La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1461)

chienne Kajira (devenue esclave Clytoris) au Château – (suite de l'épisode N°1458) –

Maitre fit une vive poignée de main à son ami et quitta la pièce en claquant des doigts pour que je Le suive... Je ne savais pas où on allait et je ne me posais pas de questions. Puis je Le suivis attentivement et Il me conduisit dans Sa luxueuse suite.

- Ma chienne salope, je tenais à te féliciter pour ton comportement durant tout le séjour. Tu as été parfaite malgré quelques petits recadrages de Ma part que nous travaillerons dès le retour au Château.

Je baissais la tête honteuse d’avoir bougé lorsque Maitre et le marié se sont servis des martinets pour me fouetter le dos et mon cul. Quelques larmes perlèrent sur ma joue. Je m’en voulais beaucoup de ne pas avoir réussi à rester totalement immobile. Maitre le remarqua et me dit :

- Regarde-Moi dans les yeux, Ma belle petite chienne, voila c’est mieux sèche tes larmes. Je ne suis pas du tout en colère loin de là, donc rassure toi, Je connais tes capacités et J’ai conscience que tu as perdu un peu en résistance mais dès ton retour et avec un peu d’entrainement, tu retrouveras vite toute ta résistance et endurance passées. Mais pour le moment nous allons prendre la direction de l’aéroport où mon Jet m’attend… Et durant le trajet jusqu'à l’aéroport, Je veux pouvoir sentir ta bouche sur Ma verge. Je veux que tu me suces et que tu prennes ton temps, petite salope de chienne. J’exige donc que tu ne me fasses pas éjaculer avant d’être arrivé à l’aéroport. Et le trajet va durer 30 minutes donc dès que nous serons dans la voiture, tu grimperas sur le siège et feras ce que tu as à faire…

Le Maitre passa Sa main sur ma chatte trempée d’excitation et rajouta :

- Mais quelle putain tu fais ! Tu es Ma pute, tu es trempée par Mes simples mots … Tu es vraiment une grosse chienne en chaleur. Tu es faite pour être baisée et enculée comme une putain en chaleur.

Et à voir ton excitation, tu es encore en manque, on dirait ! A quatre pattes, Ma petite pute, Je n’avais pas prévu de te prendre mais J’ai changé d’avis…

Je me mis de suite à quatre pattes relevant bien mon cul en le bougeant pour faire un véritable appel à la bite ! Et sans tarder, je sentis la Verge bien dure du Maitre forcer l’entrée de ma chatte trempée d’excitation. Il poussa et entra sans difficulté et commença à me pilonner sauvagement ma chatte de pute à grands coups de reins puissants, virils et avec une force inouïe à me démonter de la sorte. Je sentis Ses couilles claquer sur mon clito, ce qui accentua mon excitation et mes pulsions de chienne soumise en chaleur...

- Ta chatte chaude, humide et accueillante de salope est toujours un plaisir à prendre, Ma chienne. Qu’il est bon Ma grosse pute de te faire prendre et labourer par le Maitre.
- Oui….ouiiiii Mai…Maître, c’est trop booooooooon… Encooore, s’il …vous… vous plait…Hummmmm…...
- Je sais Ma chienne nympho, tu en reveux…En revoila dit-il en me pilonnant de plus belle, redoublant la cadence

Le Châtelain accéléra Ses mouvements alors que, déjà, j’avais de plus en plus de mal à retenir mon orgasme qui était en train de grandement monter. Je me concentrais au maximum pour ne pas jouir mais ce fut très difficile de me retenir…

- Je sais que tu as envie de jouir, Ma chienne, mais retiens-toi encore un peu, Je te veux salope, chienne, catin, trainée, pute, à Mon entière disposition, prêtre à répondre à Ma moindre exigence, à être disponible pour être prise, baisée, enculée n’importe où, n’importe quand, n’importe comment, par le cul, la chatte la bouche et toujours selon comme Je veux.... Et là, J’exige que tu te retiennes encore pour Moi … mais tu es autorisée juste à gémir autant que tu le souhaites, salope…

Sur Ses mots le Maître accentua encore plus Ses mouvements de pénétration et me pilonna encore plus fort et encore plus profondément.
Je commençais donc à gémir de plus en plus comme une chienne en chaleur. Ce qui m’aida beaucoup à retenir l’orgasme tout proche. En même temps, Il me retourna et commença pendant qu’Il me baisait la chatte à me branler vigoureusement le clitoris qui réagit très vite et se dressa. J’étais haletante à la limite de l’orgasme

- Attention Ma putain de chienne…. maintenant….. jouit et autant que tu le peux, c’est une Exigence…

Sur Ses mots, je lâchais prise et jouis comme jamais dans un orgasme tellement intense et puissant. J’étais parcourue durant un long moment par des spasmes orgasmiques qui me traversèrent mon corps en fusion. Maitre continuait de me prendre et de me branler le clito sans aucune interruption, ce qui me provoqua un deuxième orgasme qui me fit hurler mon plaisir à tue-tête, je mouillais énormément d’une cyprine dégoulinante. Le Noble sortit de ma chatte pour se planter sans attendre et sans ménagement dans mon cul, poussant Sa dure et épaisse Verge contre mon anus pour s’enfiler dans mon fondement… Puis, Il se mit à me défoncer vigoureusement, ce qui me provoqua un troisième et dernier orgasme tout aussi explosif avant qu’une soumise aux tétons annelés ne frappa à la porte pour signaler à Maitre que le taxi est arrivé. Il sortit Son Vit et me présenta Sa verge toujours aussi dure pour que je Lui nettoie et que nous partions pour l’aéroport… Durant le trajet, agenouillée entre les sièges avants et arrières, je m’appliquais à Lui prodiguer une fellation douce et longue. Je pouvais L’entendre gémir de plaisir et par moment me dire que je suis une bonne esclave obéissante, une bonne pute à baiser et à dresser. Parfois, Il me prit par les cheveux pour me faire accélérer mes mouvements de va-et-vient et que je Le prenne en gorge profonde. Ainsi, Il me baisa littéralement la bouche comme s’Il était dans ma chatte ou dans mon cul. Et par moment Il arrêta pour que je continue moi-même à Le sucer, disons, plus classiquement.

