Deux Chasseurs En Forêt.
Après ma mésaventure avec le conducteur du RER, je suis finalement arrivé à St Remy-les-Chevreuse. Je suis allé me balader dans la forêt, comme prévu. Mais javais du mal à apprécier la nature qui soffrait à moi. Je marchais comme un automate, lesprit totalement occupé par les images de la scène surréaliste dont javais été acteur malgré moi. Je revivais ma sodomie, mais comme spectateur : je voyais la conducteur agrippé à mon échine, sodomisant sans ménagement ce jeune garçon, dont les petites fesses lui enserraient le sexe
Ces petites fesses, qui sont les miennes. Alors que je marche, perdu dans mes pensées, je sens mes fesses glisser lune contre lautre. Lubrifiées par la semence du conducteur, elles semblent se caresser lune lautre. Est-ce cela, la remémoration de la scène, ou le soleil printanier qui me caresse la peau et me chauffe les sangs ? Toujours est-il que je suis dans un état second, excité à nouveau, comme en témoigne, ma queue à létroit dans mon short, qui frotte douloureusement sur mon caleçon à chaque pas.
Je sens bien que cela ne peut pas durer. Je me glisse à lécart du sentier, dans une petite clairière tapissée dherbes folles. Là je vais pouvoir messuyer les fesses en toute tranquillité : ce sera mieux pour mon hygiène, et jespère bien que cela va relaxer aussi mon excitation dadolescent. Je descends donc mon short. Comme dans la cabine tout-à-lheure, jéprouve un soulagement en sentant ma queue se libérer, et profiter de la brise douce et chaude. Sans savoir pourquoi, avant de messuyer, je passe mes mains sur mes petites fesses, si douces
Comme pour me rappeler les sensations du RER, une dernière fois avant de les effacer. Je passe un doigt sur mon petit trou lubrifié : la sensation est divine. Mon petit illet souvre et offre un passage à mon doigt qui senhardit. Mon autre main se pose sur mon sexe que je commence à caresser. Plonger dans une douce et tiède torpeur
« Pan !! »
Un coup de feu me tire brutalement de mes songes érotiques.
Jai à peine le temps de remonter mon short maladroitement. Deux chasseurs surgissent des bosquets.
-Rita, Olga, au pied.
Les chiens obéissent sans broncher à la voix autoritaire du chasseur le plus âgé, bedonnant, la cinquantaine bien tassée.
-Ouh la la, cest dangereux petit gars de te promener comme cela un jour de chasse. Tu as de la chance, quon ne tire jamais un coup, sans être sûr de ce quon a au bout du fusil.
Lacolyte glousse, comme si lautre avait sorti une vanne du plus haut esprit !
-Tas raison, Pierrot, heureusement quon sait observer avant de tirer!
Oups, jespère quils ne mont pas vu tout-de-même !
-Et là, il sagit dun drôle doiseau, nest-ce pas Marcel ?
Le plus vieux me parlait en me fixant du regard. Je sentais le rouge monter à mes joues. Mon sexe ne débandait pas. Est-ce parce quil avait remarqué la bosse qui déformait mon short quil affichait ce sourire énigmatique ? Ou regardait-il son acolyte, qui mavait contourné pour aller faire je ne sais quoi dans mon dos
Je neus pas le temps de me le demander longtemps. Brusquement, deux bras menserrèrent et le dénommé Marcel, me maintint serré contre lui. Une de ses mains se posa sur la bosse de mon short.
- Il ma lair davoir une sacrée queue cet oiseau-là ! Bien dure en tout cas !
Jétais rouge de honte.
- Alors gamin, cest le printemps qui texcite comme cela ?
Je sentis mon short tiré brutalement vers le bas. Ma queue, à nouveau libérée, en jaillit. Je tentais de me débattre pour échapper à son étreinte, mais je ne fis quagiter mes fesses contre son bas ventre, quil maintenait toujours serré contre moi.
-Ouh la la, mais il est sauvage ma parole, regarde comme il se débat. En tout cas, il a des petites fesses bien dures mais bien douces, dit-il en me caressant les fesses dune main.
