Ma Toubib
Jai la crève depuis deux ou trois mois. Je ne veux pas me mettre en maladie, mon patron, étant donné le travail que nous faisons ne me le pardonnerait pas. Je vais donc voir mon toubib : une femme qui a un diagnostique considérable. Elle arrive à trouver lorigine de mon mal : un nom savant qui nécessite des soins particuliers sans arrêt de travail. Le pied quoi. Je pense que des soins infirmiers devraient suffire. Pas question cest à elle dagir pour administrer des piqures particulières.
Ainsi tous les soirs à des heures variables elle vient chez moi me faire le traitement. Cest vrai que les piqures sont spéciales. Ce qui lest moins est la suite. Jai droit à une intraveineuse pas plus douloureuse que ça. Elle frotte lendroit piqué avec un produit qui sent bien bon pour mon gout alors que parait-il il sent mauvais. Lhabitude fait que nous devisons de tout, sauf une seule fois de mes aventures. Elle tenait à savoir comment je faisais lamour, où, et avec qui.
Je tâchais de résumer ce que je faisais rapidement quant à dire où, je le gardais pour moi. A chaque visite elle recommençait, jusquau jour où je lui retournais la question. Je tenais à avoir de véritables réponses. Pour la faire parler, je ne sais pourquoi jai pris sa taille. Elle se laissait faire, sans doute excitée par mes récents récits qui navaient rien à voir avec un roman style Emmanuelle. Cest ainsi que petit à petit nous avons sympathisé. Nos conversations devenaient de plus en plus longues, jusquà durer jusquà la nuit tombée depuis longtemps et finalement à prendre lapéritif ensemble et par diner. Un soir enfin elle confesse quelle na pas une vie très sage.
Ainsi je connais ses étreintes depuis la première fois jusquà il y a peu. Elle sest faite baisée volontairement à 14 ans, par un cousin par curiosité. Lexpérience ayant plut elle a continué longuement, surtout à partir du lycée où malgré ses études plus que satisfaisantes, elle senvoyait en lair avec des camarades dabord et des profs ensuite parce que plus experts.
Cest par curiosité quelle entamait ses études de médecines en voulant au début être gynécologue. Bien sur la baise tenant une place importante, elle réussissait juste son doctorat. Ensuite après son installation elle devenait sage, au moins avec ses clients et les habitants ou habitantes du village. Par contre régulièrement elle sort de chez elle pour aller en ville pour trouver un quelquun pour la satisfaire, homme ou femme. Je me demande si elle est active ou passive dans les étreintes saphiques.
Et un soir, je me décide à lui faire LA proposition que certainement elle attend. Je suis guérie depuis un bon moment : elle vient chez moi comme chez une amie, je ne le regrette pas un seul instant. Cette fois je ne la relâche pas quand je la prends par la taille. Je vais même contre elle pour lembrasser et là le déclic. Elle se colle à moi, se donne pratiquement. Je lembrasse longuement, nos lèvres ont de la peine à se séparer. Cest une affamée qui se colle à moi. Je la veux moi aussi.
- Si tu le veux nous pouvons baiser de suite.
- On aurait du le faire depuis longtemps.
- Quest-ce que tu aimes,
- Découvres.
Entamer une relation ainsi ouvre la porte à tout. Qui sait, elle aime se faire mettre par une bite en se faisant lécher par une femme, elle aime peut-être baiser en groupe. Je verrais bien si elle sait surtout bien me faire jouir.
Je commence par la déshabiller. Je la veux rapidement, elle aussi sans doute.
- Tu sais, me dit elle, nous avons le temps, cest vendredi soir, je suis libre jusquà lundi.
- Nai pas les yeux plus gros que le ventre. Nous verrons bien ce que nous serons capable de faire ;
- Je suis gourmande.
- Moi aussi de ton jus.
- Appelle-moi Justine, comme chez Sade.
- Tu aime le sadisme ?
- Pas du tout, mis à part des tapes de temps en temps sur les fesses pour réveiller ma libido si je suis en panne.
Comme elle est nue, je peux me mettre accroupie la bouche sur sa chatte, et son jus est là, liquide odorant, qui attire ma langue. Justine sens la femelle en chaleur, elle a gout à un mélange de sel marin et de miel. A peine ma langue sur elle, la voila qui caresse ma tête en y appuyant un peu, presque comme ferait un homme que je sucerais. Je passe mes mains par-dessus ses fesses, explore la raie pour aller poser deux doigts sur le cul. Elle doit avoir lhabitude de se faire enculer puisquelle arrive à ouvrir son anus.
