Professeur Dépravé Et Voyeur - Episode 01
Jai toujours eu un penchant pour les belles jeunes minettes. Je lavoue. Celle en maturité sexuelle, évidement ! de dix-sept ans et plus, qui savait bien ce quétait le sexe. Et qui mieux quun professeur peut avoir main libre sur des petits trésors du genre. Entre un chapitre des uvres de Maupassant ou Hugo, mes yeux coulés sur les petits seins ronds et fermes de mes jolies petites élèves. Pas une qui seu jamais rendue compte de mon penchant. Ou, si cétait le cas, jamais elles ne me laissèrent lidée davoir compris mon démesuré fanatisme pour leurs corps jeunes.
Elles avaient changées façon de shabiller les filles, dans le temps. Et cest probablement pour ceci que mon penchant se fit incommensurable. Elles faisaient la guerre entre elles a qui shabillaient le plus sexy, mais elles avaient peu de façons car on leurs imposait une tenue : une chemise blanche, une veste bleue en teinte avec la jupe qui leur arrivée aux genoux. Mais elles sétaient faite rusées et aussi coquines. Elles ouvraient les chemises, les décolletés qui devenaient toujours plus plongeant, les soutiens-gorge colorés ou en dentelles qui sentrevoyaient, toujours plus serrés, remontant et comprimant leurs seins jeunes et ronds, lentre-seins bien profond et marqué, leurs tétons qui se voyait de tant a autre même de sous leurs soutiens, leurs chemises et leurs pulls quand elles en ajoutaient un en hiver. Et pour les jupes, elles les raccourcissaient. Lourlet montait chaque mois plus sur leurs cuisses, centimètres après centimètres, devenant des mini jupes sexy, rejoignant presque leurs sexes, ainsi quen se courbant pour ramasser quelques chose, le joli fond bomber de leurs culottes sentrevoyait si on était leste à cueillir cet instant.
Jétais professeur de philosophie à la dernière classe de baccalauréat dun lycée, où encore filles et garçons se trouvaient en classes différentes. Cétait un lycée de richards, ou on payait bien chers pour faires étudier leurs filles et fils dans cette école, mais plutôt pour dépuceler leurs filles a papa dans les toilettes par dautres fils a papa si jamais elles eurent rejoins le lycée encore a dépucelées.
Leurs jambes chevauchée de temps à autre se détresser, et alors elles laissaient quelques temps leurs cuisses ouvertes, ne se rendant pas compte de la magnifique visuelle quelles me donnaient de leurs intimités. Si elles portaient des bas, ceux-ci leurs serraient si fort le corps quon voyait presque tout ou alors je mimaginais ce que ces bas leurs mouler si parfaitement
la fente de leurs foufoune, comme elles les appelaient, leurs grosses lèvres encore belles et fermes. Mais ce que jaimais quand le printemps sapproché ! Elles mettaient ces belles jupes bien courtes sans bas, me laissant dévoiler parfaitement ce quelles cachaient, ni même trop précieusement a leurs pairs. Des petites culottes de toutes les couleurs possibles, roses le plus des fois, blanches, bleues, rouges, vertes... Des culottes de coton du type grand-mère mais tout autant sexy a mes yeux; celles comme même a la mode en coton avec des petits dessins comme des papillons, des bisous, des fleurs ; des culottes de nylon toutes serrées en moulant leurs fentes, les lèvres grasses et appétissantes ; celles quasiment transparentes qui portaient les filles les plus résolue ; il y avait des strings aussi, pas si rare a voir, et qui ne cachaient carrément rien.
Des fois je voyais des petites minettes toutes chaudes, les slips bien humides, après être rentrées de la recréation. Il y avait un recoin dissimulé dans la cour ou les petits couples sy cachaient entre une classe et lautre, et les jeunes hommes glissaient leurs mains sous les jupes de leurs camarades, sur ces chattes couvertes par ces slips parfumée, un parfum mixte entre celui de la lessive, de leurs jus de jouissance et avec aussi un point dodeur durine. Ce coin se trouvait sous ma classe, et je les épiais de la fenêtre, mon pantalon qui se serrait entre mes cuisses. Jaurais voulut être a la place de ces garçon qui ne savait rien a lamour et au sexe. Ce que jaurais put les faire jouir ces petites minettes.