Sa main remonta sous mon t-shirt, sattardant sur un de mes têtons, qui répondit en durcissant lui aussi. Il le pinça légèrement, puis descendit sa main sur mon ventre, puis sur mon sexe quil enserra, pendant que je continuais de me contorsionner pour lui échapper.
-Regarde comme il sagite ! Il est tout dur des fesses et du zob !
-Tas raison Marcel, tu devrais peut-être lui glisser un petit doigt entre les fesses, cela avait lair de le calmer tout-à-l heure.
Aie, ils mavaient donc vu !
Marcel tout en empoignant fermement ma queue, poussa son majeur dans ma raie du cul. Jeus beau continuer de me débattre, le combat fut vain : je sentis son doigt glisser dans mon anus lubrifié
Incroyable ! Javais beau serré les fesses de toutes mes forces, son doigt senfonça comme dans du beurre, complètement, jusquà ce que sa main et ses quatre autre doigts percutent mes fesses, et les empoignent. Jétais maintenant de profil entre ses bras, et il me maintenait solidement la queue, dune main, les fesses de lautre. Jai voulu continuer de me débattre, magitant comme un vers, mais à chacune de mes contorsions, son doigt coulissait dans mon conduit lubrifier, marrachant des soupirs de plaisir que je ne parvenais pas à réprimer. Jai donc préféré cesser de me débattre, avant quils ne sen aperçoivent.
-Ah oui, tavais raison, cela a lair de le calmer, le petit vicieux !
-Ou cest toi qui sait y faire, on dirait que tas réussi à le dompter.
-Oui, regarde, maintenant il mobéit au doigt et à lil. En tout cas au doigt ! clama-t-il en retirant presque entièrement son doigt, avant de le renfoncer sans vergogne.
Le petit cri que je laissai échapper les fit rire.
Il recommença la manuvre, en accélérant progressivement le rythme.
-Ouh là là, mais il faut que jarrête, sinon elle va me juter dans les mains cette petite cochonne !
Cétait humiliant, mais il navait pas complètement tort. En fait jaurais joui depuis longtemps, si je ne métais pas déjà vidé, il y a moins dune heure. Du coup, même si mon gland turgescent, tenu par cette main vigoureuse, me procurait des sensations déjà insoutenables, mon sexe ne semblait pas prêt à éjaculer. Je devais donc endurer ce plaisir trop insupportable pour durer, mais qui ne semblait pourtant pas devoir sarrêter.
-AAh, arrêtez je vous en prie. Quest-ce que voulez à la fin ?
- Attends mon petit, je crois que je sais ce que je veux, et tu vas voir, cela va te plaire à toi aussi.
Il ôta son doigt de mes fesses, et de sa main tenant fermement ma queue, il me guida vers un banc en bois. Là, de sa main libre, il magrippa la jambe droite, la souleva, et me fit poser le pied sur le banc. Il me plaqua à nouveau à lui. Il baissa son pantalon, et môta mon t shirt. Il passa alors son bras droit sous ma jambe, pour se saisir à nouveau de ma queue. Ainsi, ma pastille lui était offerte.
-Allez penche-toi en avant, je vais te donner ce que tu veux.
-Noon
Je protestais faiblement, ma tête voulait refuser, mais mes fesses souvraient malgré moi. De toute façon, son bras gauche mappuya puissamment sur le dos, mobligeant à me pencher en avant. Marcel plaça alors son gland sur mon anus, et tirant violemment de sa main qui tenait ma queue, il me fora jusquà la garde.
-AAAAh !
Je criais plus de surprise que de douleur, car sa queue avait glissé en moi comme dans du beurre.
Et Dieu que cétait bon.
Il entreprit alors de me pilonner violemment. Je me redressai alors, et il en profita pour plaquer sa main gauche sur mon têton durci. Ainsi redressé, je pouvais serrer mes petites fesses autour de cette barre de plaisir. Je lenserrerais aussi fort que je pouvais, mais sa queue continuait à coulisser sans relâche dans mon petit cul tout dur, tout étroit, mais parfaitement lubrifié.
