L'Inconnue Du Paris - Vintimille

C’était l’année de mes 35 ans. Je rentrais d’Italie en plein mois de juillet par le Vintimille - Paris. Nous roulions déjà depuis plus d’une heure dans la chaleur de ce début d’été. C’était il y a bien longtemps, avant les T.G.V. et même les trains "Corail" ; avec des wagons disons traditionnels, à l’ancienne. Dans ces wagons à compartiments séparés, ces derniers avaient chacun 8 places 4 par 4, se faisant vis-à-vis, comme on en voit dans les films des années cinquante. Cette conception rendait encore plus forte la promiscuité et l’atmosphère du lieu plus étouffante...
A côté de moi, et se faisant face sur les places du couloir, 4 jeunes sous officiers de la Légion Etrangère, d’environ 28 - 30 ans. L’un paraissait plus âgé, dans les 35 ans peut-être, comme moi. Leur conversation m’intéressait peu : leur dernier poste sur une petite île où ils étaient restés trois mois sans voir personne, assorti de leurs souvenirs de séjour.
Ils m’avaient bien offert une bière dont il semblait qu’ils en aient eu à profusion dans leur sac de paquetage, et avaient tenté de lier conversation, mais c’était un peu artificiel et je n’arrivais pas à entrer dans leurs échanges de souvenir... Bref, je m’ennuyais ferme depuis le départ, au point qu’en gare de Nice, je sortis dans le couloir.
Là, je vis une très jolie femme, assez jeune me semblait-il, qui avait descendu la vitre du couloir par laquelle elle se penchait. Elle devait être en train de prendre une bouffée d’air pur. Sa robe d’été, légère et assez fine, moulait parfaitement sa descente de reins et elle avait des fesses superbes. Me penchant à mon tour par la vitre baissée, j’engageais la conversation par une banalité :
- " Vous avez bien fait d’ouvrir, on étouffe ici ! ". Se tournant vers moi, toujours penchée à l’extérieur, elle me répondit avec un grand sourire :
- " Oui, hein !... Mais vous savez dehors, l’air est aussi brûlant… Enfin, cela donne l’impression de respirer ! ".


Le train repartit lentement. Elle resta penchée par la vitre baissée encore quelques instants pour être arrosée par l’air en turbulence autour du train qui se mettait en marche. Sa robe battait de la plus jolie façon sur ses fesses. L’air chaud s’engouffrant dans le décolleté devait lui caresser la poitrine et sans doute aussi le ventre et les cuisses, car j’avais l’impression de le voir ressortir sous la robe qu’il soulevait et agitait... Puis elle se retira enfin vers l’intérieur, remonta la vitre et me fit face.
Elle était superbe, charmante, sûre d’elle et de son charme. Elle devait avoir aux alentours de la fin de la trentaine. Elle offrait un joli visage, aux traits réguliers et doux, agréables et fins, les cheveux assez courts, châtain foncé avec une légère teinte rousse. Elle avait de beaux yeux noisettes et un nez assez pointu et allongé, comme l’on souvent les femmes sensuelles et même parfois aussi, je l’ai souvent remarqué, vicieuses...
Sa robe montrait un large et joli décolleté sur une poitrine que l’on devinait parfaite, ferme et bien formée. Mon regard s’y porta instantanément et je fus comblé de voir la naissance de ses seins, avec une peau superbe, lisse et tendue. Quel bonheur ce fut de voir ses 2 jolis globes, rouler et vibrer sous les secousses du train... Elle vit sans doute mon regard car ses yeux devinrent rieurs et son sourire se fit coquin lorsqu’elle me dit :
- " Dites donc, vous, ce n’est pas parce que vous avez de beaux yeux que vous avez l’autorisation de les promener ainsi partout !! "
Nous éclatâmes de rire. A la façon dont elle tournait le propos, je compris qu’elle était plus amusée que choquée par mon manège. Comme pour me justifier, j’ajoutais qu’il n’y avait pas grand-chose d’autre d’intéressant à voir et à faire ici. Elle me dit partager cet avis et ajouta qu’elle aussi s’ennuyait ferme. Au fil de la conversation j’appris qu’elle s’appelait Yolande, qu’elle était mariée. Interprète pour l’Administration italienne, elle allait rejoindre son mari pour les 5 semaines de congés, ce qui j’en eu tout de suite la quasi certitude ne l’enchantait pas plus que cela ; elle me confiait qu’ils s’entendaient mieux quand ils vivaient tous les deux assez loin l’un de l’autre.