Ces fillettes qui abondait dans ma classe ne me dédaigner ni dun regard, par contre. Cependant jétais sûr que si elle savait ce qui se cachait sous mon boxer et mes pantalons, elle ne maurait pas regardé comme le quadragénaire professeur de littérature qui leurs emplissait la tête dimbécilités. Pourtant je nétais pas moche, et je me maintenais en forme justement pour quelles puissent me prendre en considération comme amant, en vain. Jallais pomper les muscles a la salle, je mangeais sain, je faisais attention a mon ventre, a mes rides, a mes cheveux blancs que je teintais. Jétais un bel homme de quarante ans qui avait toujours aimait les fillettes de dix-sept a vingt-ans, sans parvenir à me taper une delle après ma licence, quand jai commencé à nourrir ce fanatisme dépravé et refoulé. Et puis javais un sacré gros jouet entre les cuisses, à faire jouir nimporte quelles femmes rien quen la regardant. Jaurais voulut un jour fermer la porte de la classe a clef, ouvrir mes pantalons et leurs dévoilé mon gros piton qui ne rivalisait avec personne, et encore moins avec ces petits idiots de leurs camarades.
Elles avaient des chattes jeunes mais pourtant des chattes de putes. Ce quelles se faisaient taper ces cochonnes dans les salles de bains de lécole, par leurs camarades impotents avec des petites merguez a la place de leurs bites. On en entendait des fois des couinements depuis la porte ou leurs amies faisaient la garde, y tapant dessus quand les gémissements se faisait trop fort et que le couloir se faisait trop peuplé. Si seulement cétait ma bite qui pinait le vagin de ces putes a quatre pattes sur le water, on aurait entendu les cris de plaisirs dans tout létablissement. Quelles perverses cochonnes désireuse, je me disais en rentrant dans ma classe, regardant leurs petits visages danges quelles couvraient de maquillage pour paraitre plus grandes, et plus salopes. Si seulement elles savaient que les hommes raffolés pour leurs visage tout beau au neutre, justement parce que cétait le visage de petite fillettes de dix-sept ou vingt ans. La nuit je songeais de me les faire, chacune, une par une, une belle partouze a lheure de littérature. Qui me lèche la pine, qui me suce les couilles, qui aime se faire fouiller leur puits par mes doigts, qui gémit comme une cochonne à se faire titiller par ma langue le petit illet quétait son joli anus bien étroit. Et les tringler, a tour de rôle, leurs remplissant leurs ventres dun bonne foutre mature.
Une fois javais oublié mes lunettes de vue dans le tiroir de mon bureau. Je suis retourné à lécole pendant les cours du soir. Létablissement était presque désert, on entendait que quelques précepteurs dont des fois je faisais part, se gueuler pour enseigner les maths a quelques imbéciles. Si ce nétait pas pour voir mes belles élèves, jaurais abondé ce travail de merde depuis un bon bout de temps.
Des fesses toutes rondes, blanches et fermes dune petite rousse avec les justes rondeurs, sécrasaient contre le bois du banc du professeur, mon bureau a moi. Les cuisses écartées, que cependant elle serrait des fois et quon lui ouvrait à l instant, un jeune homme lui tripoter des doigts la minette. Il pinçait son clitoris tout rond et bien droit. Il frottait la main sur sa chatte bien chaude, déjà coulante de son liquide lubrifiant cristallin et bien gélatineux. Une touffe de poils roux, comme ses cheveux, collait à présent à sa peau par la quantité de mouille qui dégoulinait de ses lèvres quil ouvrit des doigts. Je voyais tout parfaitement depuis la fente de la porte, car la fille était tournée vers celle-ci, un pied sur le bureau, son slip blanc enroulé autour de la cheville, lautre jambe qui oscillait en bas du bureau, se raidissant à chaque fois que les doigts de son petit camarade faisaient des petits cercles sur son clitoris.
