Série « Les Voisins » Épisode 6 : Catherine Baisée Par Son Propriétaire.
Bonjour, je mappelle Catherine, à ma majorité sexuelle, ce que je ne savais pas lorsque Gilbert mavait dépucelée, cétait que six ans plus tard, il deviendrait mon mari. J'avais craqué pour lui depuis un moment et je savais bien quà la première occasion, je lui offrirais ma virginité. Nous étions amoureux, nous faisions l'amour dès que nous le pouvions. Nous venions tous les deux dun milieu assez modeste, nous habitions le chef-lieu de canton dans la campagne, une bourgade de 1500 âmes où tout le monde se connaissait. La ville la plus proche se situait à plus de vingt kilomètres de là, à la fin des années soixante-dix, nos principales sorties étaient les bals du samedis soir, lors des fêtes foraines dans les villages voisins.
Pendant deux ans nous sommes sortis ensemble, nayant quun an de plus que moi, Gilbert nétait pas un expert, nos rapports sexuels étaient tout à fait banals. Je men étais rendu compte lété suivant, lorsque je suis partie en vacances en juillet avec mes parents, javais couché avec un homme de 25 ans qui mavait fait découvrir ce quétait un cunnilingus et une fellation. Ce fut la raison pour laquelle, à partir de ce moment, jéprouvais une grande attirance pour le sexe pour le plus grand bonheur de mon chéri. Le dernier week-end du mois daoût, cétait la fête au village, il était coutume dans la famille de Gilbert dorganisé un repas familial.
Ce fut à cette occasion que javais approché pour la première fois, René B, le maire de la commune, un petit cousin à sa mère, un riche notable qui faisait la pluie et le beau temps dans cette petite ville. Cet homme fier et hautain, divorcé deux fois, mimpressionnait. Il avait 57 ans, nétait pas très beau, trapu avec une belle bedaine, dégarni avec une grosse moustache et des sourcils noirs, épais en bataille. À cette époque, il se disait dans le village que cétait un prédateur-pervers qui abusaient de son pouvoir avec stratégie pour arriver à ses fins avec certaines femmes.
Cétait la première fois que je venais dans cette famille, mais nos parents respectifs se connaissaient bien. Au début du repas, lorsque jétais passée derrière lui pour minstaller à côté de mon petit copain, il mavait passé la main aux fesses en disant devant toute lassemblée : « Elle est belle la petite copine à Gilbert. » Tout le monde avait ri, jétais très gênée puis deux heures plus tard, lorsque javais quitté la terrasse, où nous prenions le déjeuner, pour aller aux toilettes à lintérieur de la maison, il mavait suivi. Seule dans le couloir, il me poussa contre la porte, me mit une main sur la fesse et lautre sous ma robe en plaquant son sexe contre ma cuisse. Puis il me fit une bise dans le cou avant de me dire : « Il a beaucoup de chance Gilbert. »
Javais 16 ? ans, javais peur de lui, je navais pas osé crier. Sa main toujours sur ma fesse, après mavoir léché le cou avec sa langue humide, en me soupesant les seins pour apprécier leur fermeté, René B mavait laissé partir en disant : « je taime bien Catherine, si tu as besoin de quoi que ce soit, nhésite pas à venir me voir à la mairie. » Jétais pâle, morte de honte, pourtant la situation mavait excitée, javais mouillé quand son doigt sétait glissé sous ma petite culotte et que je ressentais son gros pénis contre ma cuisse. Je ne lai jamais dit à mon petit ami, mais il marrivait souvent de le voir en rêve lorsque je me masturbais.
Je navais plus revu René, lannée suivante Gilbert avait fini son apprentissage, il était maçon et voulait se marier, je l'aimais mais je voulais profiter un peu de la vie, je voulais connaitre d'autres hommes, il navait donc fait aucune difficulté lorsque je lui avais annoncé que je le quittais. Pendant les deux années de séparation, j'avais connu une dizaine d'amants, ils étaient tous beaucoup plus âgé et plus expérimenté que Gilbert.
