Dans La Chaleur De L'Été (11)
Le grand weekend du 15 aout arriva. Javais 5 jours devant moi, et en profitais donc pour aller rejoindre Émilie. Je ne lui avais rien dit. Lui laissant la surprise de me voir arriver pour passer quelques jours avec elle.
Sa grand-mère habitait un petit village, et en plus du train, il me fallut prendre un bus, et marcher le long dune route communale avant de voir se profiler sa maison.
Cétait une maison simple. Un étage. Murs blancs, volets en bois dont la peinture bleue sécaillait. Il y avait un grand portail en fer forgé. Je sonnais à la cloche en bronze et vit apparaitre la grand-mère dÉmilie. Une petite femme aux cheveux blancs coiffés en chignon. Elle boitait légèrement. Elle savança vers le portail et sourit en me voyant. Je lavais appelé pour la prévenir de mon arrivée, en lui demandant de nen rien dire à Émilie.
Elle ouvrit le portail, membrassa et me conduisit à larrière de la maison où elle sétait installée pour équeuter des haricots verts. Il y avait un poulailler, un petit jardin potager. Sur un banc dormait un gros chat. Elle minvita à massoir et me dit quÉmilie était allée à la rivière pour nager. Je pris une poignée de haricot et laidais. Elle fut surprise de mon savoir-faire. Je lui dis que javais fait ça toute ma jeunesse avec ma grand-mère. Elle rigola.
Émilie nous trouva tous les deux assis dans le jardin discutant comme deux vieux amis. Elle fut surprise de me voir et se jeta dans mes bras. Elle membrassa à pleine bouche. Ses cheveux étaient mouillés, tout comme son maillot de bain qui dégoulinait sur moi. Elle gardait lodeur de la rivière, mélange de vase et dodeur de sous-bois. Je ne sut pas si les gouttes qui coulaient sur ses joues étaient des larmes ou leau de la rivière sécoulant des sa chevelure trempée.
Sa grand-mère nous regardait avec un petit sourire en coin, visiblement heureuse que sa petite fille retrouve son copain.
Émilie monta dans la chambre, jeta mon sac sur le lit, et se jeta de nouveau sur moi après avoir ôté son maillot de bain.
Tu mas manqué, me dit-elle en membrassant, jai été obligée de me branler pour supporter ton absence. Jai même été à deux doigts daller draguer en boite, et me faire prendre par un petit jeune sur le parking.
Je lui dis que javais été moins fort quelle et lui racontait ma nuit avec Alexandre.
Tu nes quun petit pédé obsédé, dit-elle en riant et en faisant glisser mon pantalon le long de mes jambes. Baise-moi, je suis en manque.
Elle sempala sur moi, et sans se soucier de sa grand-mère juste en bas, elle me baisa comme une folle.
Nous étions allongés côte à côte sur le lit après avoir pris une douche, encore humide le vent daout qui rentrait par la fenêtre nous faisait frissonner. Émilie me dit que sa grand-mère était au courant de presque toute sa vie sexuelle.
Enfin presque tout, elle sait que jaime les filles et les garçons, que jai vécu avec toi et Nina. Bon je ne rentre pas dans tous les détails, mais elle me dit quil faut que je prenne du bon temps, et que cest quand on est jeune quil faut en profiter.
Nous dinâmes tous les trois dans le jardin, et la grand-mère dÉmilie alla se coucher nous laissant seuls.
Amusez-vous bien les s, dit-elle en nous quittant.
Émilie membrasa et nous allâmes nous promener. Nous allâmes jusquau village dont les rues étaient animées par les nombreux touristes qui occupaient les terrasses des deux bars, et les jeunes qui trainaient dans les rues.
Cest un village perdu, mais il y a toujours beaucoup de vacanciers, me dit Émilie.
Elle me mena jusquà la boite de nuit et nous entrâmes pour y prendre un verre.
Peut-être quon tombera sur un bel étranger, me dit-elle.