Je pouvais voir la brillance de son jus, même en labsence de lumière. Je pouvais voir la couleur rose de santé de ses parties les plus intimes, qui se faisait ravager par les mains inexpertes dun gamin de vingt ans. Et pourtant elle haletait, elle piaulait doucement pour ne pas se faire entendre, la tête qui retombait sur son dos, la langue qui presque pendait telle une chienne en chaleur, crispant une main sur le bras qui la chatouiller si coquinement et lautre main sur la jupe remontée sur ses hanches, comme si elle ressentait du vrai plaisir a ces chatouille. Pourtant, je sentis un raidissement dans mon pantalon qui commença à tirer sur mon bassin. Ma queue se faisait toujours plus grosse, les veines pompaient le sang sans cesse à ce muscle qui cherchait à se libérer de la cage que mon boxer et mon jean lui avait créé.
Je descendis le regard un instant, et une énorme bosse trôner au milieu, pulsant, désireuse de sentir la chair chaude et humide de cette rousse qui mâchait toujours de chewing-gum durant mes cours, senveloppait autour delle pendant que je lenfonçais dans cette chienne chaude qui avait besoin dun bon rodage. Oh, ce quelle aurait eu besoin de la belle bite dun homme, et non pas celle dun petit idiot comme celui qui la tripotait, comme sil tripotait la télécommande dun jeu vidéo. Un petit cri soumis attira à nouveau mon attention. Avant de ne glisser à nouveau le regard dans ma classe, jai lancé un regard au couloir, massurant quil soit vide. La bouche sèche par lenvie qui sempara de moi et de mon membre, jai regardé à lintérieur encore une fois. A présent il avait son index enfoncé dans la chatte de la rousse haletante qui le regardait, chuchotant, retenant son poignet. Non, elle lui disait, je ne prends pas la pilule, je ne peux pas sans capote. Lui, au lieu, la rassurait quil se serait retirer avant de jouir. Il lui fallut pas mal dinsistance, et lui rouler une bonne pelle en faisait un profond vas et viens avec son doigt, pas mal de fois, pour quelle se laisse faire.
Ma main frôla ma bosse, qui se faisait toujours plus grosse. Se comprimant toujours plus dans mon pantalon en écoutant les petits bruits de la chatte de la fille, de doux clapotis dune moule trop bien mouillée. Ma pine commença à me faire mal tant je bandais et se comprimait dans mon pantalon. Je ne pus que descendre la fermeture et la libérer de sa cage. La, la bite raide hors de mon pantalon, bandant comme un fou, je ne pus que retenir mon souffle gros et commencer à astiquer mon mât de la main, les regardant, mais faisant aussi attention a ce que personne ne sorte dans le couloir.
Je me mis à fantasmer, la main qui couler avant et arrière sur ma queue, en regardant le gars qui fit sortir sa bite. Même bandant, elle nétait pas plus grosse quun petit saucisson. Touche la, il lui chuchota, lui prenant la main pour la lui poser sur sa queue. Un peu réticente elle finit par la prendre et le masturber. Cétait encore une inexperte, si seulement ce fut moi, je lui aurais bien apprit comment la manier de ses petites mains soyeuses. Les filles à leurs premières armes ne devraient pas apprendre par des gamins comme celui-ci, qui allait déjà venir rien que pour quelques caresses. Il navait même pas déboutonné la chemise de la rousse pour lui voir les seins, ronds, beaux, juteux, les mamelons surement bien durs. Il était toujours plus imbécile à mes yeux. Moi je les aurais fait sortir de ses soutiens ces beaux nichons jeunes, je les lui aurais mangés carrément, nen faisant quune seule bouchée. Jaurais mordillé les mamelons, les léchant, les suçant comme un fou, les trayant comme les tétons dune vache.
