Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (16)

Un plaisir partagé est un plaisir double (16)

Nous aimerions amener cet été nos amis au centre naturiste du cap d’Agde, mais comme ils n’ont jamais bronzé nus, nous voulions faire l’expérience en les emmenant un jour sur une plage naturiste de la région. L’hiver étant passé et que nous arrivons sur les premiers beaux jours, nous avons profité pour partir ensemble passer une journée à la plage mais aussi pour que nos corps prennent un peu la couleur du pain d’épice avant les vacances.
Avant de partir, nous leur avons conseillé de prendre tout de même un maillot de bain, au cas ou ils se trouveraient mal à l’aise de se montrer nus.
Il n'y a pas encore beaucoup de monde sur la plage mais le soleil est au rendez-vous. Comme toutes les plages naturistes il faut marcher un bon moment avant d’y arriver dans la zone pour quitter nos vêtements !

Annie est en petit short moulant blanc qui nous laisse voir les formes rebondies de son petit cul et la fente de sa zézette. Moi je suis dans un petit short court en jean qui me rentre dans la raie des fesses et qui en montre une partie. Nous avons toutes les deux un petit débardeur décolleté pour prendre un maximum de soleil sur notre peau qui en a bien besoin après l’hiver. Nos hommes sont en bermuda. Après quinze minutes de marche, nous commençons à voir quelques culs nus se promener le long de l’eau. Nous sommes enfin arrivés, nous installons nos serviettes un peu à l’écart. Mon chéri, moi et même André nous nous sommes mis à poil tout de suite. Par contre Annie a enfilé son bikini bleu à petits pois. Ses seins débordaient du soutien gorge. Le problème lorsqu’elle a acheté son maillot de bain de taille 38 comme moi, alors que le slip lui va bien, lorsque l’on a une forte poitrine comme la sienne, le soutien gorge est souvent trop petit. Elle s’était mise sur le ventre à côté de moi. J’admirais ses petites fesses rebondissantes.

« - Tu ferais mieux de quitter maintenant ton maillot de bain, pour le moment il n’y a personne autour de nous, je pense que tu seras gênée d’être la seule en bikini parmi les culs nus qui vont se poser près de nous.

En général les textiles ne sont pas bien vus. »

« - Tu as raison, il faut que je m’adapte alors autant le faire tout de suite, tu veux me dégrafer mon sous tif. »

« - Vous savez que nous avons l’intention de partir en vacances avec vous au cap d’Agde en louant un appartement pour nous quatre. C’est un peu pour cela que nous sommes venus sur cette plage naturiste pour savoir si vous allez aimer. Nous pouvons nous contenter de s’allonger nus au soleil comme sur cette plage, mais si nous y allons, c’est aussi pour profiter de la vie. »

« - Que veux-tu dire ma chérie par-là, ma puce ? »

« - Pratiquer le naturisme c’est pour le bien être du corps nu au contact des éléments naturels qui nous entourent tels que l’air, le soleil et l’eau. Pratiquer la nudité en commun permet de gommer les barrières sociales favorisant les échanges égalitaires. Il n’y a pas de place au paraître, chacun étant reconnu pour ce qu’il est. Au cap d'Agde, sur un morceau de la plage du camp de naturistes, long d'une centaine de mètres et rebaptisé «la baie des cochons » là, rien ne semble interdit. Les couples s'aiment en public et assouvissent leur désir. C’est là que nous faisons des rencontres avec des couples pour finir la journée. »

« - Comment cela finir la journée ? »

« - Hé ! Bien oui, souvent le soir nous concrétisons notre rencontre avec un couple ou un jeune homme avec lequel nous avons accroché sur la plage pour former un trio. Ou alors d’être invités pour passer une partie de la nuit à faire une sauterie entre couples libertins. »

« - Les personnes qui fréquentent la plage libertine se divisent en deux catégories : les couples libertins, venus draguer d’autres couples, s’exhiber ou prendre du plaisir à plusieurs, et les hommes seuls, venus jouer les mateurs en espérant participer à un gang bang ou à un jeu coquin d’un couple. On y voit ici, deux amants qui font l’amour, là des rencontres entre couples échangistes ou encore une coquine qui se masturbe en public et même qui s’adonne à un bukkake avec les voyeurs, plus la journée défile, et les plus les relations deviennent chaudes, plus nombreux sont les gang bang et les parties carrées entre couples. »

