuyer une larme, regrette-t-il mon premier mariage, celui où il a enfilé ma belle-mère ?
Là point dépouse du duc, une seule duchesse et cest moi et ce titre est loin dêtre en bois, je viens de manoblir.
Lors de la soirée, nous ouvrons le bal avec François, quil est doux de valser dans des bras amants !
Je vois mon père venir inviter Alice, la première adjointe de mon mari.
Elle se coule dans ses bras alors quelle était à côté de son mari parlant avec ma mère.
Le connaissant, il y a du cocu dans lair surtout lorsquun peu plus tard je les vois se diriger vers la sortie.
Jai une petite envie, mais je me garde bien daller la satisfaire.
Malgré le temps passant, jai encore dans mes oreilles le bruit de mon précédent mariage lorsque je lais ai entendu baiser lui et ma belle-mère.
Comment maman a-t-elle fait pour supporter ces tromperies toutes sa vie ?
La fête bat son plein quand une deuxième fois, cest une drôle de nuit de noces que je passe.
Au feu, au feu, monsieur le maire le manoir de la vicomtesse de la Bal votre femme est en feu, les pompiers sont partis pour intervenir.
Javais constaté un mouvement de certains jeunes du village, ils avaient dû être bipés par leur chef qui lui-même a quitté la salle de bal.
Cest dans la voiture de François, le mien, celui qui ma passé la bague au doigt que nous nous rendons sur les lieux.
Pour la première fois, je le sens tendu.
Dun coup pour une fois je revois ses brûlures que javais complètement effacées de ma mémoire surtout lorsque je lui fais lamour.
Je dis bien « lui faire lamour ».
Jadore le dénuder, le sucer bien sûr pour quil soit tendu au maxi avant de venir mempaler sur sa grosse verge qui mapporte tant de plaisir.
Mes mains dans ces moments de délires érotiques se posent sur son corps sans que jen sois rebutée, le Duc est devenu mon homme mapportant un maximum de plaisirs et dorgasmes.
Pour la première fois, voir des flammes doit le rendre mal à laise, repense-t-il à sa vieille nounou quil a été dans limpossibilité de sauver.
Je pose ma main sur sa cuisse et ma tête sur son épaule lui faisant comprendre tout mon soutien.
Cest un homme prudent qui conduit même si jaimerais quil soit audacieux et me donne un baiser.
Cent mètres avant mon manoir, la chaleur se sent, lorsque nous arrivons.
Le ciel est rouge, ça doit flamber dur !
La gendarmette semblant me poursuivre nous arrête.
Bonjours monsieur le maire, bonjours madame, impossible davancer avec votre voiture, garez-vous ici.
Madame, soyez forte, ça flambait tellement quand nous sommes arrivées en même temps que les pompiers.
Cest monsieur Arsène votre majordome qui nous a alertés, il a entendu du bruit et sortant sur le perron de votre château.
Il a vu et compris que les lueurs rouges quil voyait au-dessus des arbres venaient de chez-vous.
Il nous a signalé avoir vu un homme passer derrière vos grilles en courant.
Le voisin dans la villa voisine nous a déjà signalé que depuis deux ou trois jours, il voyait un homme genre SDF passer dans le quartier.
Jai fait placer des patrouilles à chaque sortie de la ville pour lintercepter.
Madame Marie, de votre côté avez-vous vu quelque chose nous permettant de faire avancer lenquête ?
Vous savez que monsieur le Duc mhébergeait depuis le décès de mon mari et de ma belle-mère.
Jai failli me trahir et dire ma pute de belle-mère.
Avant de mettre en vente, nous avions vidé tous les meubles ayant de la valeur.
Il restait quelques bricoles sans valeur, je vais appeler mon assureur dans la journée.
François prend la décision de rentrer quand mes parents arrivent, il est temps daller nous coucher.
Messieurs dames, bonjours, je mexcuse de vous déranger pendant la fin de votre petit déjeuner.
Je vous présente Roger, mon fils qui va venir maider à partir de ce jour avec votre accord monsieur le Duc.
Bonjours messieurs-dames, si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à votre disposition.
Jai un doute, me souvenant une nouvelle fois sur limplication de monsieur Arsène dans lincendie de mon manoir, surtout lorsque je reçois lassureur en présence de mon mari.
Cest le même qui assure la commune quil gère et a plus à perdre quà gagner à contester lincendie.
Le SDF, non retrouvé par la gendarmerie, des gens layant vu aux quatre coins de la ville est-il un jeune homme bien mis qui ce matin sest présenté à nous ?
Je vais être franche, cette évidence me vient lorsque je suis empalée sur la verge du duc que je viens de sucer à la limite de me faire inonder ma gorge.
Sous couvert de boire un verre deau lorsque mon corps mapporte un très bel orgasme, jenfile mon peignoir acheté spécialement pour ma nuit de noces et je vais pour descendre.
Ou allez-vous ma mie ?
Boire un verre deau, je vous en remonte un !
Restez, je vais appeler Arsène, il se fera un plaisir de venir vous servir.
Jai besoin de bouger un peu avant le prochain round que vous allez mapporter, masturbez-vous !
Je sors de ma chambre, je vais dans la cuisine, jouvre le frigo pour donner le change, je sors jusquà la poubelle, ce que je supputais est là, une perruque.
Elle a dû donner au fils dArsène, lallure dun SDF avec des vêtements crade ayant donné le change.
Roger a dû accomplir sa première mission de protection du duc et de sa femme comme son aïeul avec mes ancêtres lors de la révolution.
Grâce à eux, je réussis indirectement à me venger.
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