Exhibition

Grande était ma surprise à cette époque là, de constater que les femmes, loin de s'en scandaliser, apprécient ceux qui, renonçant à les aimer, cherchent d'abord… avant tout, à leurs faire du bien.
Et je pense sans me tromper, que ce doit être aussi le cas pour la voisine du troisième paliers. Depuis notre épisode au jardin (la voisine), je n’es pas eu de ses nouvelles. Pourtant ses dernières paroles étaient très prometteuses. C’est que son goût très prononcé pour le sexe, est loin de me laisser indifférent. Et sur ce point, sa réputation n’est plus à faire dans l’immeuble.
Une femme, mariée sans , dans la quarantaine, qui forme avec son époux, un couple étrange. Voilà en résumer, ce qui se dit de sa personne.
Mais, même si rien n’est impossible côté sexe, je n’emmène croyez-moi, pas large, à devoir affronté la voisine. Appréciera-t-elle de me revoir ?
Conclusion, il est impératif, que je trouve une approche anodine pour pourvoir assouvir ma perversité. Mon plan, lorsqu’il a jailli, suite d‘une insomnie, m’a d’abord paru trop monstrueux pour être mis à exécution. Puis à force de le tourner et le retourner dans ma tête, je l’es pour ainsi dire, apprivoisé.
Pour ce faire, je choisis un jour où je me retrouve seul à la maison. Ma mère étant parti avec sa sœur, de passage pour quelques jours à la maison. Je dérobe donc, dans la chambre de tata, un collant. Avant de l’enfiler, je le respire. L’odeur féminine dont il est imprégnée, m’excite très fort. Avec mille précautions, je l’enfile. Le frottement du nylon au contact de ma queue de ma queue, me procure un plaisir intense.
Je suis derrière ma fenêtre à attendre l’arrivée de ma poupée. . Derrière mon attente, je persiste à croire que mon idée est la bonne. Et d’ailleurs qui peut résister à un garçon comme moi, de 19ans, aux cheveux longs bruns et au visage d’une douceur de fille.
De mon poste d’observation, je surveille chaque automobile qui rentre dans mon champ de vision.

Une Simca fait son apparition. J’écarquille mes yeux. Mon cœur bat la chamade. Le conducteur est une femme. Le véhicule roule lentement. Il me semble qu’elle ralentit à l’entrée du parking. Impossible de déterminer si c’est elle avec certitude. Mais hélas, la voiture poursuit son chemin.
Plusieurs autres passent dans les deux sens. Encore deux Simca, mais à toute allure. Il est 17H25. Merde, qu’est-ce qu’elle fou ? Enfin je crois la reconnaitre. La Simca blanche fait une approche à une vitesse réduite, avant de s’arrêter sur sa place habituelle. C‘est à moi de jouer. Je me précipite hors de l‘appartement. Il est temps de mettre ma tactique à exécution. Le jeu vaut la chandelle, je prends cela comme une suite à notre première rencontre.
Je descend les marches qui va me mener à sa rencontre. J’entends les pas se rapprochant. Plus qu’un étage entre elle et moi. Unes après l’autres, je décroître la distance qui m‘approche d‘elle. Je sens monter un cran de plus dans mon excitation sourde, mêlée d’appréhension, qui me tord tout de même le ventre. Mais le désir sexuel, me pousse en avant. Je précède une queue en érection, plaqué contre mon ventre par le nylon du collant.
L’instant fatidique est proche. Ni elle, ni moi ne pouvant encore nous apercevoir. Je bredouille pour moi-même, d’une voix méconnaissable.
- Très bien, Bernadette, à nous deux… j’espère que tu vas apprécié.
Je suis sur le palier. Je ferme les yeux et m’engage dans l’autre série de marches, celle qui me mène à ses bras. Là, j’entends une voix que je ne reconnais pas être celle de Bernadette. J’ouvre les yeux et surprise, je ne sais par quel curieux hasard, ce n’est pas Bernadette que j‘ai devant les yeux, mais Brigitte, la voisine du bas. La panique me submerge. Pourtant son visage exprime un intense bonheur. Elle m’adresse un sourire qui me donne l’impression qu’elle va me dévorer tout cru. En même temps, son regard gourmand me détaille en quelques secondes.
Brigitte est une femme au foyer.
La trentaine, aux cheveux blond, qui cascadent sur les épaules. Son imperméable entrouvert, me laisse entrevoir à travers sa blouse, une poitrine assez ferme et volumineuse, que porte une paire de jambes interminables, gainées de nylon. Marié, et mère de deux fillettes. Une femme qui ne figurait pas sur ma liste de femmes à convoitées. La croyant jusqu’alors inaccessible. Je sens brusquement ma gorge comme incendiée.
Prestement je mets les mains sur mon sexe qui a perdu de sa vigueur, incapable de formuler même une excuse. Brigitte moqueuse, me recommande de ne pas faire de bruit, pour ne pas alerté la vieille veuve, qui doit être sans doute derrière la porte près à bondir à la première alerte.
