Une Patronne Et Une Employée.

Aujourd’hui je dois recevoir une jeune femme âgée de 24 ans, d’après son dossier c’est une jeune femme sérieuse, qui sait ce qu’elle veut, elle est brune, grande, fine et à une grosse poitrine, je sens que je vais m’amuser avec elle, ce sera ma nouvelle petite soumise celle-là.
Trois coups se font entendre à ma porte, je lâche alors un « Entrez ! » et j’aperçois enfin cette jeune femme, très belle vraiment. Je souris doucement et lui demande de s’installer face à moi, elle portait une petite robe noir qui mouler parfaitement son corps, en guise de chaussure c’était des escarpins blanc assorties à son blazer blanc lui aussi. Je la regarde longuement, puis je lui pose donc quelques questions.

« -Pourquoi veux tu faire ce boulot ?
-Sans me venter madame, je pense être parfaite pour être à ce poste.
-Vraiment ? Et tu es prête à faire quoi ?
-Tout, vraiment tout. »
Je souris alors en coin fière de ce qu’elle venait de dire, elle c’était mise dans une merde profonde, elle ne sait pas dans quoi elle c’est engagé.

« -Parfait, tu es embauchés ma belle. Maintenant viens vers moi et déshabilles toi.
-Qu..Quoi ?
-Tu m’as très bien comprise ma jolie, aller.
-Mais je suis censé travailler !
-Oui tu vas le faire tout à l’heure, maintenant déshabilles-toi avant que je m’énerve ! »

Je voyais bien dans son regard qu’elle avait peur, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivé et tant mieux tout cela m’excite énormément, je me lève avant de me mettre face à elle, elle ne bouger pas d’un pied, je fronce alors les sourcils et lui retire son blazer la regardant dans les jolies yeux bleus, puis je défais lentement sa fermeture éclair.

«- Ma pauvre, tu vas êtres punis tu le sais ça ?
-Mais je n’ai rien fais.
-Je t’ai donné un ordre, tu ne l’as pas fais petite conne.
-Pardonnez-moi.
-C’est trop tard. »

Je jette donc sa robe au sol et dégrafe son soutien-gorge en dentelle noir, je regarde sa jolie poitrine généreuse et lui fouette donc un de ses seins avec le bout de mes doigts, elle lâche alors des petits cris de douleur ce qui m’excite encore plus, je prend un de ses mamelons avant de le pince fermement entre mon pouce et mon index, je m’amuse avec le roulant entre mes doigts, en le pinçant fortement et le tirant, elle avait mal, je le savais mais je m’en fichais elle était punis.

Après quelques minutes à la voir souffrir je m’arrête la regardant dans les yeux, je lui caresse la joue tendrement en souriant.

« - Ne fais pas cette tête ma jolie, tu es magnifique quand tu souffres. »

Elle ne savait pas quoi dire, je passe un rapide coup de langue sur mes lèvres avant de retirer ma chemise et ma jupe, je souris en coin alors que dans ses yeux je voyais de la peur, je m’installe sur mon bureau écartant mes jambes lui laissant une magnifique vue sur mon sexe trempé à cause de l’excitation.

« - Approches. » Lui dis-je avant de passer une main dans mes cheveux bruns, je la vois s’approche d’un pas douteux, je souris toujours et une fois qu’elle fut face à moi, je lui ordonne de se mettre à genoux et elle le fit.

« - Maintenant, tu vas me lécher.
-Qu..Quoi.. ?
-Tu m’as très bien comprise, aller.
-Non..
-Pardon ?
-Je.. Oui.. Excusez-moi.
-Et bien, il faut que je te dresse comme une petite chienne toi. »

Sans perdre de temps, je lui prends les cheveux fermement et colle son visage contre mon intimité, je lui ordonne de me lécher et elle commence donc à le faire, je souris et ferme les yeux laissant le plaisir prendre le dessus.
Sa langue caresse lentement mon clitoris ce qui me procure un bien fou, je lèche échapper quelques soupirs de plaisir tout en la regardant faire.
« - C’est bien, lèches ma chatte petite salope. Mh, tu l’aimes hun, dis que tu l’aimes.
-Je l’aime, oui.
- Tu aimes quoi ?
-Votre chatte madame, j’aime votre chatte. »

Je souris et recolle violement sa tête contre mon sexe humide.
Après de longue minute, je gémis doucement ayant atteint l’orgasme, je décolle sa tête fortement et souris en voyant sa bouche entourer de ma mouille, je la lève et part chercher des cordes. Une fois celles-ci en main, je l’allonge sur mon bureau et je l’attache lui écartant ses jambes laissant voir sa partie recouverte de sa culotte en dentelle.

« Ta punition n’est pas finit. »





A SUIVRE.
A_Raconte