Ce n’est qu’à l’arrivée à l’aéroport que, soudain, Il me prit de nouveau par mes cheveux et s’enfonça en moi sauvagement et puissamment pour me défoncer la bouche à grands coups de queue, manquant de m’.
Il accéléra Ses mouvements et dans une dernière gorge profonde, Il jouit abondamment dans le fond de ma gorge des jets de semence chaude et saccadée dans de longs râles orgasmiques tellement délicieux à entendre pour moi… Je dus ensuite le nettoyer consciencieusement avec ma langue de salope avalant les restants de sperme mélangé à ma salive… Durant le vol, Maitre me fit m’installer à Ses pieds et en moins de 5 minutes et sans le vouloir je tombais dans un profond sommeil suite à la fatigue du séjour que j’ai passé car en réalité je n’avais que très peu dormi. Maitre, de Son coté, s’occupait de régler Ses affaires courantes et Il avait fort à faire même si nous n’étions partis que trois jours. Ce n’est qu’au moment de l’atterrissage que je m’aperçus que je m’étais endormie à Ses pieds sans Son accord et par réflexe, je fis un rapide bond et me prosterna à Ses pieds, mains l’une sur l’autre bien en avant et le cul bien relevé

- Qui y a-t-il, Ma chienne ? Parle je t’y autorise
- Maitre, veuillez pardonner mon comportement, je me suis endormie sans Votre accord et permission et je Vous supplie de bien vouloir pardonner mon attitude, Maitre
- Ma salope, à genoux, mains sur tes cuisses. Voila c’est parfait Ma chienne… Tu as en partie raison, mais si Je te sanctionne pour t’être endormie, Je ne serai pas juste car tu n’as que très peu dormie durant ce voyage et tu as passé la nuit dernière à être utilisée durant toute la nuit, donc pour cela Je ne te sanctionnerai pas. Mais tu vas être punie car tu aurais dû, et là tu as entièrement raison, Me demander l’autorisation pour dormir que Je t’aurais donné car J’étais conscient de ton extrême état de fatigue. Donc à quatre pattes, Je ne veux ni entendre le son de ta voix ni te voir bouger. Et si Je devais par malheur t’entendre ou te voir bouger Je recommence à zéro, Me suis-Je bien fait comprendre, Ma pute ?
- Oui Maitre
- Donc exécution chienne salope…

Je ne disais rien et me mis en position quatre pattes.
Je fermais les yeux et serrais les dents. Je savais que cela allait être dur et intense mais en même temps je savais que je serai pardonnée après la sanction. Le Maitre commença par me caresser le cul puis à me punir par de sévères fessées sur mon cul. Les fessées ne sont pas la pour mon plaisir et je le savais. Je n’avais aucun plaisir masochiste car ma peau n’était pas réparée et je ne sentis que la douleur vive et cuisante s’abattre sur mon fessier arrondi. Les fessées s’abattirent les unes après les autres sans s’arrêter. Je ne saurai pas dire combien il y en a eu, car Maitre ne m’a pas exigé de compter mais la douleur fut de plus en plus forte et je commençais même à en pleurer en silence pour ne pas que le Noble ait à recommencer, mais j’avais toute les peines du monde à me retenir. A un moment donné, je ne pus m’empêcher de sangloter et le Châtelain me dit d’un ton ferme :

- Je t’avais dit quoi, chienne ? Que si Je devais entendre un son sortir de ta gueule de chienne, je recommençais ! Donc on reprend à zéro et même que Je vais changer d’accessoire. De plus, Je peux remarquer que tu as encore du mal à retenir tes sons de ta bouche. Alors Walter va se charger, en plus de ton endurance et de ta résistance, à travailler sur ce point-là aussi, car quand J’exige quelque chose, la chienne, c’est pour une raison donc silence !

Je baissais encore plus la tête pendant que Maitre se saisit de la cravache pour venir sanctionner mon cul. Les coups furent fort puissants et intenses sur mon fessier déjà meurtri. Je ne bougeais pas, non sans mal, et pareil que tantôt je contins ma voix pour ne laisser rien sortir de ma bouche. Et cette fois j’y arrivais, avec difficulté mais j’y arrivais tout de même. C’est vrai au bout d’une cinquantaine de coups, Maitre stoppa et posa Sa cravache sans un mot pour moi et s’assit sur un fauteuil en silence et attendit… Pour ma part, je ne bougeais pas d’un millimètre et toujours sans bruit, je restais dans le plus parfait silence... Au bout d’une éternité pour moi, Il se releva et vint se positionner devant moi pour me dire :

- Maintenant, prosterne-toi devant Moi, de nouveau, la chienne.

Je me prosternais donc devant Lui, de nouveau, toujours sans un mot car je n’y étais pas autorisée et surtout car Maitre ne m’avait pas donné la parole. Mais je savais que cela n’allait pas tarder car après toute punition, vient le moment d’implorer Son pardon...

(A suivre …)

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