Il la prit rapidement des hanches, la tournant vers lui. Elle sallongea sur le banc, fermant les yeux quand elle sentit le gland du gamin se poser a louverture de son petit fruit prohibé. Ses cuisses souvrirent grandement, et il les lui poussait des mains contre la table pour que son bel abricot tout rose ne soit pas trop serrer. Imbécile, je pensais, il aurait dut goutter a létroit antre coulant de plaisir de cette fille, au lieu douvrir plus grandement cette petite minette toute belle. Jaurais voulut me trouver dans un autre coin, pour voir comment la bite glissa a lintérieur de sa chatte. Ou nêtre simplement qua sa place, a lui. Je fermais les yeux en essayant à imaginer ce qui devait être bon de sy glisser. Jaurais surement embrassé son utérus de mon pénis, arrivant jusquau fond, chose que ce gamin qui gémit ne pouvait pas savourer. Il entama son vas et viens, la fille qui couinait, gémissait, suivant son petit quiqui du bassin ; lincitant, tout de même, à ne pas faire trop vite. Mais il ne lécoutait pas. Aller moins vite laurait fait venir plus vite, tandis quil se déchainer comme un fou, le visage vers le plafond, les yeux serrés. De sous la chemise je voyais les seins de la rousse ondulés aux coups violents, mais inutiles et ni même trop fort pour toute la peine que ce gosse se donnait. Si javais exercé cette force en insérant mon beau mât dans son ventre, je laurais surement défoncée.
Se débâtant encore, des coups de reins désordonner et sans vigueur mais qui le firent suer comme un fou, il grinça des dents en descendant les mains sur les chevilles de la fille quil serra, en plongeant plus profondément sa petite pine dans la chatte de la rousse. Ma main libre tâta les poches a la recherche dun mouchoir que je mis a lorifice du gland, ma main qui fit des vas-et-viens plus rapides, lenvie de me libérer qui me saisit soudainement en voyant la fille gesticuler et chercher a repousser le gars qui lignora totalement en déchargeant sa foutre de petit conard au plus fond de sa moniche toute liquéfiée. Non, elle gémissait, non ! Ma main allait encore plus rapidement, forçant sur mon gland jusqu'à ce que je me vide dans le mouchoir, en silence. Elle navait même pas jouie, et il ne lui importa guère. Si jétais a sa place, je naurais pas terminé de la taper que quand elle naurait crié de plaisir comme une folle en mettant en alerte tout le quartier. Et certainement elle ne se serait pas tirée ainsi, se retirant et sessuyant de la foutre qui avait coulé sur ses cuisses et sur ma table. Moi je retenais mon souffle, ramassant le mouchoir que jenfilai dans la poche. Rien que le debout de lannée, a deux mois du commencement, et déjà on se faisait une partie de jambes au lieu détudier, et non plus que dans les toilettes mais même dans les classes !
Ma queue dans les mains, jattendais quelle se dégonfle, mais elle était encore raide et prête à défoncer nimporte qui se soit présenter devant. Mon regard se faufila encore à lintérieur de la classe, pendant que je compressais à nouveaux mon membre encore en une parfaite érection dans mon pantalon trop serrer. La rousse était entrain de lui reprocher dêtre venu en elle. Lui, petit macho, en refourrant son gourdin qui prit les dimensions dun canari, comme sil était entrain de faire rentrer une énorme bite den être fier, lui répondit quelle navait quà prendre la pilule du lendemain. Les laissant dans ma classe, je menfuis, sans lunettes et sans avoir assoupit a pleins mes désirs. Jai dut me branler deux fois, déchargeant sur les photos de classes, regardant ces belles filles mise une prés de lautre pour la photo. Je me rappelais bien des regards du photographe sur les culs bien ronds de ces fillettes qui se penchait et jouaient entre elles, dévoilant sans vouloir le fond bombé de leurs culottes et strings. Il en était lui aussi attiré, tout comme moi. Encore la bite raide, jassoupi mes derniers désirs pour arrêter de bander, en me branlant encore un peu dans le lit, me repassant en boucles les images de la rencontre coquine de la petite rousse.
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