À commencer par Serge, le beau guitariste de lorchestre qui venait animer les bals du canton où jallais les samedis soir. La première fois, il mavait amenée dans sa camionnette et mavait baisée sur les caisses de matériel de lorchestre. La semaine, il venait me chercher devant mon lycée et m'amenait dans la salle où ils répétaient. Nous faisions l'amour sur la banquette, il aimait métendre nue pour me faire jouir sous sa langue et ses doigts, avant de me pénétrer longuement. Puis pendant mes vacances sur la côte dazur avec ma sur aînée et son compagnon, javais rencontré un chef dentreprise qui memmena dans un hôtel de luxe. Javais passé la nuit avec lui, puis toutes les suivantes de la semaine. On faisait l'amour du matin au soir, ce fut Marco qui me sodomisa pour la première fois, il fut très doux et avait réussi à me faire apprécier cette pratique.
Si ces deux hommes dâge mûr, mavaient quelque peu la main afin de coucher avec moi, ce ne fut pas le cas avec le troisième. Patrice était un très bon copain denfance de mon père, il habitait à Paris. Il était revenu dans le village quil avait fui, uniquement pour régler la succession à la mort de sa mère. Ne parlant plus à sa famille, mes parents lavaient hébergé à la maison pour quelques jours, il dormait dans la chambre laissée libre de ma sur ainée. Dès le premier soir, pendant tout le repas, alors quil parlait avec mon père de leur jeunesse, je navais cessé de le regarder, je le trouvais beau, charmant, viril, Patrice mattirait beaucoup. Cependant, lui ne me donnait pas limpression de me voir.
Javais rêvé de lui durant une bonne partie de la nuit. Le lendemain, nayant pas cours ce matin-là et désirant me retrouver seule avec lui, avant de me lever, javais attendu que mes parents se rendent à leur travail.
De me sentir aussi tactile, il fut très embarrassé. Afin de me fuir, il finit rapidement son bol de café et me demanda sil pouvait utiliser la salle de bain avant moi. Sachant quil ny avait pas de verrou, javais attendu quelques minutes avant daller le rejoindre. Jentrouvris la porte et le vit nu sous la douche, il était encore plus beau que je lavais imaginé, son corps musclé et bronzé était splendide et son sexe me paraissait beaucoup plus gros que ceux que javais déjà connu. Lorsquil avait fini de se rincer, avant quil sessuie, je pénétrai brusquement sous la douche, je lavais pris par le cou pour lembrasser.
Il essaya de me dire quil ne fallait pas, que ce nétait pas convenable de trahir son ami en flirtant avec sa fille mais lorsque ma langue força sa bouche et que ma main empoigna son pénis, il laissa ses scrupules de côté. Il retira mon teeshirt et ma culotte, me caressa les seins puis saccroupit devant moi et me fit jouir avec sa langue et ses doigts. Je lavais sucé à mon tour avant quil me prenne debout par derrière contre le mur carrelé de la salle de bain. Les deux nuits quil passa à la maison, je les avais passé dans son lit, il mavait baisée de partout et dans de nombreuses positions. Il mavait fait jouir comme jamais un homme ne lavait fait avant lui. Javais adoré son gros sexe qui me remplissait la bouche et mon vagin et je fus très triste de le voir partir trois plus tard en espérant le revoir un jour.
Pendant ces deux années, lorsque je sortais avec mes copines, je rencontrais souvent Gilbert, nous avions encore des sentiments lun pour lautre et tout naturellement nous nous étions remis ensemble.
Au moment de la jarretelle de la mariée, imbu de sa personne et aimant étaler le pouvoir de son argent, René B sétait fait une grande joie de surenchérir sur un ancien, un oncle de mon mari et avait gagné à coup de billets, le droit daller la chercher sous ma robe de mariée. Lorsquil se mit à genoux devant moi, ses mains sont arrivées au niveau de mes bas, une de celle-ci avait continué bien plus haut et était passée sous ma petite culotte pour venir caresser mon sexe, devant tous les invités. Une fois encore, malgré ma honte, la situation mavait excitée, jétais toute rouge, je ne pouvais rien dire, mais je mouillais, il me sourit car il sen était aperçu.
