Leslie Re03
Leslie RE03 Rêves.
Un rêve bien étrange ou la suite de mes premiers pas, suite et fin
Dès notre arrivée à mon appartement, lhomme me félicita pour le début de la soirée en parlant de ma beauté et de lillusion que javais provoquée auprès de ses amis et de ce que je dégageais auprès des autres, mon côté sexy et quelque peu allumeuse, jétais aux anges.
Puis lhomme sapprocha de moi et vint membrasser passionnément à pleine bouche et tout en membrassant, sa main se mit à découvrir mon corps, en particulier mes cuisses et mon ventre.
Il libéra ma poitrine en ouvrant ma veste et embrassa le bout de mes seins et lorsquil se colla à moi, je sentis une énorme bosse dure au travers de son pantalon, au niveau de mon pubis.
Alors, machinalement, sans un mot, jouvris sa braguette et sortis son membre, jétais prête à lui administrer une fellation denfer mais, au moment où je mapprêtais à me pencher pour le prendre en bouche, lhomme me stoppa et me dit :
- Non, pas maintenant, va dans ta chambre et attends-moi à quatre pattes sur le lit !
On y était, cétait lheure de passer à la casserole
Je pris mon courage à deux mains et me dirigeais vers la chambre et je minstallais à quatre pattes sur le lit, les avant-bras et les paumes de la main bien à plat. Mes genoux étaient à la limite du lit et je cambrais au maximum les reins pour offrir mon petit cul dans son intégralité.
Une sensation étrange menvahie, car je me sentais littéralement offerte à lhomme comme une vraie salope, puis je lentendis entrer dans la chambre et il vint se poster derrière moi.
Tournant la tête pour le voir, je le vis complètement nu, le sexe dressé, se branlant doucement en prenant son temps pour mobserver sous toutes les coutures, cela me gêna un peu, mais je ne bougeais pas, attendant
Puis je sentis tout à coup ma mini-jupe se relever, lhomme la retroussa sur mes reins afin de me découvrir et me voir avec le seul rempart qui le séparait bien mal ma rondelle, mon petit string fendu.
Mais au lieu le baisser, il louvrit simplement pour mettre mon anus à découvert et pouvoir me posséder.
- Vas-y doucement, cest la première fois, lui dis-je dune voix tremblotante.
- Tinquiètes, salope, ça va bien se passer, ton petit cul doit être accueillant et tu dois être une bonne baiseuse !
A ces mots, je frémis et il introduisit doucement son majeur dans mon cul, la surprise me fit me contracter, lhomme le laissa dedans et commença un mouvement circulaire qui me fit gémir et frissonner.
Voulant lencourager, je simulais par des soupirs une certaine extase, mais je fis une grossière erreur !
Lhomme sortit son doigt de mon anus et je sentis son sexe venir se coller à mon petit trou. Il était énorme, par rapport à son majeur. Je sus immédiatement que ce ne serait pas aussi facile à engloutir. Mes craintes me firent me crisper. Lhomme avait beau essayer de sintroduire dans mon anus, son sexe narrivait pas à me percer et cela lénerva.
- Tu es trop crispée ! Att tes chevilles et tu verras, tu touvriras comme une fleur.
Je mexécutais, en attrapant les talons de mes escarpins et effectivement, je me sentis plus ouverte, lhomme devait voir mon petit trou ouvert.
Il accentua encore ma cambrure en appuyant ses mains sur mes reins et en me demandant décarter le plus possible les jambes. Une fois bien positionnée, lhomme recommença ses assauts. Au bout de quelques tentatives, le gland parvint à senfoncer quelque peu.
- Laisse-toi aller et pousse, comme si tu avais envie daller aux toilettes, me dit-il.
Je me mis donc à pousser et ce fut comme si je faisais sauter les derniers obstacles.
Le sexe de lhomme me perfora jusquà la garde et la douleur fut intense, mais je narrivais pas à crier, je poussais seulement des petits jappements incontrôlés.
Une brûlure se propagea dans mes chairs intimes et me fit cambrer les reins.
Lhomme prit cela comme un encouragement et se mit à me pistonner violemment, les deux mains accrochées à mes hanches, tout content de mavoir enfin transpercé.
A chaque coup de reins, je me sentais comme ouverte en deux, ma vue se troublait, tandis que tout mon corps allait et venait au rythme des coups de butoir de cet homme et mes longues boucles doreilles ne cessaient de gifler mes joues.
Je narrivais pas à lui dire de se calmer, les seuls sons sortant de ma bouche étant limités à des geignements de souffrance. Le lit grinçait au rythme du pilonnage de sa queue en moi.
