Deux Bonnes Salopes
Je métais déjà préparé : porte jarretelle rouge avec bas couleur chair, tee-shirt moulant et string. En arrivant chez Bertrand, mon maître directif et sympa, je navais quà descendre mon jean, mettre mes talons hauts, et hop, japparaissais bien offerte à son regard.
Je reçus un SMS de lui : « alors tu arrives, salope ? »
Tiens dhabitude, il ne men envoie jamais, mais bon, je réponds : « je pars »
Après 15 min de trajet, jarrive chez lui, et je sonne en bas. Bertrand mouvre et je monte : la porte est ouverte, et je pénètre dans son appartement. A peine entré, Bertrand sort de derrière la porte, me plaque contre le mur et me dit dun ton très désagréable : « enlève tes pompes et ton froc, salope ». Je mexécute, maladroitement , et je me relève donc, juste habillé de mes sous-vêtements. Il me donne une claque très forte sur mes fesses et me dit : » mets tes chaussures, et au fait, tu es bien ma salope, non ? Tu fais tout ce que je demande, cest ca ? »
Je répondis que oui, bien sûr, un peu étonné de cette question. Puis je rentre dans le salon, et surprise, tous les meubles sont sur le côté, et je remarque, de chaque coté de la pièce, les deux radiateurs . Mes chaussures enfilées, je me dandine un peu devant Bertrand .
« Mets toi à côté du radiateur, à quatre pattes". Jobéis, et je le vois mattacher au radiateur par la cuisse. Je reste ainsi, fesses cambrées, lié durement à lacier. Bertrand empoigne une petite tapette à mouche et commence à me fouetter, de manière assez brusque. Jentends la porte souvrir puis se refermer et Bertrand dire au mec qui vient dentrer : » fais vite salope « . Jentends lautre salope se dévêtir et je le voit se mettre à quatre pattes, nu à part une nuisette très courte et un string . Bertrand lattache de la même manière que moi à lautre radiateur, puis il passe derrière nous et rapproche nos deux jambes libres et les attache lune à lautre, très fermement.
- Allo ? je suis Manu, une des deux salopes
- Bonjour Manu, tu suces bien ?
- Oui, viens jadore ça .
Je lui donne ladresse, puis il me dis
- ton maître a des godes ?
- Oui, bien sur !
- Demande lui de vous en mettre un, OK ?
Je transmets sa demande à Bernard qui reviens bientôt avec deux godes de taille moyenne . Il me donne un rouge à sucer pour bien le lubrifier et en propose un autre à lautre pute, qui le gobe avidement. Puis simultanément, il nous les introduit en une seule fois . Je cris dans lappareil et mon interlocuteur, qui navait pas raccroché me demande :
- Il te la mis ?
- OUIIII ! je gémis
Il me dis quil arrive et raccroche. A peine a-t-il raccroché que le téléphone re-sonne. Bertrand redonne les instructions, tout en godant mon collègue et me délaissant. On entend la porte souvrir et un gros mec de cinquante ans se mets devant nous :
- Oh la belle salope dit-il en me relevant le menton. Puis, debout devant moi, il descend son pantalon et son slip, laissant apparaître une grosse queue molle. Comme je ne peux pas bouger, il approche sa queue de ma bouche que jouvre pour lui, comme une belle suceuse bien salope. Il commence à se branler dans ma bouche et sa queue durcit. Je ne peux absolument rien faire pour lempêcher de samuser comme il veut ; alors je me concentre sur sa bite, en serrant bien les lèvres et lui me lenfonce bien au fond pendant que Bertrand recommence à me pilonner le cul avec son cul. Un autre mec arrive, juste habillé dun short, quil descend et enfourne sa bite dans la bouche de ma salope, quil laccepte en remuant des fesses, faisant bouger les miennes en même temps . Bertrand prend ça pour un encouragement et se met à nous pilonner. Le gros me tient maintenant par les oreilles et se masturbe dans ma bouche en va et vient rapides, et je le sens qui décharge au fond de ma gorge. Il reste là, puis se retire. « Bonne pompeuse « ma récompense ! Une autre queue se présente : un grand mec me détache du radiateur, me fait me coucher sous ma salope, puis rattache mes poignets dans le dos.
Manu de Nantes
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