Nayant pas suffisamment dargent pour nous installer dans notre appartement, nous habitions chez les parents de Gilbert. Cependant, la situation nétait guère propice à des jeunes mariés et nous recherchions un logement mais dans cette commune, il ny en avait pas ou était trop cher. Une fois encore, René B était venu à notre secours en nous proposant celui laissé libre, dans son immeuble au centre du village en face de la mairie. Nous habitions lappartement se situant au rez-de-chaussée juste en face du sien. Avec lachats de nos meubles, les fins de mois étaient très difficiles, heureusement, Gilbert gagnait mieux sa vie, il avait trouvé un travail en déplacement, dans une entreprise douvrages dart qui construisait des ponts mais ne rentrait pas de la semaine, quelques fois toutes les deux semaines.
Pendant les trois premiers mois, René B sarrangeait toujours pour venir chercher son loyer lorsque jétais seule et à chaque fois, avant de partir, il me coinçait contre la porte dentrée et me pelotait les seins et me caressait le sexe. Jessayais bien de le repousser un peu car javais très peur de lui mais cela ne mempêchait pas de mexciter et il le devinait. À partir du quatrième mois, lorsque ma voiture tomba en panne, nous navions pas assez dargent pour en acheter une autre et cela mhandicapait pour aller travailler. Gilbert était allé chez René afin de lui demander de nous aider une nouvelle fois. Ce quil fit volontiers en nous proposant davancer le prix de notre nouveau véhicule doccasion sans aucun intérêt.
Le lundi, mon jour de repos, alors que mon mari était déjà parti en déplacement, Mr B était venu chez moi et mavait amené chez le garagiste quil connaissait bien et avait obtenu un bon tarif pour ma nouvelle voiture, il avait même mis de sa poche un peu plus. Jétais super contente, il ne sétait pas moqué de moi. Pour ce prix, je navais pas pensé avoir une si belle voiture. Lorsque nous sommes revenus, chacun dans notre véhicule, dans le couloir, je lui avais fait la bise pour le remercier : « Merci Mr B, vous êtes vraiment gentil avec nous. »
Jouvrais ma porte dentrée en même temps que lui, mais au lieu de pénétrer dans son appartement, il fit demi-tour et entra avec moi. Je fus dans lobligation de lui proposer un café, mais lorsquil me plaqua contre le mur de mon couloir, javais tout de suite compris quil voulait de nouveau me peloter. Mattirant contre lui, ses deux mains posées sur mon derrière, je ressentais la bosse proéminente qui grossissait sous son pantalon, je me laissais faire, jétais encore excitée comme à chaque fois. Il glissa une main sous ma jupe, glissa ses doigts sous ma petite culotte, je ne disais toujours rien, pensant quil allait arrêter comme les fois dernières. Lorsquun de ses doigts sétait insinué sur ma vulve, il sut que je mouillais.
Néanmoins, je mapercevais que cette fois, il en voulait plus quand il avait essayé de m'embrasser. Javais tourné la tête, sa bouche sétait plaquée sur mon cou et une de ses mains commençait à me caresser la poitrine sur mon teeshirt. J'étais restée figée, ne sachant ce que je ressentais, du dégoût sans doute mais une certaine excitation menvahissait, lorsque de sa main sous ma jupe, il retira ma petite culotte, je nai pu larrêter, je lavais même un peu aidé à le faire : « Je maperçois que cela vous plait, vous nêtes pas insensible à mes caresses Mme D. » Me dit-il en me fixant droit dans les yeux, je baissai immédiatement les miens, je nosais plus le regarder.
Connaissant parfaitement la maison, il me prit la main et mentraina dans la chambre du fond de notre appartement qui servait pour nous, de bureau. À ce moment-là, je savais au fond de moi que je ne pouvais plus lui échapper. Debout devant lui, jétais toujours immobile, il me déshabilla tout en me déposant des bises un peu partout sattardant sur mes mamelons qui sérigeaient entre ses lèvres. Une fois nue, il mallongea sur la moquette et mécarta les jambes avant de plonger sa tête sur mon sexe. J'avais les idées embrouillées, je ne savais pas pourquoi je laissais ce vieux porc me faire un cunnilingus, javais honte de moi car jappréciais, je mouillais beaucoup.