Jessayais de me taire, mais les sensations de cette barre me caressant le conduit annal dans des allers retours incessants me procuraient un plaisir incroyable, et chaque enculade ponctuée, dune percussion sonore sur mon petit cul, marrachait des cris de plaisirs que jessayais de contenir, en feignant de protester.
-Noon, (aah) je vous en prie,(aah) arrêtez !, (aah) sil vous plait !
Les coups de butoir ponctuaient mon discours de manière grotesque. Bien agrippé à ma queue, par-dessous ma jambe, Marcel donnait de tels coups de reins, que je décollais maintenant du sol à chacun de ses assauts.
-Oh, mon Marcel, ce que tu lui mets! On peut dire que tu lenvoies en lair, le petit !
-Ouais, cest vrai, regarde-moi cela, répondit Marcel, qui me donna un coup de bite dans le cul, comme un coup de pied dans un ballon de dégagement, me projetant encore plus haut.
Ses coups de reins étaient de plus en plus puissants, et semblaient impulser, à mon corps bringuebalé tel un pantin désarticulé, des décharges de plaisir de plus en plus violentes.
- AAAh, arrêtez, noonn, aaah
-Ah mon Marcel, tes un vrai chef dorchestre, écoute comme tu le fais chanter avec ta baguette magique ! Rien que de lentendre couiner, cela me fait bander, regarde !
Pierrot sassit à califourchon sur le banc, en face de moi. Il ouvrit le devant de son pantalon et ce qui en surgit me sidéra : une barre de chair velue, de la grosseur du tube cartonné dun rouleau de sopalin, surmontée par un gland violacé énorme. Pierrot, sempressa dempoigner son chibre de sa grosse main velue, pour le branler, en me dévorant de ses yeux concupiscents.
La vue de ce sexe monstrueux, à quelques centimètres de moi, acheva de me chavirer les sens. Savoir que ce gourdin était gonflé par le désir quinspirait mon corps me mettait dans un état indescriptible. Jen étais fier, et je mabandonnais maintenant sans retenue, au plaisir dêtre ramoné sans ménagement, heureux et satisfait, de prodiguer plaisir et désir.
-Oh la, Pierrot, mais elle est encore plus grosse que dhabitude ! Cest le gamin qui texcite comme cela, je croyais que taimais que les femmes !
-Ca je suis pas un PD, mais je dois reconnaitre que jai jamais vu un spectacle aussi bandant. Jai la bite tellement gonflée, que jai limpression quelle va craquer.
-Dommage pour toi quelle soit trop grosse pour son petit cul. Cest un délice. On dirait quil a été fait pour recevoir des bites
Ouh, il va me faire venir le salop
Je sentis alors Marcel me lâcher pour mieux me prendre à bras le corps. Et dans un ultime assaut, il me pénétra jusquà la garde, en me plaquant les fesses contre son pubis. Ses bras puissants menserrèrent, me comprimant douloureusement le thorax. Je répondis pourtant à son étreinte en me raidissant moi aussi. Cétait comme si je transmettais à lunisson la puissance de ses bras aux mâchoires de mes fesses, qui comprimaient sa queue telles un étau. Je serrais tellement les fesses, que je pus sentir sa queue gonfler au rythme de.son pouls puissant
pour enfin exploser, me remplissant dun jet tiède.
-AAAAAh, oh, je viens, putain, je suis en train e lui jouir dans le cul, cest trop bon !. Ce petit salop, il serre les fesses, on dirait quil veut me traire la bite.
-Ouiiiiih !
Je criais moi aussi ma jouissance, de sentir cet homme, derrière, se déverser en moi, de voir lautre, devant, qui sastiquait maintenant comme un sauvage en fixant sur mon corps un regard halluciné. La main de Marcel se crispa sur ma queue, cétait insoutenablement bon. Jeus limpression de jouir, à lunisson de Marcel, de tout mon corps
Et pourtant rien ne semblait devoir sortir de mon sexe. Jétais en train de vivre mon premier coït sans éjaculer. Je naurais jamais cru quune telle vague de plaisir pouvait déferler sans laisser jaillir décume.