En guise de début, on ferait plus mal. Ma main libre monte jusquà ses seins qui sont bien durs. Elle me laisse lui faire ce que je veux du moment quelle en retire un plaisir quelconque. Jarrive enfin à ce que je cherchais : son orgasme assez violent qui la fait hurler de plaisir.
A mon tour de me déshabiller pour aller nous coucher. Je décide de la faire encore jouir avant quelle me le rende, même si ma chatte est trempée. Jaimerais bien quelle me fasse des choses. Nous sommes cote à cote, nos lèvres encore réunies. Elle embrasse fort bien. Je mets ma main sur sa chatte, cette fois je vais la branler comme jaime bien le faire aux filles. Elle ouvre ses cuisses, je vois son pubis qui attire ma main. Je ne cherche même pas le clitoris, il est très vite en vue. Je mattache à lui faire subir les derniers outrages. Je vois son ventre se creuser au fur et à mesure que son plaisir augmente. Elle commence à gémir. Jarrête un moment la main qui la caressait pour reprendre aussitôt. Je veux que son plaisir dure longtemps. Je la sens se tendre. Justine va partir dans les étoiles du paradis des lesbiennes. Jenlève mon doigt de là où il est pour le mettre dans son puits. Cest là que je sens son orgasme neuf.
Je veux quà son tour elle me donne du plaisir. Je suis surprise quand delle-même elle se tourne pour venir me prendre dans sa bouche. Ainsi elle sait agir seule. Je sens sa langue cherchait partout dans ma chatte. Elle sait fort bien lécher pour se fixer sur le bouton.
Cest un moment inoubliable que cette première fois entre nous. Nos orgasmes senchaînent, nous ne sommes pas lassées. Je veux changer de position, jai envie dun gode. Elle aussi. Seulement je nen possède quun seul.
Elle se lève (je vois ses fesses se dandiner devant moi). Elle a ce quil faut dans son sac : un petit gode qui se gonfle. Elle me le destine. Je ne connais pas ce genre de plaisir nouveau. Elle vient près de moi, me fait ouvrir les jambes, menfile le gode tout riquiqui. Il ne reste pas longtemps dégonflé. Elle a une poire qui le fait venir plus gros que dans la nature. Je sens ma chatte se déformer sous la pression. Je sens surtout un nouveau plaisir envahir mon con. Que cest bon, que cest bon !!! Elle ne fait que le gonfler, je me vois mal supportant un va-et-vient. Pourtant sans rien demander elle lagite un peu. Je ne supporte plus ce quelle me fait : je jouis encore comme jamais.
En me le laissant dans la chatte, Justine prend mon gode pour lentement me le mettre au cul. Contrairement à elle je ne suis pas habituée à avoir une bite, même fausse dans le cul. Elle entame une double pénétration. Je serre les dents un instant avant de reconnaitre que cest agréable. Je me fais presque violée par une femme, un comble agréable. Je sais que je me vengerais à ma façon, elle va payer.
Nous nous reposons un moment pour nous câliner un peu. Nos bouches recommencent un baiser long, amoureux. Quand je recommence à avoir envie delle, cette fois je vais faire ce que je veux. Je la fais coucher sur le dos, les jambes très ouverte. Jembrasse sa chatte avant de continuer mon plan. Mon visage est plein de sa cyprine. Lentement jentre deux doigts comme pour la doigter, ce que je fais, avant de mettre les autres doigts tous, les uns après les autres. Je remue un instant pour quelle ressente le plaisir venir encore.
Nous nous endormons ensuite totalement dépassées par les orgasmes à répétitions. Je ne pensais jamais jouir autant de fois à la suite. Il me semble que ma chatte va partir en lambeaux.
Ce nest que le lendemain après 10 heures que nous émergeons. Son premier soin est de me donner un baiser sur les joues en me disant :
- Bonjour, toi.
- Bonjour, ma garce, ma petite pute.
Tu vas voir ce que te fais la petite pute. Je vais te baiser.
A nouveau elle menfile avec le gode gonflable. Mais elle pousse la pression au maximum. Mon vagin devient douloureux, entre ce que je me suis fait mettre la veille et ce que je reçois, je sens la douleur se transformer un plaisir, un plaisir que je trouve malsain au début et formidable ensuite quand jen jouis. Elle le sort lentement, toujours gonflé en me faisant encore jouir.