.. Je l’invitais à prendre un verre au bar, lui disant :
- " Nous avons bien le temps d’ici Paris de trouver le temps long. Aussi vaut-il mieux sans doute, s’ennuyer ensemble plutôt que chacun de son côté... " Elle en convint, et elle était sur le point d’accepter quand la horde de mes quatre voisins de compartiment, sortit avec bruit pour se rendre au bar justement. Elle préféra donc le calme relatif des places du compartiment à la cohue qu’il allait y avoir au bar. Je lui proposais d’aller chercher deux boissons... Je fus obligé de passer derrière elle dans le couloir étroit, mais au lieu de s’effacer contre la vitre comme elle l’avait déjà fait à plusieurs reprises pour laisser passer des voyageurs, elle ne fit pas mine de bouger, et en passant derrière elle, je frôlais doucement ses fesses de mon bas ventre. Je m’y attardais un instant, juste à peine, l’effleurant, lui faisant sentir ma raideur entre ses fesses à travers la robe légère...
Je file donc acheter les boissons tout gaillard à l’idée que le voyage qui s’annonçait maussade allait peut-être devenir intéressant. Je bande déjà comme un salaud, au point que ma queue me fait mal en marchant tant elle est tendue. Je dois la remettre en place à plusieurs reprises dans mon slip et mon pantalon... C’est un supplice. Je sens toujours la chaleur de ses fesses pourtant à peine effleurées et j’ai devant les yeux la naissance de ses jolis seins, ce qui n’arrange pas mon érection !
Je reviens vers elle avec les deux rafraîchissements. Elle était restée debout dans le couloir. Je vide l’une des bouteilles dans un gobelet que je lui tends, tandis que je me sers l’autre gobelet. A l’instant où je porte mon gobelet à mes lèvres, une brusque secousse du train provoquée par un cahot brutal, déséquilibre la jeune femme et la jette contre moi. Elle en renverse le contenu de son gobelet sur ma poitrine et en particulier ma chemise, la trempant complètement. Passé l’effet de surprise, je suis le premier à en rire, lui assurant que ce n’est pas grave, vu la chaleur qu’il fait !.
.. J’entre dans mon compartiment où je sais trouver des vêtements de rechange. J’ouvre ma valise, y prend une nouvelle chemise, sèche celle-ci, et c’est au moment où je suis le torse nu que j’entends la porte du compartiment s’ouvrir derrière moi. Je me retourne et je la vois se découpant en silhouette dans l’encadrement de la porte, belle et sensuelle, souriante aussi :
- " Je vous dois de plates excuses, me dit-elle. Je suis vraiment désolée. Un qui aurait fait cela, aurait mérité une bonne fessée, n’est-ce pas ?... "
J’ajoutais en riant lui tournant toujours le dos pour ne pas montrer la bosse de mon pantalon, d’autant plus visible que j’étais torse nu :
- " Chiche ! Vous fesser serait pour moi un gage bien agréable, vous êtes si belle et si espiègle aussi, que je... "
- " Vous le feriez ? Là maintenant ?, rétorqua-t-elle avec un air mutin et presque offusqué. Vous me rougiriez les fesses ? Comme à une gamine ?... Vous ne manquez pas d’air ! "
Je voyais en même temps ses jolis yeux briller à l’idée de cette scène et son sourire un tantinet coquin. Et surtout je voyais, là devant moi, à travers le tissu léger de la robe d’été, les pointes de ses seins qui faisaient très nettement sailli. J’en fus tout à coup profondément troublé. Je l’empoignais vivement par un bras et m’asseyant prestement sur la banquette, je la courbe et la bascule en travers de mes genoux, lui emprisonnant les poignets de ma main gauche. En riant elle gesticule et s’agite, battant des jambes, ce qui relève largement sa robe. Je levais la main pour faire mine de la fesser, quand un mouvement plus ample de sa part fait remonter un peu plus la robe. Une culotte blanche en tissu luisant sans doute de soie, s’offre à mes regards. Fasciné par le spectacle de son cul que j’imagine sous le morceau d’étoffe, je reste sans voix, la main levée, interdit... Malgré moi, ma main droite descend lentement et sans que je puisse faire quoi que ce soit pour l’empêcher, elle effleure les globes pleins et superbes de sa poitrine.