« - Vers dix sept heures lorsque le poste de police ferme, des hommes nus et en érection se masturbent en regardant un couple qui se montre. La femme est allongée sur le dos, l'homme se tient sur elle, dans la position du missionnaire. Ils ont une cinquantaine d'années et leurs corps sont extrêmement blancs, totalement épilés. Son mec la prend en levrette. Autour d'eux, les spectateurs semblent toujours plus nombreux, toujours plus excités. Après quelques instants, elle souffle un mot à son partenaire, en allemand. Il se retire d'elle et lui introduit un premier doigt dans son vagin, puis un deuxième. Avec attention, il accélère le mouvement et rapidement prise de convulsions, elle jouit. Elle jouit magistralement. Quelques applaudissements se font même entendre.
Tu vas trouver ma chérie des dizaines de couples, tous plus ou moins libertins, souvent exhibitionnistes, mais aussi des dizaines de voyeurs, des hommes célibataires qui regardent et tentent parfois de participer. »

« - Mais nous ne sommes pas obligés de participer ? »

« - Bien sur que non, il n’y a que la nudité qui soit obligatoire. ( Sinon, tu risque la mise à l’air e à tout instant). Mais la nudité crue n’étant pas en soi suffisamment érotique, libertins et libertines rivalisent de piercings, tatouages, bijoux coquins et même parfois rosebuds, pour se distinguer. C’est pour cela que je me suis fait percer les petites lèvres et toi tu m’as étonné lorsque tu as demandé au tatoueur de te mettre un piercing. »

« - Au faite cette semaine, j’aimerais que tu m’accompagnes pour choisir un bijou pour mon sexe plutôt que ce disgracieux anneau. »

« - Surtout que ton piercing peut indiquer à ceux qui l’observent tes penchants sexuels comme cela ils savent à quoi s’en tenir même avant de t’aborder. »

« - Je pense que je vous ai assez ennuyer avec mes explications sur le cap d’Agde, profitons plutôt de notre journée à la plage, je n’ai pas très chaud et le soleil se cache par moments, que diriez-vous si nous allions nous réfugier à l’abri dans les dunes. »

Nous avons ramassé toutes nos affaires et nos hommes nous ont cherché un petit endroit tranquille au milieu des dunes. Un oasis baignée par le soleil et à l’abri du vent. Nous entendons que le bruit des vagues et les cris des mouettes. Nous nous prélassons nus dans des positions qui frisent l’indécence.

« - Tu vas voir, personne ne va prêter attention à toi, bien sur il y a toujours quelques voyeurs, mais je pense que cela ne te dérange pas, n’est-ce pas ma chouchoute ? » Faisant allusion à son exhibition qu’elle a faite avec mon mari devant des voyeurs.

On s’est embrassé en s’allongeant côté face pour profiter pleinement de chaque rayon de soleil, les cuisses accueillantes laissant voir les parties charnues de notre fruit. Mes lèvres se sont séparées aisément en suivant le sillon médian découvrant sa chair juteuse, rosée et ferme qui se gonfle facilement dès qu'on la touche, ce qui lui confèrent son côté moelleux et doux.

Tranquilles peut-être, car notre parasol a dévoilé notre présence et un homme s’est assis de l’autre côté de la dune, caché en partie par les ajoncs, mais je voyais bien que sa tête était tournée de notre côté. Bob a demandé à André de l’accompagner. Ils se sont levés pour aller le trouver, ils ont parlé un bon moment avec lui.

De notre place nous nous demandions Annie et moi ce qu’ils pouvaient bien se raconter et nous avons été surprises de les voir revenir ensemble.

« - Mes chéries, je vous présente Yves, il est voyeur et célibataire, tous les ans il passe ses vacances au centre naturiste d’Agde et connais très bien «la plage des cochons » aussi nous vous l’avons ramené pour qu’il vous explique comment ça se passe du côté de ceux qui matent et je pense que son récit va vous intéresser. »

« - Voilà sur la baie des cochons comme on l’appelle, lorsque l’on entend quelqu’un siffler, cela veut dire que sur la plage un spectacle vient de démarrer. Cela peut-être un couple qui fait l’amour, des rencontres entre couples échangistes ou encore une coquine qui se masturbe en public ou même s’adonne à un bukkake avec les voyeurs sur la plage ou dans les dunes. Plus la journée défile et les plus les relations deviennent chaudes. Quant à nous les voyeurs nous attendons d’être invités par un couple pour satisfaire l’épouse d’un vieux monsieur qui nous mate pendant que nous faisons la fête à sa bonne femme, parfois le mari nous prend en photos ou fait une vidéo de notre coït. J’ai déjà été invité à un gang bang dans lequel il manquait des hommes ou pour accompagner une femme dans une soirée cul. C’est facile pour ces dames de satisfaire leur désir de sexe puisque nous nous branlons devant elles sur la plage pour leur montrer nos attributs. Si le gars lui plaît, elle en parle à son compagnon qui vient négocier avec nous pour concrétiser la rencontre. Certaines ont des mœurs bizarres que nous devions accomplir avec elle, lorsque nous avons donné notre accord. »

« - Et en pratique, comment se passe la tentative d’approche de madame ? » Demanda André.