Je me venge en la broutant. Je mordille son bouton, entre un doigt dans le con et me dirige vers lautre trou. De petit il devient plus grand. Là je me régale de recommencer ce que jai fait dans son con, jentre un seul doigt qui coulisse lentement, et deuxième. Je ne la lèche plus, jentre les autres doigts. Je sais que je lui fais mal, je continue pour entrer ma main. Je suis sure quelle ne peut rien faire que de subir. Cest le sort des maitresses. Je lui branle le cul en tournant ma main dans tous les sens. Elle gémit encore, la garce. Je lencule, elle est contente. Pour une lesbienne elle nest pas entièrement dédiée à Lesbos. Elle arrive à ajouter une caresse sur son bouton. Comme depuis hier, elle hurle en jouissant. Mais je ne marrête pas. Je veux la crever dorgasmes continus.
Elle demande enfin grâce, je sors ma main que je lui donne à nettoyer, ce quelle fait sous la contrainte. Sans doute écurée, elle se rhabille pour partir. Avant elle membrasse en me disant merci.
Le lundi elle revient chez moi, nous nous embrassons avant de nous caresser les chattes.
- Tu sais une copine ma invité chez elle pour baiser avec elle et son mari. Jai dit que je te connaissais et que jaimerais que tu sois avec moi. Elle a accepté. Nous serons trois filles pour un homme qui est spécial. Il aime se faire mettre dans le cul par une femme avec un gros gode.
- Bien sur que jaccepte, peut être même que je me ferais mettre par une vrai bite, depuis le temps.
- Sans doute quil te baisera devant nous pendant que je lenculerais.
- Et elle ?
- Tu pourrais la sucer, non ?
- Sucer un con, te sais bien que je ne le fais jamais.
- Tu vas voir.
Elle me lève la jupe sous laquelle elle sait que je suis nue pour passer sa langue sur le bouton. Elle menvoie encore une fois au paradis. Cest réellement bon de jouir avec une autre fille qui sait exactement où elle doit caresser ou sucer. Les études de médecines doivent lavoir spécialisée.
Il me tarde déjà dêtre à samedi. Je me branle en pensant à la queue qui va menculer. Jaimerai faire une 69 à la femme pendant que le mari me la met. Ce doit être agréable de baiser avec un vrai couple.
Tous mes projets sont à jeter. Nos hôtes sont à première vue des français moyens, vivant dans la norme. Leur appartement est banal, un peu comme eux. La seule chose bien visible est le visage de la femme : un profil de déesse, la face sensuelle. Lui est vêtu simplement. Quand à mon amante, elle resplendit de bonheur : notre relation lui plait beaucoup, comme à moi. Disons quau premier abord je regrette déjà le temps que nous allons perdre. Nous aurions du nous baiser comme nous le faisons souvent.
Changement quand après lapéritif lhôtesse nous invite à les embrasser, en commençant à enlever sa robe lâche sous laquelle elle est nue, totalement nue, même sa chatte et glabre. Jadmire son corps qui doit normalement attirer pas mal les gens, hommes ou femmes. Comme nous ne nous connaissons pas, elle tend ses lèvres pour que ma bouche soit sur elle. Sa langue entre dans ma bouche très vite. Ses mains commencent la découverte de mon corps en passant partout, rapidement. Je suis surprise de sa rapidité.
- Embrasses moi pendant que je te déshabille.
- Je vais ten faire autant.
- Jaime bien baiser les filles et toi.
- Jadore, demande à Justine. Je suis sa maitresse.
- Elle me la dit déjà, tu la baise bien, elle ne veut pas charger pour une autre, sauf ce soir, nous nous baiserons devant toi.
- Jai envie dune bite au cul.
- Mon mari le fera gentiment, il aime me faire pareil. Il me fait bien jouir le gros porc.
- Pourquoi gros porc ?
- Parce quil aime se faire mettre dans le cul.
- Tu as un gode pour lui ?
- Non, cest lui qui en a un rien que pour ses fesses : il sencule souvent seul. Je le regarde jouir avec le cul rempli, il se fait bander et je vois son jus partir en grand jet quand il jouit.
- Et toi tu te branle quand il sencule ?
- Je me branle souvent, particulièrement quand il jouit.
- Si nous nous aimions maintenant.
- Tu es pressée ?
- Que te me suce, oui.
Elle ne me suce pas, elle passe sa main sur la chatte dans une caresse efficace qui partant du clitoris arrive sur lanus. La vache sait branler les autres.