Mon cerveau fonctionne à trois mille tours minutes. Il faut que je trouve vite quelque chose à dire, une justification, un prétexte, n’importe quoi.
Bafouillant, baissant la tête, je la supplie dans un premier temps de ne rien dire à mes parents. D’un doigt sous le menton, elle me force à lever la tête et ricane.
- On fait moins le fier, hein, à présent ? Peut-être que je saurais me taire si tu fais ce que je veux. Il faut avouer que je te trouve canon dans ta tenue… très, très… comment dire, efféminé, oui c‘est ça efféminé.
Sous le regard implacable de Brigitte, je cligne des paupières. Lâchant mon menton, elle se met à me tourner autour, en me frôlant, m’examinant, presque en me flairant. Comme si elle cherche à deviner pourquoi cette accoutrement.
- Il va falloir que tu paies mon silence ! Tu comprends ça ?
Je reste bras ballant, la tête basse, n‘en menant pas large, attendant la suite. Elle avance ses lèvres des miennes, et les picore. Elle porte un rouge à lèvres écarlate et son parfum épicé, m’enivre comme de l’alcool. Pendant que sa bouche va de mes commissures à mon oreille. Sa main se referme sur ma virilité en berne à travers les fines mailles du collant.
- Bon, il va falloir remettre ça en route ! Branle-toi ? Me chuchote-t-elle.

-… Mais….!
- Ne discute pas, jeune homme… ou gare à toi !
Mais je n’es pas le temps de m‘exécuter, que le bruit de la porte d’entrée du hall retentit. Sans doute, Bernadette.
- Viens… entre ! M’ indiquant son appartement, nous serons plus tranquille à l’intérieur. Murmure la voisine d’une voix caressante. Nous serions plus tranquille… Elle grimpe la série de marche, la séparant de sa porte d‘entrée. Elle sort les clefs de sa poche et la déverrouille. Mais s’apercevant que je ne suis pas derrière elle, avec un vilain rictus au coin des lèvres, elle me lance.
- Alors dépêche-toi, d’entrer !
Tout bien pensée, es-je un autre choix. Surtout que les pas s’approchent. Et si c’est ma mère ? À cette pensée, je fonce, Brigitte s’efface. Mais l’espace entre elle et le chambranle de la porte est réduite au minimum, pas suffisamment pour que je ne puisse éviter de frôler en passant sa poitrine, dont les pointes, visiblement érigées, semblent prêtes à percer à tout moment le tissu satiné et brillant de sa blouse. Une fois dans l’entrée, alors qu’elle referme la porte, elle me lance:
- Tu veux toujours pas me dire pourquoi tu te ballades dans cet accoutrement dans les escaliers, me lance-t-elle, en ôtant ses bottes. Tu veux pas partager ta drôle idée avec moi. Elle range la paire de bottes dans le meuble, puis se redresse. Je pense que c’est mon jour de chance. Elle m’att le bras et me guide jusqu’au salon.
Elle jette son imperméable sur le dossier d’une chaise. Ce place face à moi, elle me lance:
- Vois-tu… j’aimerai que tu te caresses devant moi.
Je m’exécute sous ses yeux. Pour se faire je descends l’élastique du collant jusqu’en haut de mes cuisses, libérant par ce geste mon bas-ventre. Peu à peu sous ma caresse, mon sexe reprend de sa tonicité. Mais ce n’est pas suffisant pour l’impatiente Brigitte. Elle se penche, et m’entoure de ses doigts fins, aux ongles manucuré laqués d’un vernis rouge vif, et commence à me branler délicieusement de haut en bas et vice-versa, sans arrêt.
Par l’ouverture du haut de sa blouse, j’ai un panorama sur ses seins, fabuleux qui semblent vouloir faire exploser son soutien-gorge en tulle.
- Tu aimes mon chou ?
- Oui, madame c’est très bon…
Poussé par le plaisir, j’avance ma main et la glisse dans le décolleté de sa blouse, mais elle me prit la main.
- Attends, voyant… en voilà des manières dit-elle. Tu toucheras quand je te le dirai.
Ma queue me fait à présent mal, tant elle est tendue.
- Pas mal, souffle-t-elle, pas mal du tout, se laissant tomber à genoux. Tu peux me croire, ça fait longtemps que j’en est pas eu une aussi dur en main.
Je songe qu’elle doit la comparer avec celle de son mari, routier international. Elle me caresse doucement. Cela dure quelques instants, puis elle se relève en vacillant un peu, comme si elle est ivre. Puis elle se colle contre moi, nouant ses bras derrière mon cou, poussant en cadence son mont de Vénus contre moi. Puis je tire sur sa blousse. Brigitte n’a aucun geste de recul à mon audace, ce qui me rassure sur la suite à suivre. Un après l’autre les pressions du haut cèdent sous la pression, révélant le fabuleux soutien gorge en tulle de couleur vert bouteille. Elle repousse les bonnets, dévoilant ses nichons. Elle pèse de sa main sur ma nuque pour m’obliger d’approcher mon visage sur l‘offrande. Mais alors que je vais poser ma bouche sur son seins, elle me tire la tête en arrière, par les cheveux.