-Mmmmm, ouiiii !
Mon plaisir satténua enfin, en même tant que Marcel déchargea ses dernières gouttes en moi. Exténués par le plaisir, il desserra enfin son étreinte, et retira doucement son sexe de mes fesses. Mes muscles se relâchèrent, jétais exténué, apaisé. Mais Pierrot coupa court à mon apaisement naissant.
-Super, à moi de profiter de ce petit cul, dit-il en se renversant en arrière, pour se coucher sur le banc, la queue dressée entre les mains. Pose-le-moi sur la bite, je suis sûr quil nen a jamais connu de pareille !
Tout en magrippant, Marcel eut un éclair de lucidité.
-Non, tu es fou, tu vas léclater avec ton zob de taureau !
-Mais non, tu lui a bien élargi la rondelle, je suis sûr que cela va passer !
-Je vous supplie, ne faites pas cela ! Pitié !
Jessayais de me débattre, mais Marcel me maintenait fermement.
-Bon, jai une idée, dit Pierrot. Je ne veux pas te traumatiser tout-de-même. Tu vas te mettre sur moi, et cest toi qui tenfiler ma queue dans le derrière, à ton rythme. Mais je te préviens, si trouve que tu tardes trop, je te transperce !
-Ah, je suis curieux de voir cela, dit Marcel, en me soulevant comme une plume, pour me placer debout au-dessus de Pierrot, les pieds de part et dautre du banc.
Pierrot, tenant toujours sa bite dune main, me regardait droit dans les yeux.
-Allez, viens tassoir dessus !
-Non, sil vous plait, elle ne passera jamais !
-Oh si tu vas voir, je te promets que tu vas la sentir passer, mais cest à toi de décider comment !
Son regard décidé ne me laissait aucun espoir. Je devais me résigner à subir le supplice du pale. Jai donc commencé à fléchir les jambes. Le gland gluant de Pierrot me toucha aussitôt les fesses. Sa queue était si grande, quil atteignait mon cul alors que jétais encore pratiquement debout. Je pris mon courage et mes fesses à deux mains, et jai écarté mes deux petits globes fessiers, pour présenter au gland mon trou qui avait déjà tant subi. Le gland se plaça naturellement à lentrée de lorifice, stoppant du même coup le liquide qui commençait à en couler. Le contact ainsi établi, je fléchis encore légèrement les jambes, mavançant légèrement, en entrainant le gland collé à mon anus, pour massoir à califourchon sur le ventre rebondi de Pierrot. Je fus ravi de cette position : elle avait lavantage dêtre confortable. Ainsi assis, je pouvais relâcher mes muscles, en me couchant sur ce matelas velu mais douillet. Jai posé mes mains de part et dautre de la tête de Pierrot, et jai concentré tout mon être sur ce challenge insensé. Je sentis mon regard, fixé sur les yeux de Pierrot visiblement satisfait, se vider pour se concentrer uniquement sur lobjectif. Je tendais mon anus de toutes mes forces, tout en relâchant toutes les autres parties du corps. Mon torse imberbe sest naturellement déposé sur le tapis velu. Le ventre, mou, de Pierrot me donnait limpression dun water bed. Tout en me soutenant, il se dérobait sous moi, et je me sentis glisser doucement vers larrière. Je contenais ma chute en me retenant avec mes jambes. Ma chute sembla sarrêter un instant, durant lequel je fus littéralement assis sur la bite dressée de Pierrot. Reposant sur son gland, chaud, gluant et élastique. A ma grande surprise cette position restait assez confortable
Jentrepris de relâcher progressivement les muscles de mes jambes, pour que mon poids repose pratiquement entièrement sur ce champignon géant qui me servait dassise. Et limpensable se produisit. Je sentis sous moi ma corolle souvrir, doucement, mais inexorablement. Mon trou et le gland sur lequel il reposait étaient tellement lubrifiés, quils ne pouvaient que glisser lun contre lautre,
lun dans lautre
Le champignon monstrueux glissait doucement en moi, me remplissant complètement, mais pratiquement sans douleur. Je sentais juste ma peau sétirer au maximum, je soulageais un peu de mon poids avec mes jambes, lorsque je sentais poindre la douleur. Puis je continuais à me laisser empaler avec volupté sur ce pieu de chair. Incroyable, il était bien en train de rentrer en moi. Je rouvris les yeux, et vis le visage satisfait de Pierrot, qui me regardait le regard vide, semblant savourer chaque instant de la descente de mon corps sur son sexe bandé.