Il y avait peu de monde, il était encore tôt, mais nous allâmes sur la piste et nous dansâmes un moment. Puis après avoir bu un verre, nous repartîmes. La nuit tombait doucement. Émilie me prit la main et mentraina dans les bois.
Jai envie de te violer dans la foret, dit-elle en riant.
Elle me plaqua contre un arbre, et se mit à genou pour me sucer. Sa bouche mavait manqué. Je la regardais soccuper de moi, prendre du plaisir à men donner.
Jaime ta queue, me dit-elle, jaime la sentir au fond de ma gorge, emplir ma bouche.
Elle me fit jouir et avala mon foutre chaud.
Bouffe-moi la chatte, je dégouline, lèche mon jus.
Elle sallongea sur la mousse, écarta les cuisses, et moffrit son sexe. Je plongeais en elle, buvais son jus tiède, cette mouille exquise dont je ne me lassais pas. Émilie gémissait sous mes coups de langue, se tortillait de plaisir. Plaquait mon visage contre son sexe ouvert. Elle jouit à son tour, poussant un grand cri.
Je relevais la tête et vit un type se branler à quelques mètres. Il devint tout rouge en voyant que je lavais remarqué. Prenant peur il voulut senfuir, mais oubliant quil avait le pantalon aux chevilles tomba dans la mousse.
Émilie se leva, alla vers lui. Elle lui tendit la main pour laider à se relever.
Le spectacle ta plu, lui dit-elle.
Il rougit de plus belle, bafouilla, et remonta son caleçon.
Non, cest dommage de cacher tout ça, tu es bien équipé, on pourrait en profiter.
Émilie, dis-je, ne lui fait pas peur, il a lair gentil, mais tu le terrorises.
Il navait pas lair davoir peur quand tu las vu se branler en nous regardant. Je pourrais le détendre en le suçant. Ça te plairait que je te suce ?
Il ne sut quoi dire, mais je vis que la proposition le tentait.
Excusez-moi, fini-t-il par dire, je ne voulais pas vous gêner, je vous ai entendu alors que je me baladais, et je nai pas pu mempêcher de me masturber, cétait trop excitant.
Tu es puceau, demanda Émilie ?
Il fit oui de la tête. Émilie sapprocha, déposa un baiser sur sa joue et lui dit de partir.
Je ne veux pas que ta première fois se passe comme ça, ajouta-t-elle.
Il hésita, ne bougea pas.
Mais, vous mauriez vraiment sucé ?
Émilie éclata de rire.
Je crois quil est tenté par une petite pipe, dit-elle. Oui, jaurais pu te sucer, et mon ami aussi.
Mais je lai vu vous lécher, il nest pas pédé.
Non, comme moi il est bi, il aime autant les chattes que les bites, et il adore les culs. Allez va, rentre chez toi.
Il savança, baissa son caleçon. Il bandait encore. Une belle bite, longue et épaisse.
Non, je veux participer, dit-il crânement en nous regardant droit dans les yeux.
Émilie se tourna vers moi.
Que fait-on ? On le suce, on le dépucèle ?
Cest vraiment ce que tu veux, lui demandais-je ?
Oui, je veux baiser avec vous, là, maintenant.
Je lui pris la bite en main. Il frissonna. Je le caressais doucement. Émilie lembrassa.
Cest vrai quil a une belle bite, et quelle me fait envie, dit-elle. Tu tappelles comment ?
Éric, dit-il.
Tu es vraiment puceau ?
Oui.
Tu as quel âge ?
17 ans.
Tu te branles souvent ?
Oui.
Tu aimes ce que mon ami te fait ?
Oui.
Tu voudrais quil te prenne dans sa bouche ?
Oui, répondit-il sans hésitation.
Et moi, tu voudrais que je te suce aussi.
Oui.
Émilie le fit allonger, et nous commençâmes à le sucer ensemble. Il ne fut pas long à jouir lâchant un puissant jet de foutre sur nos visages.
Dommage, cétait rapide, dit Émilie. Il va falloir que tu toccupes de moi maintenant, tu mas bien excité, et jai la chatte toute humide.
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