- Mais elle aime ça, ma la petite salope, éructa lhomme, en soufflant comme un taureau.
Je narrivais toujours pas à parler et encouragé par mes gémissements, il accéléra encore la cadence et là, je me mis à glousser, sans pouvoir me contrôler. Cela lexcita davantage.
- Cest bien, jouis salope !
Jétais littéralement défoncée et criais, hurlais, sans pouvoir me retenir.
Cette cadence infernale vint vite à bout de la résistance de mon étalon et les doigts enfoncés dans mes hanches, il éjacula bruyamment en moi, meuglant comme un taureau.
Encore quelques va-et-vient et le calvaire sarrêta, il se retira, me claqua les fesses comme on flatte la croupe dune jument et me dit :
- Tu es faite pour te faire enculer, tas un cul denfer ! Extraordinaire !
Je nai pu lui répondre, jétais véritablement sonnée. Mon anus était en feu et je me sentais vidée, un comble après sêtre fait remplir le fondement !
Je navais toujours pas bougée ni dit un mot, lorsque lhomme recommença à me doigter.
Afin déviter de nouvelles douleurs, je me retournais enfin et lhomme me prit la tête et la dirigea, sans aucune résistance de ma part, vers son sexe.
- Allez maintenant, suce salope !
Tant quà faire, je préférais cela !
Je pris son sexe en bouche et pompais son dard, la tête vide et lanus grand ouvert sentant de temps à autre, du sperme couler de mon trou béant le long de mes cuisses, mais quimporte, je le suçais sans me rendre compte que je redonnais vie à son sexe.
Dès quil fut à nouveau en érection, il me demanda de reprendre la position pour une nouvelle sodomie et là, je fondis en larmes.
Il mavait quasiment violé et ce nétait pas la conception que je métais faite dune première fois, celle avec des préliminaires et beaucoup de douceur et de tendresse, lui mavait enculé à sec et navait pensé quà son plaisir, et pas au mien.
Maintenant mon anus était meurtri, et je navais pas envie de revivre une telle expérience.
Lhomme se leva et partit vers le frigo, pour prendre le pot de margarine, puis il revint vers moi et me demanda de reprendre la position dans laquelle il mavait possédé.
Sans savoir pourquoi, je repris la position, pour lui offrir une nouvelle fois mon cul.
Il mit une grosse motte sur son index et me tartina la rosette, puis il menfonça son doigt plus profondément. Étonnement, le gras de la margarine mapaisa un peu et petit à petit, des picotements très agréables se firent ressentir.
Là, cétait tellement bon que je commençais à prendre mon pied !
Je lencourageais à poursuivre cette caresse en accompagnant son doigté de mouvements de reins. Au bout dun certain de temps une chaleur douce commença à envahir mes entrailles et je mentendis dire :
- Maintenant, prends-moi !
Jétais telle une chienne en chaleur. Jécartais au maximum les cuisses et, de mes mains, éloignais les deux parties de mon fessier, afin doffrir au maximum mon intimité.
- Sacrée Leslie, tu es une vraie salope, mais ne tinquiète pas, je bien vais moccuper de ta rondelle
- Humm, noublie pas quand même dêtre doux
Lhomme me pénétra tout en douceur. Malgré cela, javais le sentiment dêtre embroché jusquà la gorge. Son mouvement de va-et-vient était lent mais ferme. Parfois, il sortait carrément de mon anus pour y revenir plus profondément encore, leffet était irrésistible.
Ne pouvant me maîtriser, je poussais des :
- Ohhh et des Ahhh !
Qui devenaient plus brefs dès que le rythme saccélérait, jahanais au rythme de cette sodomie que lhomme me faisait subir et lorsque je le pouvais lencourageais par des paroles salaces.
Je ne me reconnaissais plus, jétais une vraie chienne en chaleur et lhomme semblait adorer ça, car il dit :
- Taime ça te faire enculer, taimes ça la sodomie, je nai jamais enculé une telle excitée du cul !
- Encore ! Cest bon !
- Taime ça ! Hein, que taime ça !
Jétais complètement chavirée, que quand lhomme, une fois de plus, se vida en moi en longues saccades de foutre, jai jouis, me rependant sur la couverture du lit.
Cette fois-ci, je me relevais et nous nous embrassâmes longuement, tendrement, jétais aux anges, comme sur un nuage.
Je me suis réveillée en sueur, en espérant quand même que cela, pour la première fois, ne se passerait comme cela, et vous le savez, ce fut bien autrement, ma première fois
A suivre
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