« - Vous voulez que je vous montre sur votre dame ? »

« - Oui, j’aimerais voir, vous pouvez la caresser si vous voulez. »

Annie avait l’air surprise de la réponse de son mari, il venait de donner sa permission pour qu’un inconnu la caresse devant lui, c’était une première pour elle, jamais elle n’aurait cru d’avoir le consentement de son mari de se faire patouiller par un inconnu. Elle avait l’habitude maintenant de s’exhiber l’ayant fait par deux fois avec nous sur le parking de la sablonnière. Elle joua donc le jeu en dévoilant ses appâts en écartant ses cuisses. Le mec s’est mis à se masturber devant son adorable mont fendu. Le gars s'approcha près d’elle et posa sa main sur son genou, caressa son entre cuisses avant de parvenir à effleurer à la récompense de son désir.
Son mari qui assistait de très près lui caressa un téton en invitant le mec à en faire autant sur l'autre sein. Devenant plus entreprenant, il lui prit ses rondeurs à pleine main, ces attouchements lui fit dresser ses petits bouts. S'approchant encore plus près d’elle, il se pencha sur sa poitrine et prit dans sa bouche son mamelon pour le téter, passant d'une tétine à l'autre comme un cherchant à téter le sein de sa mère.
Ses noisettes se sont misent à pointer et à durcir entre les lèvres de cet homme. Il se masturbait en même temps, comblé de pouvoir câliner une femme nue offerte par son mari.

Elle s’est assise sur sa serviette pour prendre la situation en main en lui attrapant sa queue et s’est mise à le branler. Le contact de la main de ma copine qui lui insérait son intimité, lui fit durcir son sexe entre ses doigts. Le regard de Yves ne quittait pas le haut de ses cuisses qu’elle écarquillait au maximum pour lui exposer sa fente afin de le mettre en appétit et de lui faire monter l'envie.
Elle a placé ma main autour de son pénis en érection. Elle le tenait bien, sans trop le serrer en lui caressant sa verge de haut en bas dans un mouvement de va-et-vient, essayant de trouver le rythme et la pression qui lui procure le plus de sensations. Son excitation grandissait et il était sur le point de jouir, elle a accéléré le mouvement pour avoir une fin rapide devant commencer à avoir mal au bras. Une goutte de sperme perla au bout de son gland avant que sa pompe se redresse et se mette à cracher sur son corps. Elle lui a serré très fort sa bistouquette dans la main pour lui faire sortir la dernière goutte de foutre.

La quantité de laitance n'était pas à la hauteur de ce qu’elle attendait, ce qui me fis penser qu'il avait du se masturber dans les dunes avec les images qu'il avait du observer de nous en nous matant de derrière les dunes. Cela expliquerait qu'il avait eu des difficultés à faire cracher de nouveau son sperme. Il remercia André de lui avoir offert sa femme et se tournant vers elle il lui a rendu grâce de s'être soumise à ses attouchements.

L’après-midi, il y avait plus de passage sur notre îlot de sable fin, qui avait l’air d’être connu des voyeurs, le soleil dardait ses rayons sur nos fesses et nous étions si bien que je me suis endormie, à mon réveil un homme d’une soixantaine d’années encore bien conservé était assis nu à quelques pas de nous. Voulant me donner en spectacle mon mari commença à me caresser discrètement les fesses. Au bout de quelques minutes, je me laissais aller en desserrant un peu mes jambes, ce qui permit à mon homme de glisser ses mains pour me caresser l’intérieur de mes cuisses. Je fermais les yeux.

Pendant ce temps Annie et André étaient partis se baigner, mon chéri n’avait pas voulu me laisser seule dans ces dunes fréquentées par des voyeurs pendant que je dormais.