Tellement la situation était cocasse, javais même atteint lorgasme sous sa langue et ses doigts. Il se releva et baissa tour à tour son pantalon et son slip, sa verge était belle, dure et bien droite pour un homme de plus de 60 ans. À genoux devant moi, me présentant son pénis en érection devant ma bouche, il ne prit pas la peine de me demander de le sucer. Mes idées défilaient dans ma tête, je me rendais compte que jétais entièrement à sa merci et cela me plaisait de me sentir dégradée et humiliée par cet homme que tout en lui me révulsait mais il mavait fait énormément mouiller et jouir. Je mettais donc placée sous son ventre et lui fis une fellation.
Cela lui plut beaucoup, lorsquil sentit quil nallait plus tenir très longtemps, il me demanda de mallonger en écartant les cuisses et quand sa belle queue bien épaisse me pénétra et me remplit parfaitement le vagin, jeus un second orgasme quelques secondes plus tard. Il était très fier de lui, me disant : « vous aimez vous faire baiser Mme D. » Alors quil continuait à aller et venir en moi, je lui répondis : « Oh ! Oui Monsieur B. » il accéléra les mouvements et après sêtre retiré, il éjacula une bonne quantité de sperme sur mon pubis en me disant : « Je vous fais cadeau du premier versement Mme S, vous lavez bien mérité. »
Il connaissait mon emploi du temps et surveillait le départ de mon chéri car le lundi du mois daprès, il frappa à ma porte, jétais encore en petite tenue, il était tôt, lorsque je lui avais ouvert. Je le fis entrer afin de lui donner le chèque du remboursement de notre crédit quil glissa dans sa poche avant de dire : « Cette fois on va dans la chambre. » Sans discuter ses ordres, je lavais suivi, je savais qu'il allait à nouveau me baiser, il mavait fait mallonger sur le lit conjugal encore défait, sétait déshabillé et me dit : « Sucez-moi, madame S. » Encore aujourdhui, je ne sais pourquoi, javais obéi. Après lui avoir fait une fellation, il me fit me dévêtir devant lui, avant de me lécher du clito à l'anus, javais une nouvelle fois fortement joui et quand il mavait pénétrée, cette fois j'avais tendu ma bouche afin quil membrasse.
Comme la première fois, javais obtenu deux autres orgasmes avant quil menvoie son sperme entre les seins. Puis après sêtre rhabillé, je lavais raccompagné jusque dans le couloir et avant de rentrer chez lui, il se retourna et me tendit une enveloppe en me disant : « Continuez Madame S, c'est très bien. » Une fois seule dans mon appartement, jouvris l'enveloppe. À ma grande surprise, je maperçus quil y avait en liquide la somme exacte du chèque que je venais de lui faire. Deux semaines plus tard, toujours le lundi matin, il mavait téléphoné afin que je le rejoigne chez-lui pour lui apporter le chèque du loyer.
Sur le coup, je nétais pas très contente, je devinais quil désirait encore me baiser, je râlais après moi, je regrettais davoir commencé : « Il se prend pour qui ce vieux connard. » Pensais-je dans ma tête. Cependant, quelques minutes plus tard, jétais chez lui pour lui payer le loyer et il profita de mon corps avant de me rendre le montant du loyer en espèce. Le rythme était pris, je navais que le couloir à traverser, une fois toutes les deux semaines, jallais le retrouver, je lui donnais son chèque et ma chatte et après mavoir bien fait jouir, René B me donnait en liquide, le montant du remboursement de la voiture ou de notre loyer. Le vieux salop, faisait de moi sa pute et me le disait, cela mhumiliait mais je ne refusais pas.
Plus le temps passait, plus il minsultait en me prenant avec force, mais ça m'excitait au plus haut point. Ce fut même moi qui lui avais suggéré après plusieurs mois, quil pouvait me sodomiser, ce qu'il avait fait aussitôt. Je désirais m'enfoncer dans cette dégradation et pour mes 22 ans, il avait versé du champagne sur mon corps puis lavait léché. Même un peu ivre, il avait réussi à me baiser et me sodomiser, javais énormément joui. Lorsque mon crédit fut remboursé, je lavais quitté ce jour-là en lui disant : « À dans quinze jours Monsieur B ». Il avait compris que jy avais pris gout et nous avons continué au même rythme, jusquà notre déménagement. Ce qui mavait permis de mettre pas mal dargent de côté.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Catherine, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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