..
- " Eh bien alors mon cher, vous vous dégonflez ?!… " La voix est ironique, presque amusée. Je ne vois pas son visage, juste son cou délicieux, et surtout les globes jumeaux de ses fesses magnifiques. Je ne vois plus qu’eux, subjugué. Je sens sur mes genoux le moelleux de ses seins, et cela, rajouté à la situation présente, ne contribue pas à me calmer...
Sans rien dire, doucement, d’un mouvement lent presque caressant j’abaisse la culotte sur ses cuisses, dévoilant un cul somptueux, et par dessous, une faille superbe qui me laisse comme paralysé... Jusqu’à ce qu’une voix ironique me secoue :
- " Vous n’allez pas me fesser cul nu, quand même ?… "
Fasciné par le cul magnifique, je ne peux abaisser ma main…
- " Alors, je ne suis plus punie ?... " Me faisant violence, j’assène deux ou trois petites claques qui sont plus des caresses que des coups, quand la porte du compartiment s’ouvre d’un coup sur nos militaires abasourdis par le spectacle plutôt libre et croquignolet, que nous offrons. Pourtant c’est Yolande qui réagit la première. D’un bond saute au bas de mes genoux, rabaissant sa robe vivement, mais la culotte, elle, reste à mi cuisses et elle peine pour la remonter devant les bidasses hilares qui bien évidemment ne perdent rien du tableau ! Elle a, à cet instant, un moment difficile. Mais bien vite, comme chaque fois me semble-t-il, elle reprend rapidement le dessus. Et, les joues roses d’excitation, l’air fanfaron, le sourire aux lèvres, elle se tourne vers les 4 garçons qui s’installent à leur place tout en s’adressant des regards complices, et elle relève carrément sa robe :
- " Le spectacle vous plaît, messieurs ? Après tout pourquoi ne jouer la pièce que devant un seul spectateur quand on peut avoir tout un parterre ? "... Elle marque un temps, mesurant l’effet produit, avant de pousser son avantage :
- " Cependant j’y mets une condition : c’est moi qui mène le jeu. Au moindre désordre, je vous mets dehors et si vous insistez, je hurle au viol et nous verrons bien si les voyageurs d’à côté et les contrôleurs ne réagissent pas ! Mais, si vous êtes d’accord, je crois que vous ne le regretterez pas et que vous allez passer un bon moment, je vous l’assure !... " .
Les yeux brillants et les sourires un peu surpris d’abord des jeunes soldats, parlent entre eux. Yolande semble beaucoup aimé les jeunes tant elle est à l’aise avec eux et les domine sans effort... Un instant, je me sens un peu frustré, mais après tout pourquoi pas ? Et c’est mieux ainsi que de tout perdre. Et puis Yolande semble savoir où elle va. Elle ne doit pas être à son coup d’essai dans ce genre de situation : elle a à coup sûr de la ressource et sans doute des idées géniales... On verra bien.
Posément, elle va fermer la porte du compartiment au verrou, demandant à l’un des bidasses de bien tirer les rideaux des vitres du compartiment donnant sur le couloir. En principe nous devrions être tranquille, le contrôleur est passé il y a un quart d’heure, juste avant l’arrivée en gare de Nice. Sages et attentifs, nous nous installons sur les banquettes. Yolande est dos à la vitre extérieure et nous fait face. Elle a un regard circulaire sur nous cinq, comme pour s’assurer que tout est en place comme elle le souhaite. Elle a l’air d’une prof qui va commencer un cours, et nous, sans doute, d’élèves bien sages. Par où va-t-elle commencer ?
