Dans La Chaleur De L'Été (8)
Au début du mois daout, Émilie me quitta pour aller passer quelques jours chez sa grand-mère. Jallais me retrouver seul dans le grand appartement.
Je voyais arriver ce jour avec un peu damertume, nous passions notre premier été ensembles quelques semaines elle séclipsait déjà, me laissant à ma solitude. Bien sûr javais Claire qui pouvait satisfaire mes envies, mais elle nétait pas Émilie.
La veille de son départ, je trainais un peu avant de rentrer, ne voulant pas tomber sur ses valises dans la chambre. Je bus une bière à la terrasse dun café, et regardais passer les filles, admirant leurs jambes, leurs épaules nues, et rêvant de celle qui pourrait me suivre dans ma chambre pour combler ma solitude.
Je poussais la porte de lappartement, traversais le salon, et découvrit Nina, Nadège, Sophie, Gisèle et Émilie nues sur la terrasse, en pleine orgie en plein air.
Tu as du retard mon amour, me dit Émilie alors que Nina saffairait entre ses cuisses, nous avons commencé sans toi.
Je mapprochais pour profiter de plus près du spectacle. Sophie enculait Nadège pendant que celle-ci léchait Gisèle. Émilie se faisait bouffer par Nina qui le regarda de son regard lubrique.
Viens, me dit Émilie, cest mon cadeau de départ, une bonne partouze entre amis pour que tu penses à moi.
Je fis valser mes vêtements et pris position derrière Nina qui releva sa croupe pour que je la prenne en levrette.
Ta bite ma manqué, me dit-elle alors que je posais mes mains sur ses hanches et menfonçait en elle.
Le soleil de fin daprès-midi chauffait mes fesses pendant que je baisais Nina, plongeant mon regard dans celui dÉmilie, ma compagne parfaite, ma partenaire idéale.
Baise-la bien, me dit Émilie, je sais que tu aimes sa petite chatte humide, bourre là, jouis en elle comme au temps où nous vivions ensemble et que nous passions notre temps à baiser tous les trois.
Cela faisait un an que javais rencontré Nina, dans un parc, en été, et la femme qui venait me lécher le gland doù coulaient quelques gouttes de sperme avait bien changé. Elle avait perdu sa timidité, sa candeur, et laissait libre court à ses pulsions sexuelles. Elle me regarda droit dans les yeux, vint membrasser à pleine bouche, sa langue senroulant autour de la mienne, me faisant gouter mon foutre. Elle alla rejoindre Nadège, son amante, et prit la place de Gisèle entre ses cuisses. Elle lécha cette chatte bien mouillée avec gourmandise, se doigtant en même temps.
Émilie se lova contre moi, membrassa, prit mon sexe flasque entre ses mains.
Je pars, mais je ne te laisse pas seule, me dit-elle, toutes ses femmes sont là, et toutes sont prêtes à te faire plaisir. Tu te rends compte la chance que tu as ?
Non, en vérité, avant ce soir-là, où dans la lumière dorée de cette fin de journée, je ne me rendais pas bien compte de la chance qui était la mienne. Javais presque un harem à ma disposition. Ma vie sexuelle était plus riche que je naurais pu le rêver. Émilie bien sûr, mon double, ma partenaire privilégiée, celle que jaimais tendrement. Nina, la deuxième femme de ma vie. Sophie ma femme à bite, Gisèle son amante, Nadège, Claire, et les autres. Sans compter Erwann désormais loin de nous.
La soirée était douce. Les dalles de la terrasse nous renvoyaient la chaleur accumulée pendant la journée. Émilie nous apporta des boissons fraiches et alors que Sophie se faisait pomper par Nadège, qui nous avoua quelle était sa première transsexuelle, nous trinquâmes à notre belle équipe et à cette soirée qui débutait si bien.