La voix de Marcel, marracha un instant à ma torpeur. Il sétait rapproché derrière moi pour ne pas perdre une miette du spectacle.
-Ouah, cest dingue, elle rentre, elle rentre ! Cela paraissait impossible, mais elle rentre je te dis !
- Tu crois que je le sens pas ? Jai la bite compressée comme un césar !
-Mais cest fou, ta bite entre ses deux petites fesses, cest pas possible que cela rentre, cest comme si on voulait faire un sandwich en mettant un rôti entier entre deux tartines de burger !
-Cest vrai que je pensais pas que cela pouvait tenir, mais à son âge, cela a la peau élastique. Et puis il a le cul tellement lubrifié le petit, que ça glisse tout seul.
Moi, je le regardais en souriant. Jétais content et fier. Parce que javais limpression daccomplir un exploit dont je ne me croyais pas capable. Et puis, je voyais au visage de Pierrot que je lui donnais du plaisir, beaucoup de plaisir. Et en fin, non seulement, je navais pas mal, mais ce gros champignon visqueux, en glissant en moi, semblait pousser devant lui le curseur de mon plaisir
et il montait, il montait
Je commençais à croire que cela ne finirait jamais, lorsquenfin je sentis mes fesses se poser sur les cuisses puissantes du chasseur. Je pouvais enfin me laisser complètement aller, relâché au maximum, assis à califourchon sur cette bite qui moccupait la moitié du ventre.
Pierrot, aux anges, flatta mes douces petites fesses qui lui enserraient la queue, comme pour les féliciter,... comme on aime flatter un cheval qui a bien couru. Mon corps répondit spontanément à cette douce marque de reconnaissance en tanguant légèrement, davant en arrière, doucement. Je pouvais ainsi me caresser les fesses, et les boules, en les frottant délicatement sur le corps velu du chasseur. Et cela faisait également coulisser légèrement le champignon dans mon conduit. Cétait divinement bon, le plaisir davoir le cul ainsi caressé de lintérieur faisait gonfler ma queue. Visiblement, Pierrot appréciait aussi.
-Hmmm, oui, vas-y, branle-toi le cul sur ma bite. Profite-s-en, je suis pas prêt de débander !
Il vint poser ses deux grosses mains sur mes seins, paumes en avant. Si bien que maintenant, mon balancement lascif me caressait en plus les têtons. Cétait vraiment bon. Je profitais un long moment de ces douces caresses, sur mes fesses, mes couilles, mes seins, et surtout au plus profond de moi. Je ne pus réprimer des gémissements de femelle qui montaient en moi.
- Hmmm, hmmmm
- Oui vas-y, profite ! Ah Marcel, un petit cul comme cela qui tenserre la bite, cest vraiment que du bonheur.
Cette posture mexcitait de plus en plus. La grosse queue de Pierrot coulissait en moi de plus en plus facilement. Je pouvais maintenant me lever légèrement, avant de me laisser retomber sur le ventre rebondi du chasseur. Et plus je donnais de lamplitude à mes mouvements, plus cette caresse intérieure se prolongeait pour me donner encore plus de plaisir. Jaugmentais ainsi progressivement le rythme et lamplitude, comme une locomotive à vapeur qui sébranle pour se lancer à pleine vitesse. Les coups de pistons que je massénais moi-même me faisaient maintenant siffler de plaisir.