C’est le haut de sa robe qui fait comme un corsage ajusté qu’elle déboutonne en premier. Pas comme le ferait une strip-teaseuse, non, plutôt comme quelqu’un qui se déshabillerait naturellement juste un peu plus lentement. Elle apparaît en soutien gorge blanc, un joli soutien gorge à balconnets qui nous présente les seins plus qu’il ne les dissimule à nos regards... Quelle poitrine magnifique ! Deux beaux globes séparés en leur centre par une vallée moite. Les aréoles sortent presque par dessus les balconnets du soutien gorge, alors que les tétons dardent agressivement sous le parement de dentelle...
Ca y est ! Je suis de nouveau à l’étroit dans mon pantalon... Mais cette fois, je ne suis pas le seul. Les bosses, qui déforment les pantalons de serge kaki des bidasses sont éloquentes !... Et là, nous regardant bien en face sans doute pour apprécier l’effet produit, elle relève de nouveau sa robe dans un mouvement calculé et superbe. Et lentement, elle pivote sur elle même et nous tourne le dos, nous montrant ses très jolies fesses soulignées par le triangle de soie blanche et baisse d’un coup sa culotte, laissant aux cinq hommes découvrir son cul sublime qu’elle tortille lentement par jeu, en finissant d’ôter le sous vêtement.
Puis Yolande nous fait lentement face de nouveau. Sa touffe mousseuse et d’un magnifique blond-roux apparaît à la fourche de ses cuisses, dessinant comme une ombre de feu. J’agrippe à deux mains ma queue raide à travers mon pantalon pour l’empêcher de sortir malgré tout. Je la comprime et la serre de peur de ne plus pouvoir me contenir... Elle saisit mon geste et dit :
- " Envie de vous libérer ? Allez-y mes petits, n’hésitez surtout pas et ne vous gênez pas pour moi !... Si vous le faites, j’enlève complètement ma robe ! "
Un regard vers les autres me montre que nous en sommes tous au même point et que les mains sont déjà largement aux braguettes ! Une grosse queue décalottée apparaît, puis une autre et une autre encore qui sort du pantalon. Ce sont bientôt cinq colonnes à la une qui, partant de tous les coins du compartiment, tentent en demi cercle leur mufle vers l’objet de leur désir : la jolie minette en train de dégrafer sa robe. Celle-ci est retombée au niveau de la ceinture, tandis que le bas de la robe, remonté jusqu’aux hanches est en train de s’ouvrir sur un corps superbe d’un équilibre parfait, fait à peindre... Elle apparaît encore plus belle, plus svelte et plus fine dans le mouvement qu’elle fait pour faire passer la robe au-dessus de sa tête, et qui finit sur la banquette à côté. Un jeune bidasse, celui qui est à la droite de Yolande s’empare de la robe et y enfouit sa tête, sentant l’odeur de la femme, s’enivrant des effluves féminines...
D’un geste précis mais lent et calculé, Yolande sort chaque sein par-dessus les balconnets du soutien-gorge. Les deux tétons, très beaux et bien dressés sont montrés et nous font définitivement chavirer... La femme commence à se passer les doigts dans sa mousse pubienne, s’effleurant à peine d’abord. Un doigt, puis deux s’insinuent dans la fente et commencent à aller et venir, remontant le long des cuisses et sur le pubis dans une masturbation des plus excitantes. Les cinq colonnes bandées, dressées semblent plaire à la jolie femme puisque presque nue, accroupie sur ses talons dans une posture et une cambrure magnifiques, elle s’avance vers les hommes et se trouve au milieu de nous. Là, tendant les mains à gauche et à droite, elle frôle au passage du bout des doigts, les bites dures et dressées, les caressant à peine, les effleurant tout juste, sans appuyer la caresse...
L’un des jeunes hommes, celui qui est assis à ma gauche pousse un petit gémissement, sa bite rouge et dressée, vibre, un jet blanchâtre et plutôt épais jaillit d’un coup et asperge le bras gauche de Yolande. Elle rit et complimente le jeune garçon pour sa merveilleuse éjaculation qui dit-elle la comble d’aise. Le jeune homme est plutôt penaud de ne pas avoir pu se contenir plus longtemps.
