Leslie Re02
Leslie RE02 Rêves.
Un rêve bien étrange ou la suite de mes premiers pas
Suite à mon rêve avec Alain, jen ai fait un autre :
« Je me retrouvais habillée en femme, maintenant convaincue que je pouvais faire illusion, et que je pouvais enfin assouvir mon désir dêtre et de vivre en femme, et que je pouvais me retrouver avec un beau mec en plus.
Dans ce rêve, un jour, on sonna à la porte de mon appartement, alors que je mapprêtais à sortir en femme, habillée et maquillée. Je nattendais personne et je ne savais pas qui venait me rendre visite, mais une fois la porte ouverte, je vis dans lencadrement de la porte, un homme qui navait pas de visage.
Lhomme entra sans un mot en jetant un regard sur moi, et me dit :
- Tes bien habillée, tu allais sortir !
- Qui êtes-vous ? Demandais-je.
- Quelle importance, ce soir tu veux sortir, alors je tai amené de quoi te fringuer !
- Mais
Vous êtes malade ! Je ne vous connais pas !
- Tinquiète pas, je te connais car je tobserve depuis un bon bout de temps et tu nas quune envie, sortir pour te faire défoncer
- Mais
- Bon, je sais que tes un mec, mais tu es si féminine ! Dailleurs tu vas être carrément irrésistible, avec ce que je tai apporté.
Lhomme avait un sac et ce quil en sortit ne me laissa plus aucune illusion sur ses intentions, il avait pensé à tout.
Il y avait de superbes escarpins en cuir noir, avec une fermeture par petite bride à la cheville, avec des talons, dau moins, neuf centimètres, un string ouvert en dentelle noire et un porte-jarretelles assortis et des bas à couture, noirs eux aussi. La suite était constituée par une mini-jupe en cuir noir, ultra courte et dune veste-tailleur.
Une bouffée de chaleur menvahit, mais je nétais pas du tout rassurée, cet homme avait une certaine emprise sur moi, et je sentais que jallais lui obéir, mais habillée ainsi, jallais avoir lair dune pétasse.
Dailleurs lhomme dit :
- Fringuée comme ça, tu vas avoir vraiment lair dune pute !
- Mais
- Aller, tu devrais tout de suite thabiller, nous navons pas que ça à faire
Je ne savais pas quoi dire, tout allait si vite. Et puis je navais pas lintention de protester, lenvie dêtre une femme et de plaire en tant que telle me tenais tant à cur. Aussi je mexécutais, docilement sans rien dire.
Je pris les habits, les chaussures et commençais à me déshabiller et à revêtir mes nouveaux habits.
Quand je fus prête, je me regardais dans la glace, tout me seyait à merveille et je vis une vraie pute, prête à se faire saillir par le premier venu.
Dailleurs lhomme me dit :
- Tu es superbe ! On dirait une vraie pute, qui ferait bander un moine !
Il me regarda en tournant autour de moi et rajouta :
- Génial ! On voit bien ta petite culotte et léchancrure permettra de te faire prendre quand le moment sera venu
Un coup dil affolé dans la glace me montra en effet mon petit cul, moulé dans ce string ouvert et qui, sans équivoque, était un véritable appel au sexe !
Lhomme semblait satisfait et ajouta :
- Tu porteras ta veste en étant nue dessous, ainsi ta petite poitrine restera offerte
En disant cela, lhomme avait sorti son sexe en disant :
- Tu vas faire bander tous les mecs ce soir, tout comme moi, regardes comme tu mexcites, mais maintenant pour commencer tu vas me soulager.
Un peu surpris, mais terriblement désireux de le satisfaire, je ne me fis pas prier. Jembouchais avec avidité son sexe turgescent et commençais immédiatement des mouvements de langue autour du gland. De ma main droite, jaccentuais le mouvement de pompage, pour une fellation plus efficace.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, lhomme sécria le souffle coupé :
- Ah ma salope, garde moi bien dans ta bouche, je sens que je viens
Et il minonda ainsi le fond de la gorge.
Tout en se rhabillant, lhomme continuait à me regarder.
- Tu sais que tes vraiment une belle salope, en plus, tu suces comme une reine, tu vas en rendre plus dun heureux !
Là, jai flippé, jallais suivre cet inconnu pour me faire prendre et me faire défoncer, jallais protester quand lhomme mattrapa de façon brusque et membrassa fougueusement. Pendant que sa langue sappropriait ma cavité buccale, je me suis laissé aller et je sentis que je ne résisterais pas plus longtemps.
Quand nous sommes sortis, jai senti que mon cul balançait de manière provocatrice dun côté à lautre de mon bassin et soudain je me suis mis à réagir comme une femme !
Mon angoisse subsistait cependant, quallait-il se passer ce soir et allais-je véritablement faire illusion et passer pour une femme ?