Mon médecin est aux prises de lhomme : Leur bouches ne se lâchent pas, si elle a sorti la queue, une grosse queue, lui caresse avec une minutie de lesbienne sa chatte. Elle ronronne longuement avant de crier sa jouissance.
Avec ma nouvelle, ma bouche la quitte pour descendre en bas, vers son pubis. Je lèche son ventre, son nombril pour passer par-dessus le pubis. Davance elle écarte les jambes pour soffrir en le faisant remarquer à son mari. Cest là que je découvre son odeur et son gout un rien salé. Ma langue sert pour la lécher comme le fait un petit chien ; Elle mouille sans cesse comme pour contenter mes papilles gustatives. Jenroule ma langue autour du clitoris plus gros que la moyenne. Je la sens se contracter sous ma caresse que je poursuis jusquà la fin. Je sens ses spasmes aussi jentre deux doigts dans le con. Elle jouit longuement.
Je la délaisse pour quelle aussi me branle à sa façon sans doute, quoique les façons de faire dans le saphisme soient presque toujours pareilles. La grosse différence est la façon de faire. Elle sait bien ou devine ce qui me plait. Si sa langue lèche mon bouton, ses mains ne restent pas immobiles. Elle me doigte avec trois doigts de ma main gauche. Cest le même effet quavec un bon gode comme le mien, par contre sa main droite soccupe de mon cul. Elle sait que je veux me faire mettre à cet endroit par son mari. Je reçois deux doigts dune agilité diabolique.
Les deux va-et-vient coordonnés me donnent un exemple du plaisir quelle sait donner aux filles. Je jouis sans pudeur devant les autres. Cest ma première partie à plusieurs. Je suis obligée de me tourner vers Justine pour quelle aussi me donne un peu de repos.
Elle est trop occupée à sucer la queue de son amant du moment. Elle caresse les couilles avec une main pendant que lautre est dans le cul de lamateur de sodomie. Ses lèvres vont et viennent sur la pine. Cest excitant, tant pour moi que pour lépouse. Ne sais à quoi reconnait limminence de lorgasme masculin : elle arrête la fellation juste avant. Il reste la queue bien bandée, prête à servir encore.
Cest sa femme qui vient me faire coucher sur lui. Je me tourne pour être sur le dos, il me prend par les hanches, entre très lentement sa queue dans lanus. Jai mal au départ. Il sy prend tellement bien en pénétrant que finalement jaccepte volontiers sa pine. Je reste face à sa femme qui se penche pour venir me lécher le con. Cest mon premier plaisir de cette façon, je ne voudrais pas que ça sarrête. Une bite dans le cul, une langue dans le con, cest anormalement bon. Justine enfin se penche pour faire un cunnilingus à notre hôtesse. Son plaisir montent, elle sactive encore plus dans mon entre jambe au point de me faire jouir.
Je fais sortir la bite de mon cul, lui demande sa femme de lenculer. Elle sort un gode qui me fait peur, vu sa taille : je ne le voudrais certainement pas en moi. Elle commence par se le mettre dans son vagin en entier. Une fois bien mouillé de son liquide gluant, elle cherche à peine lentrée de lanus. Je vois quil louvre en grand avant que le gode le touche.
Il est toujours sur le dos quand se femme entre lentement le gode. Je vois souvrir ce cul masculin qui sécarte comme par magie devant le gode. Elle le rentre doucement puis elle lenfonce presque complètement. Aves Justine nous regardons en nous branlant, seule au début, puis en couple plus tard. La femme encule bien son mari en faisant ce qui lui plait à coup davant et en arrière. Je vois la queue se dresser encore si cest possible. La cadence est plus rapide comme les doigts de la femme sur le clitoris. Soudain un grand jet part du gland écarlate. Il jouit en grande quantité de sperme. Sa femme et Justine se précipitent pour lécher le ventre du mari.
Justine veux men faire gouter, je refuse quand elle me donne sa langue presque pleine de semence. Jai horreur du jus dhomme, je naime que celui des femmes en général et du mien en particulier.
Nous faisons encore une petite séance dorgasme avant de nous quitter. En parton Justine me demande
- Alors, elle ta plus la partouze.
- Celle là oui. Je voulais une sodomie pour me rappeler comment cétait quand je me fais mettre par le cul. Je préfère quand nous sommes toutes les deux.
Dès le lendemain nous reprenons nos baises à deux simplement, pour nos plaisirs
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