Puis, se mettant debout, elle tend vers moi son bras où je perçois les grosses gouttelettes de foutre, et me dit :
- " Tiens lèche, nettoie, et tu pourras me téter et me langotter les seins ! Tu verras, ils sont sensibles. Tu vas les faire bander bien fort, j’aime... " Et disant cela, elle se penche en avant et présente son sein droit à sucer à mon voisin. Avide de lui prendre un sein en bouche et malgré mon peu d’intérêt pour le sperme en général et celui d’autres hommes en particulier, ma langue parcourt et aspire le foutre encore chaud sur la peau fine de la belle brune et la nettoie bien à fond....
La jolie garce pivote alors vers moi, se cambre et me tend ainsi sa poitrine à sucer. Je suce et aspire l’aréole brune et à la rugosité soyeuse, happe le bout du téton tendu, quand j’entends une claque retentissante.
Je lève les yeux pour apercevoir l’un des militaires, debout à côté d’elle, en train de retirer sa main qu’il avait glissé entre les cuisses de la belle, par derrière elle, sans y être autorisé. Elle avait claqué son avant-bras, et lui reste là, penaud et interdit au milieu du compartiment. Elle lui sourit en disant :
- " Ce n’est pas que je n’ai pas envie de tes doigts ni de tes caresses, mais je ne supporte pas qu’on se passe de mon autorisation. C’est plus fort que moi. Je veux bien être votre partenaire et votre égérie, mais pas votre objet et c’est moi qui décide ! O.K. ?... Allez va t’asseoir mon joli, tu vas voir que y trouveras bientôt ton compte !! "
Le garçon sans un mot, mais un peu plus détendu, se laissa tomber sur la banquette derrière lui. Il ne pouvait détacher - pas plus que nous tous d’ailleurs ! - ses yeux du joli corps de la belle rousse.
Yolande, venait de montrer qui faisait la loi et que cinq mecs dans un compartiment où elle était à poil et s’exhibait ne lui faisait pas peur ! Profitant de son avantage, elle se mit donc posément et ostensiblement au milieu du cercle que nous formions tous et là avec un aplomb qui démontrait sa classe, elle met un pied sur la banquette et elle écarte le plus possible ses jambes, montrant son pubis puis sa fente qu’elle ouvre avec ses deux mains de chaque côté, faisant saillir et écarter les lèvres fines longues et bien dessinées qui encadre un joli trou rosé. Avec un sourire très sensuel et passant sa langue sur ses lèvres elle dit :
- " Alors mes petits cocos, ça vous plaît !?... J’aimerais que vous regardiez bien ma chatte et que vous me caressiez bien entre les jambes !... Humm !..., fit-elle, gourmande, j’ai envie d’être admirée, sucée et branlée et ensuite je crois qu’elle aimera se faire enfiler, dit-elle en désignant sa fente du regard... " Disant cela, d’une main elle écarte les lèvres de sa chatte et se passe un doigt fin et léger sur le clitoris, sur le bord des lèvres avant de le faire pénétrer dans le trou où il fait des va-et-vient lents et cérémonieux !
L’excitation des types et à son comble, les bites sont dressées pour le plus grand plaisir de la femme car son regard va de l’une à l’autre, s’attarde sur l’une revient sur l’autre, languissant, comme pour évaluer les plus excitantes... La cochonne se penche lentement en avant et lâchant sa chatte, elle empoigne une bite de chaque main à sa gauche et à sa droite, et embouche une troisième qui est juste en face d’elle.