Mon cur battait à mille à lheure, alors que je nétais encore que dans la cage descalier et je mimaginais ce qui allait se passer sans vraiment savoir quoi, mais cela mexcitait un peu.
Une fois dehors, je marchais le regard fixé sur le sol, de peur de voir la réaction des gens qui me regarderaient en pensant que jétais une pute allant au charbon avec son mac.
La sensation était étrange, mais pas désagréable, un mélange de peur panique et dexcitation de la première fois. Mais au bout dun moment, je pris mon courage à deux mains et relevais la tête.
Je soutins tout dabord quelques regards de femmes, qui ne montrèrent aucune réaction, même une certaine indifférence, par contre pour les hommes cétait bien différent. Je me rendis délicieusement compte que certains me firent leur plus beau sourire, dautres carrément des clins dil, cela me rassura.
Je pris ainsi un malin plaisir à faire claquer mes talons sur le macadam, comme le font les femmes sûres delles-mêmes.
A cet instant, jai même senti de la fierté de la part de lhomme qui maccompagnait, car il me prit par la taille et mannonça quil memmenait boire un verre dans un pub.
Lorsquon arriva enfin au pub, lhomme sinstalla à une table pour quatre, dans un coin quelque peu isolé et sombre, et il me demanda de minstaller en face de lui et non à ses côtés. On parla de choses et dautres tout en prenant un verre, mais je ne me souviens pas de la teneur de la conversation
En fait je sentais cet homme absent, comme si je ne lintéressais pas et en fait, jai compris rapidement la raison de son attitude, il attendait quelquun.
Deux hommes apparurent et vinrent se présenter à notre table. Ils me furent présentés par lhomme comme étant deux de ses amis.
- Je te présente Hervé, et voici Leslie.
Il se baissa pour me faire des bises, et en profita pour regarder dans léchancrure de ma veste.
- Et lui, cest Francis.
Une fois encore, je fus de corvée de bises, Francis semblait être un grand timide, car son regard fuyait dès que je me mettais à le regarder. En revanche Hervé paraissait très vicieux. Assis à côté de moi, il ne se gênait pas pour coller son regard sur ma poitrine, fasciné par la naissance de ma poitrine que la veste entrouverte lui laissait admirer.
Lhomme paraissait, quant à lui, très détendu et je compris que je venais de passer le test, je faisais illusion car ses potes me prenaient pour une chouette gonzesse.
Se laissant aller, il discuta avec Francis, me laissant me dépatouiller avec Hervé. Ce dernier devenait de plus en plus entreprenant, malgré la présence de lhomme.
Tout en me baratinant il me complimenta sur le fait, que je mhabillais de façon différente aux autres filles, qui préfèrent être en jean-basket.
Il glissa sa main sous la table et commença à me caresser le haut de la cuisse, et aussitôt sa main se dirigea lentement vers mon sexe, mais je le repoussais dun mouvement sans équivoque.
Il en profita pour mattr la main et me força à la poser sur la bosse de son pantalon. Je voulus la retirer, mais Hervé la maintenait fermement, puis me relâchant un instant ma main, il ouvrit sa braguette et sortit son sexe et il se pencha vers moi et me susurra à loreille
- Prends-la et appliques-toi, je suis sûr que tes une pro.
Je regardais lhomme, mais ce dernier était toujours en grande conversation avec Francis et javoue que jétais très émoustillé par cette première sortie et puis javais envie de sexe.
Je me décidais donc à masturber le membre dHervé.
Au moins, sa main ne fouinait plus vers mon intimité pendant que je le branlais, car une petite branlette ça ne mengageait à rien. De plus, faire cela à un mètre de lhomme était follement excitant !
Jempoignais sa pine et la masturbais lentement, décalottant le gland et le recouvrant avec une infinie délicatesse, pour mindiquer daccélérer ou de ralentir le rythme, Hervé me parlait sur le même ton que sil me parlait de la pluie ou du beau temps, en me traitant de salope ou de putain, tout en me souriant.
Lhomme ne prêtait aucune intention à nous et je pris mon pied à être insultée, tout en masturbant son ami et ça confirmait le fait que je passais pour une vraie salope
Un premier soubresaut mindiqua quHervé était au bord de lexplosion, enserrant fermement son membre je lai empêché de jouir et repliait rapidement le tout dans son slip avant quil nexplose, sinon que dans son slip.
Puis Hervé a dit à lhomme :
- Je crois que tu as vraiment trouvé une perle !
- Ouais, je le pense, répondit lhomme.
Et il se leva brusquement pour me rouler une pelle monumentale devant tout le monde et il se rassit, satisfait de montrer aux deux autres que je lui appartenais.
Nous restâmes encore un bon moment, avant que lhomme ne se décide enfin à annoncer que nous rentrions. On laissa les deux autres à leurs verres et on rentra directement à mon appartement. Mais pendant le retour ses mains se firent très baladeuses, montrant quil était passablement excité.
A suivre
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