Le sexagénaire avait vu là une invitation de venir à mon contact. Il s’était rapproché, accroupi, à côté de moi et me caressait. Deux hommes pour s’occuper de mon corps en même temps : le rêve. Il m’avait pris ma main et me l’avait posée sur son sexe, à la limite de ses bourses que je caressais doucement. Je me suis retournée pour lui offrir le côté face de mon corps pour qu’il m’effleure doucement les seins de ses mains. Mes tétons se sont mis à dresser. ( Ils pointaient comme vous pouvez les voir sur mon avatar) Mon amour était plus intéressé par mon amande, il plongea sa tête au plus profond de mon intimité. Notre homme avait changé de position. Il était accroupi sur ma tête, guidant de ses mains son sexe vers ma bouche, il m’enfonça son gland entre mes lèvres. Au bout d’un moment il abandonna de se faire sucer la queue.

« - Excusez-moi, je vais chercher mon sac de plage que j’ai abandonné un peu plus loin avant qu’il ne disparaisse. »

Bob frotta son sexe contre le mien en le lubrifiant de ses quelques gouttes de sperme qui perlaient au bout de son gland, en m’embrassant. Mon sexagénaire était de retour, il installa sa serviette à deux mètres de la nôtre et se rapprocha à nouveau de nous. S’accroupissant près de ma tête, il me caressa les seins. Puis il approcha sa tête de la mienne et m’embrassa le sein gauche pendant que mon chéri m’embrassait le droit. J’étais très réceptive. Bob se pencha sur moi pour me donner un long baiser (comme pour m’encourager à me laisser aller et de profiter du moment présent) tandis que la main de l’homme prenait le relais au cœur de mon intimité, si chaude et si humide, et que sa bouche excitait mes seins. Je jouissais, cela se voyait. Mon corps réagissait à la moindre variation des caresses. Quand mon mari eu fini de m’embrasser, l’homme avait changé de position pour se retrouver entre mes jambes, ses mains me soutenaient. Il commença à bouger en moi et c’est à ce moment que je me suis aperçue qu’il n’avait pas mis de préservatif. J’ai eu un mouvement de retrait et je lui ai dit que cela ne se ferait pas sans capote, mais que nous n’en avions malheureusement pas sur nous. Il se leva et fouilla dans son sac pour en retirer ce qui devait être une capote rose qu’il enfila très rapidement. Il reprit rapidement position et me pénétra de nouveau. Epanouie entre les mains de mes deux hommes je me laissais caresser et embrasser, folle et trempée d’excitation.

Il joua avec moi en entrant d’abord doucement, puis beaucoup plus rapidement. J’étais totalement excitée. J’enserrais mes jambes autour de ses cuisses. Cela devait l’exciter, car il se mit alors à accélérer son mouvement, en allant au fond de moi jusqu’à buter sur mon pubis en excitant à chaque fois mon clitoris. Je commençais à respirer de plus en plus bruyamment. La jouissance devenait à nouveau beaucoup plus forte. Maintenant j’haletais sous les coups de butoir pendant que mon mari m’embrassais les seins. Mon baiseur a jouit en moi en respirant lui aussi très fort. Nous nous sommes caressés, puis il se retira en prenant soin de tenir son préservatif.

Lorsqu’André et Annie sont remontés de leur baignade, ils nous ont trouvés en compagnie de ce monsieur. Nous étions en train de discuter avec lui. A la vue de la capote rose garnie de sperme qui jonchait sur ma serviette, ils ont vite compris que je venais de me faire baiser. A l’arrivée de nos amis, le sexagénaire pour ne pas nous importuner à pris congé de nous en nous remerciant :

« C’était un vrai plaisir pour moi de vous avoir rencontré et j’espère un jour vous croiser de nouveau sur cette plage, c’était super. »

Annie qui avait traversé toute la plage nue pour nous rejoindre dans les dunes, s’est allongée sur sa serviette. Des perles d’eau brillaient sur sa peau sous l’effet du soleil. Elle avait la chair de poule. Je me suis penchée sur elle pour lui faire un petit bisou sur les fesses.

« - Tu t’es fait niquer par ce vieux ? » me dit-elle

« - Vieux peut-être, mais encore bien vert pour son âge, d’abord dans sexagénaire il y a le mot sexe, ce n’est pas pour rien. »

Elle s’est mise à rire. Je suis enchantée de cette journée que nous avons passé ensemble à la mer. D’abord soulagée de voir que nos amis n’ont plus aucun problème de se mettre nus en public mais ce qui m’a réjoui le plus c’est qu’André avait passé un nouveau cap en laissant un étranger s’occuper de son épouse en la stimulant par sa présence. Nous allons passer des vacances cet été en profitant de faire l’amour sans aucune retenue tous ensemble. La chose qui sera la moins agréable de cette journée, c’est que nous allons tous souffrir des coups de soleil cette nuit.