La bite qu’elle enfourne est une des plus fortes, en diamètre et en longueur. C’est un beau calibre, comme l’on dit ! Elle le sait. Et elle l’aspire presque entière dans sa bouche. En même temps, elle branle vigoureusement les 2 vits de jolies tailles aussi... Et se relevant pour reprendre sa respiration, elle désenbouche la bite pour me dire légèrement tournée vers moi :
- " Et toi mon joli avec tes beaux yeux, tu vas te glisser sous mes jambes et me lécher le clito et plus si tu veux ! J’ai très, très envie de mouiller dans la bouche d’un bel homme... "
Puis s’adressant au jeunot qu’elle avait tout à l’heure remis à sa place :
- " Quant à toi mon petit chéri, pour te montrer que je ne suis pas rancunière et que j’apprécie malgré tout les initiatives, tu vas venir mettre ton joli morceau entre mes fesses que je te tends là maintenant, et tu vas le passer dans la raie et dans toute la longueur de la fente pour me branler du bout de ta jolie pine… Tu compléteras ainsi ce que va faire le monsieur lécheur en dessous ! Mais interdit d’entrer dans aucun des trous compris, sinon..., je promets du bon temps à tes jolies couilles !!... "
Personne ne broncha, elle reprit l’engin dans sa bouche et tout s’organisa comme elle l’avait demandé : je me glissais entre ses cuisses et je fus assailli par sa bonne odeur de femme. Le dos calé contre le bas de la banquette, ma bouche était juste au niveau du haut de sa fente. Je voyais ses jolis seins pendre légèrement de par sa position, caressés et pétris pas les mains des jeunes hommes qu’elle suçait et branlait... Du bout de mes doigts j’écarte son sexe et y enfouis mon nez et ma bouche. Son bas ventre est doucement balancé par le jeune qui derrière elle, lui passe sa queue dans la raie des fesses et jusque dans la fente. Mes lèvres rencontrent celles de son sexe et je constate que sa chatte est déjà très mouillée et même légèrement onctueuse, crémeuse je dirais même. Je vois par là qu’elle aussi est très excitée et a très envie des queues dont elle s’occupe…
Elle accélère la masturbation des deux bites qu’elle tient dans chacune de ses mains. La jolie coquine branle avec une dextérité qui me fait dire qu’elle n’est pas à son coup d’essai pour branler de concert 2 membres à la fois… Les coups de langue et les aspirations qu’elle porte au vit du soldat le mieux membré, ont vite raison de sa résistance. Il lui éclate dans la bouche ; elle se délecte du foutre chaud en gémissant :
- " Huuuummm… C’est bon…, c’est chaud !... "
Tout de suite, celui qui est derrière elle, sans doute à force de lui frotter la fente du bout de son membre, lâche aussi sa décharge sur les reins de la belle. Je sens son petit bouton d’amour se durcir et elle m’inonde la bouche et le visage de sa liqueur chaude et onctueuse dans un râle :
- " Oh, oui… Je jouis !… Je jouis mes salauds !!... Inondez-moi bien partout… je veux du foutre, du foutre partout !!... "
Cela détermine la jouissance de l’un des deux autres qu’elle branlait. Il lui décharge sur les seins, ce qui exhausse son vœu d’avoir du foutre partout… Celui qui s’est oublié dans les premiers instants, même s’il s’est remis à bander ne parait pas prêt à remettre le couvert. Aussi, abandonnant sa position elle fait demi-tour sur elle-même et toujours à genoux, me prend en bouche pour me pomper à mon tour. Elle n’a pas besoin de beaucoup travailler en trois ou quatre coups de langue, elle arrive à ses fins et je lui lâche tout dans la bouche. Elle se régale de ma semence…
Nous restons là, un long moment, les uns et les autres affalés sur les banquettes du compartiment, bercés par les roulements du train. Comme dans un rêve, n’osant rompre ce repos si particulier qui suit les moments d’intense jouissance…
Elle s’est doucement rhabillée et j’étais dans un tel état second que je n’ai même plus en mémoire ses paroles. Je crois juste me souvenir qu’elle est sortie rapidement, disant regagner sa place...
Lorsque j’ai émergé et repris contact avec la réalité du compartiment, du train, du voyage, je pris conscience que les bidasses étaient repartis, sans doute chercher à boire et commenter l’aventure… Je me suis mis à la rechercher dans tout le train… Y compris à l’arrivée à Paris où descendu dans les premiers, j’ai vainement attendu en bout de quai pour la voir passer…
Je ne l’ai jamais revue… Dommage, je me dis souvent… Car je n’ai jamais rencontré depuis, une femme comme ça !

Et à vous, ce genre d’aventures vous est-il arrivé ?

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