Dans La Chaleur De L'Été (9)

La nuit tomba sur nos corps nus, mêlés, suant, vibrant, jouissant.

Pour son départ Émilie avait été royale, et m’offrait une des plus belles soirées de ma vie. Nina, Nadège, Sophie, Gisèle et elle. Toutes ces femmes pour moi, avec en plus le bonus que représentait la bite de Sophie.

Nous buvions assis, nus, sur la terrasse, dans cette nuit de fin juillet. Ce spectacle aurait pu paraitre incongru, mais il nous était naturel, nous avions tous autour de vingt ans, sauf Nadège, plus agée, mais dont le temps ne semblait pas avoir de prise sur sa beauté et sur son corps magnifique.

Nous étions calmes, soufflant après ce début de soirée, ce début de nuit où sur cette terrasse presqu’hors de la ville, nos corps s’étaient mêlés les uns aux autres, s’offrant les uns aux autres, jouissant les uns avec les autres. Serions-nous habillés, nous pourrions passer pour trois couples d’amis se retrouvant pendant les vacances. Nina et Nadège, Gisèle et Sophie, Émilie et moi. Trinquant, buvant, parlant, riant, s’amusant dans la douceur d’une nuit d’été.

Mais nous étions nus, et hors la singularité de Sophie dont le sexe flasque pendait mollement entre ses cuisses, alors que Gisèle avait posé sa tête entre ses seins, nous étions plus que trois couples d’amis, nous étions trois couples d’amants, dont les traces des ébats se voyaient sur nos corps, sueur, cheveux collés, peau rosis, et les capotes usagées trainant dans les cendriers.

L’observateur extérieur aurait été surpris, vaguement excité aussi par cette réunion d’amis, reprenant juste leur souffle et n’attendant que de repartir vers d’autres ébats, d’autres plaisirs, d’autres étreintes.

Je levais mon verre à mes amies, les remerciant d’être venues, et d’avoir partagé ce moment avec moi.

— J’aurais pu passer une soirée à cafarder en pensant au départ d’Émilie, aux prochains jours sans elle, à ce grand appartement vide, dans lequel j’aurais trainé dans la chaleur de cet été&.

Mais vous êtes là, et je suis heureux, comblé.
— Tais-toi, me lança Nina, et vient me baiser, et toi aussi Sophie, je veux gouter à ta belle bite, et que vous me preniez tous les deux en même temps.

C’était le signal pour que nous reprenions nos jeux.

Nina nous fit assoir Sophie et moi, et nous prit dans sa bouche, nous redonnant de la vigueur entre ses lèvres humides. Elle passait d’une queue à une autre, ne négligeant personne, jouant avec nos couilles, nos glands, léchant, suçant, pompant jusqu’à nous rendre bien dur. Sophie et moi nous embrassions pendant que Nina faisait son office. Les filles de leur côté se rassemblèrent et profitant du spectacle s’embrassaient aussi, se caressaient, avant de très vite passer à des choses plus sérieuses.

Nina vint s’empaler sur Sophie, et me jetant un coup d’œil par dessus son épaule m’invita à la prendre par-derrière en même temps. Je me plaçais entre ses fesses et me glissait dans son petit trou sans presque aucune résistance. Nina poussa un cri de plaisir quand elle fut pleine de nos deux bites.

Ce ne furent que cris de plaisir, gémissements, râles. Nina prise en sandwich entre Sophie et moi était submergée par des vagues de plaisir, jouissant à répétition pendant que nous la baisions par ses deux trous.

Je sentais la bite de Sophie frôler la mienne au travers des chairs de Nina, nos couilles se heurtant aussi. Nina embrassait Sophie, se tordait pour trouver ma bouche. Nous dégoulinions de sueur. Le petit vent de cette nuit nous fit frissonner.
Derrière moi j’entendais les cris de plaisir des filles qui s’amusaient aussi. Je tournais un peu la tête pour voir Émilie se faire lécher par Gisèle et Nadège. Elle jouit dans un grand hurlement, qu’elle tenta d’ de sa main en se bâillonnant.

Sophie poussa un cri en éjaculant, je sentis les spasmes de sa queue se vidant et je jouis à mon tour dans le cul de Nina. Elle retomba épuisée sur le transat, couverte de sueur, tout comme Sophie et moi.


Émilie vint me rejoindre et nous regardâmes Gisèle et Nadège en 69 se donner du plaisir, et jouir presque simultanément.

Nina rentra et alla se doucher. Sophie la suivit pour en faire autant. Au regard que me lança Nina je devinais que leur douche tournerait vite à autre chose, mais je ne pouvais pas le lui en vouloir, nous étions là pour ça, et Sophie était une amante hors pair.

Nous rentrâmes tous dans le salon, et poursuivîmes la soirée comme nous l’avions débutée.

Nina, Nadège, Sophie et Gisèle s’en allèrent vers deux heures, bien que nous leur aillons proposer de rester dormir.

Émilie et moi nous embrassâmes, et allâmes nous coucher, non sans avoir une dernière fois fait l’amour tendrement avant de nous endormir enlacés.

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