- Doucement… doucement. Tu les trouves comment ?
- Très beaux madame.
- Bien… alors tu vas me les sucer.
Serrant ferme une poignée de cheveux, elle guide ma tête.
- Lèche !
Ne tenant plus, je passe ma langue, mouillant de salive le bout qui est dur. J’agace son mamelon, le titille de la pointe de ma langue.
- Tu aimes ?
- Oui madame.
- Alors tète plus fort.
Je mordille le téton, l’aspire, la suçote, le fais rouler entre mes dents.
- Tète-moi encore… oui, encore.
Alors qu’elle s’extase sous ma caresse, j’en profite pour dégrafer entièrement sa blouse. Pas trace de culotte. Seul un collant translucide fait barrage entre moi et son sexe. Je distingue une toison flamboyante, écrasée par la pression qu’exerce le nylon sur elle. Je la masse par-dessus la fine maille, épousant de ma paume le renflement de son pubis.
Elle se met à haleter bruyamment. Je glisse les doigts sur les lèvres de son sexe. Le nylon est imbibé de mouille. Elle ne réagit pas quand je roule le collant et dégage son sexe. Tout en la tétant, je la tripote. Je fais rouler le clito entre deux doigts, avant de lui enfoncer mon index dans le vagin. Brigitte rejette la tête en arrière, basculant son bassin, écartant les cuisses, pour que je puisse prendre mes aises en elle.
J’abandonne son seins pour apercevoir mon doigt qui va et vient. Elle râle. Je ressors mon index, et avant qu’elle proteste sous l’effet de la frustration, je lui enfile trois doigts recourbés qui la remplie tout entière. Des spasmes la secouent. Elle secoue sa tête en tous sens. La jouissance la submerge. Non pouvant plus de ce traitement, elle m’échappe, et va prendre possession du divan. Pour récupérer, es-je crus comprendre dans un premier temps. Mais elle se place à genou, me permettant par ce mouvement de contempler ses fesses rondes et larges. Même en photo, dans les magazines « de cul » qui traîne dans ma garçonnière, que je feuillète quand je n’es rien d’autre à me mettre sous les dents, je ne me souviens pas d’en avoir vu d’aussi belles.
- Tu aimes mon cul ? demande-t-elle d’une voix .
Comme un chien en rut, je me plaque contre elle, et colle mon membre contre le sillon qui les sépare. Je m’y frotte. Elle miaule de plus belle.
- Mets ton doigt… oui met ton doigt dans mon cul, ordonne-t-elle contre toute attente.
Tout de fois, elle sursaute en sentant mon index s’enfoncer dans ses reins.
- Oh ! Salaud ! C’est bon ! Oui continu… n’es pas peur d’aller plus profondément.
Mais très vite, cela ne lui suffit plus. Elle me fuit de nouveau, et tombe à quatre pattes sur le tapis. La tête en appui sur le coussin du divan , elle écarte ses fesses à deux mains, et dégage tout son intimité.
- Prends-moi par derrière. Encule-moi, c’est-ce que je désire de toi…
Considérant que je mets trop de temps, elle ajoute :
- Aller presse-toi…
Je m’exécute. À l’aide de salive et de mouille, je lui enduis l’anus. Puis je pointe l’extrémité de ma queue au centre de l’étoile sombre. Brigitte écarte à deux mains son fessier. Malgré la préparation, je fournis néanmoins un effort pour que mon gland franchisse l’anneau resserré.
- Va pas trop vite pour débuter !
La première résistance vaincue, ma verge s’enfonce plus facilement. J’accole mon ventre aux fesses. Brigitte pousse une plainte et balance ses hanches de droite à gauche.
Je sors ma queue presque entièrement et me renfonce d’un coup de reins vigoureux. Elle pousse un cri. Craignant d’avoir été trop brutal, je stoppe mon geste.
- Non ! Non ! Ne t’arrête pas… c’est trop bon…
Après un tel encouragement, je ne peux que de lui donner de profond aller-retour. Je suis avec attention les réactions de l’orifice que je pilonne. de son côté, Brigitte roule ses hanches, d’avant en arrière, écrasant mes couilles. Elle décrit avec son bassin des figures en forme de 8 pour bien ressentir la boule du gland lovée en elle et que je sens balloter dans les profondeurs de ce cul offert. Brigitte m’encourage avec une fougue redoubler :
- Oh ! Oui ! Bourre moi espèce de petit salaud… putain, que j’aime ça…
Je m’engouffre si durement que Brigitte s’affaisse contre le sol en m’entraînant dans sa chute. j’inonde son cul d’une semence brûlante qui lui arrache un interminable soupir.
Après une toilette d’usage, Brigitte me propose de me prêter des vêtements de son mari pour que je puisse rejoindre mon domicile.

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