Je pensais un moment à Claire. Pensée fugace pour cette femme étrange, froide en apparence, mais brulante aussi. Réservée et libérée. Qui ne voulait pas se mêler à nous, à ma vie en dehors de nos étreintes au bureau.
Claire et moi baisions tous les jours. Dans les bureaux les placards, le parking.
Hélas pour elle, nous étions déjà dans la rue nous disant au revoir pour le weekend. Émilie ne vit que le dos de Claire séloignant dans la rue.
Rien que de dos elle me fait mouiller, me dit-elle en membrassant.
Cette vision lointaine fut ce qui se rapprocha le plus dune rencontre entre les deux femmes. Claire et Émilie ne devant jamais se croiser, et à la fin de lété, après une dernière pipe dans les toilettes, Claire me quitta pour ne jamais plus croiser ma vie.
Avant cette ultime séparation, Claire, dans les limites de notre espace de travail, qui au cur de lété était vaste et le plus souvent vide, explora avec moi de multiples aspects de sa sexualité.
Elle avait un réel attrait pour le sexe oral. Il ne se passait pas un jour sans quelle ne me suce.
Jaime sucer les bites, me dit-elle alors que je venais de lui jouir dans la bouche. Même si je passe pour une salope, je men fous. Quand jai une queue en bouche, je suis en charge. Je contrôle tout. Je peux être genou devant toi, mais je ne suis pas soumise. Cest moi qui décide de tout. Je tiens les mecs par les couilles. Au sens propre. Jai leurs couilles bien en mains. Je suis maitresse de leur jouissance.
Je ne pouvais pas me plaindre de cet attrait pour la fellation. Javais droit à ma pipe quotidienne, mais au-delà de son « amour » pour les caresses buccales, ce qui plaisait surtout à Claire cétait le frisson qui naissait au bas de son échine à lidée que nous pourrions nous faire prendre.
Elle mavoua que comme moi elle avait trouvé ce job par son père, mais que ne voulant pas passer pour une fille à papa, elle avait dit que cétait grâce à son petit copain. Et, cest dans le bureau paternel, vide pendant ses vacances quelle se montrait la plus déchainée.
Baise-moi par tous les trous, me disait-elle nue sur le bureau de son père, alors que nous entendions des bruits de pas dans le couloir.
Javais encore la bite dégoulinante de sa salive. Elle se masturbait devant moi, me regardant droit dans les yeux, provocante. Il y avait une lueur de folie dans son regard. Cette étincelle que je voyais parfois dans les yeux de Nina. Claire exhalait le sexe, lenvie, le stupre.
Elle se retourna, me présenta ses fesses quelle écarta de ses mains, et se glissa un doigt dans lanus, se branlant son petit anneau pour me faire de la place.
Encule-moi, bourre-moi le cul, susurra-t-elle de sa voix cassée.
Ce que je fis, sans hésiter, attendant ce moment depuis le début de notre étrange relation. Son petit cul nétait pas habitué à être pénétré, et je sentis une résistance quand je poussais mon gland contre son trou, il me fallut forcer le passage. Claire retint un cri de douleur, mais se laissa faire, mencourageant même à poursuivre.
Jentendais les autres passer dans le couloir, entrer dans dautres bureaux, continuer à travailler sans se douter de ce que nous faisions derrière cette porte close.
Je me vidais les couilles dans le cul de Claire qui se retournant me gifla avant de membrasser, comme elle le fera à chaque fois quelle se laissera enculer. Heureuse du plaisir quelle avait pris, mais aussi contrariée de sêtre laissé ainsi aller.
Claire et moi poursuivîmes notre aventure sexuelle pendant une bonne partie de lété, jusquà ce que les bureaux se remplissent de nouveau et quil ne soit plus possible de baiser librement.
Après cet été-là, je ne revis plus Claire, qui en me quittant sur le trottoir lors de notre dernier jour, membrassa et me remerciait pour le bel été.
Mais tu restes un pervers, et je ne veux plus jamais te revoir de ma vie.
Elle fut exhaussée.
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