-Ouii, ouiii, ouiii,
Pierrot me regardait, les yeux écarquillés de plaisir, comme sil nen revenait toujours pas dêtre à pareille fête. Pour mencourager, ou par réflexe incontrôlé, son ventre se contractait dès que mes fesses le touchait, et il ajoutait un petit coup de rein qui me donnait à la fois une petite fessée qi me ravissait, et une impulsion supplémentaire, qui me faisait maintenant littéralement décoller. Je sentais maintenant son gland sarracher de mes fesses, me laissant ainsi suspendu en lair un bref instant, avec la peur du vide, et lappréhension de ne pas retomber au bon endroit. Mais, je ne sais par quel miracle, tel un bilboquet qui réussit à tout coup, je retombais toujours précisément sur le bout de son chibre, qui me pénétrait avec de plus en plus de facilité. Ce braquemart monstrueux administrait maintenant à mon petit cul une séquence de plaisirs intenses : le glissement dans mon conduit de cette queue qui sen retire, le passage du gland séchappant de mon anneau, linstant de vertige en apesanteur, et la chute de plus en plus lourde, mon anneau à nouveau transpercé, mon conduit pénétré, et cette plénitude scandée par le claquement de son ventre sur mes fesses.
Que cétait bon ! Trop bon ! Combien de temps pourrais-je tenir ?
Le plaisir dépassa la limite du supportable lorsque Pierrot sempara de ma queue et se mit à la branler dune main puissante, au rythme de ma danse endiablée. Et comme sil excitait plus encore un cheval qui semballe, il se mit à me fesser de sa main libre. Son visage apoplexique, la violence de ses claques, la force avec laquelle il me compressait la verge, tout indiquait que pour lui aussi, le plaisir devenait insupportable. Même sil sy efforçait le voulait, il ne pourrait plus retarder très longtemps la montée de la jouissance. Et tout cela maffolait plus encore. Je sautais maintenant sur ma monture, comme un damné. Javais perdu tout contrôle, mon corps frêle, complètement désarticulé, était secoué comme un cowboy dans un rodéo. Jaurais été désarçonné depuis longtemps, si cette main menserrant la queue, ne me maintenait en selle, ou devrais-je-dire en bite. Car cela, je ne pouvais pas loublié : ce colosse de chair qui me possédait, encore et encore, à chacune de mes chutes. Je moffrais à un dieu, dont le sceptre me soumettait au plus profond de moi. Comme dans un sacrifice voluptueux, mes petites fesses sactivaient, sécartaient, se serraient, pour obtenir du dieu, bienveillance et abondance.
Et soudain, au moment où je retombais une énième fois sur le ventre rebondi de Pierrot, le temps sarrêta dans la douleur et le soulagement. La main du dieu me comprima la queue avec une force inouïe, stoppant nette la course du temps et ma danse grotesque. Mon corps se figea, et mes fesses, tétanisées par le plaisir, se refermaient avec une telle puissance, quelles parvenaient à compresser ce sceptre de chair. Je crus un court instant avoir triomphé du dieu qui masservissait, quand limpression sinversa. Cétait maintenant mes fesses tétanisées qui sécartaient sous la contrainte de la colonne de chair qui senfla inexorablement, pour finalement exploser en moi. Le dieu triomphait de mon corps, lemplissant de son flot de jouissance. Comme en signe dallégeance, mon corps qui ne me répondait plus offrit à son dieu un cri de plaisir et un jet de jouissance.
-Ah, le salop, il ma juté sur la gueule ! En même temps, avec ce que je lui ai mis dans le cul, il va repartir plus lourd quil nest arrivé !
-Ah, cest sûr, tu las bien rempli, mon Pierrot, il va plus pouvoir sassoir pendant une semaine le petit !
Jaurais aimé un peu plus de poésie. Mais Marcel navait pas complètement tort. Je suis en rentré en RER debout, en serrant les fesses, comme pour garder en moi, le souvenir de cette expérience incroyable
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