Dans La Chaleur De L'Été (12)
Éric avait un sourire niais qui lui barrait le visage.
Ça ta plu, lui demandais-je ?
Cétait trop bien. Je ne pensais pas que ça pouvait être aussi bon.
Et encore tu nas pas gouté au reste, dit Émilie.
Quand tu veux, je suis prêt, répondit-il.
Pas tout de suite, ajouta Émilie, et pas avec nous.
Pourquoi ? Je suis prêt, et vous êtes super.
Émilie me regarda, je voyais bien quelle avait envie de lui, et de se faire prendre en double dans les bois. Je trouvais que cétait un peu rude pour Éric de découvrir le sexe avec deux pervers comme nous. Dans ce bois.
Voilà ce que je te propose, lui dis-je, tu rentres chez toi, et tu réfléchis. Si tu veux baiser avec nous tu reviens demain, mais sache que si Émilie te dépucèle la bite, moi, je veux que tu me prennes le cul, et que tu acceptes de te faire aussi enculer. Tu veux baiser avec nous, tu dois accepter notre mode de vie, nos orientations sexuelles, nos désirs.
Éric baissa les yeux sur Émilie, me regarda, et remonta son caleçon et son pantalon.
Ok, dit-il, je rentre et je réfléchis, mais si demain je suis là, il faudra assurer.
Même sil avait joué au brave, javais senti dans sa voix un tremblement. DE peur et aussi peut être dexcitation.
Nous rentrâmes Émilie et moi et alors que sa grand-mère dormait profondément dans sa chambre en bas, nous continuâmes ce que lon avait commencé dans les bois.
Tu crois quil sera là demain, me demanda Émilie, allongée sur le ventre glissant ses doigts sur ma poitrine couverte de sueur après lamour ?
Je ne silai pas.
Tu voudrais quil vienne ? Moi jen rêve, sa bite est super belle et jaimerais bien le dépuceler.
Je ne sais pas. Il est mignon, il a une belle queue, mais je trouve que ce nest pas bien. On aime le cul, et on baise librement toi et moi, mais lui il est jeune, et inexpérimenté.
Tu rigoles. Cest un mec, il veut un trou et cest tout. Il se branle chaque soir en rêvant de baiser des nanas quil a vu à la télé, au ciné, ou dans des pornos. Et là on lui propose un plan à trois, il doit sastiquer comme un dingue rien quen pensant à nous.
Elle avait sans doute raison, à sa place jaurais fait pareil.
Je vois que toi aussi ça texcite cette histoire, dit-elle en sentant une érection naitre. Une dernière pipe et on dort, je suis crevée.
Le soleil rentrait à flot dans la chambre quand je me réveillais. Émilie était déjà debout. Je lentendais parler avec sa grand-mère dans le jardin. Elles étaient occupées à couper des tomates pour faire une salade. Je les rejoignais et minstallais pour boire un café.
Bien dormi, me demanda Émilie en souriant ?
Comme une masse, ça faisait longtemps que je ne métais pas levé aussi tard.
La journée sécoula doucement. Après avoir déjeuné de salades fraiches, Émilie et moi allâmes à la rivière pour nous baigner. Leau était fraiche, mais avec la chaleur de cette journée dété cétait très agréable.
Allongé sur la rive, je pensais à Éric, et à notre rendez-vous du soir. Émilie lisait à côté de moi, le corps luisant. Je sentis le désir monter en moi, et je vins lembrasser.
Tu ne penses quà ça, me dit-elle en me rendant mon baiser avec plus de fougue.
Comme toi ma belle, cest pour ça quon est bien ensemble.
Cest vrai, mais pas ici, pas maintenant.
Déçu par son refus, quelle motiva par le risque de se faire surprendre, et par son envie dattendre le soir et la possible venue dÉric, je plongeais dans leau fraiche pour me calmer.
Enfin, lheure de notre rendez-vous arriva. Après avoir diné, nous laissâmes de nouveau la grand-mère dÉmilie seule et allâmes dans les bois attendre Éric.
Assis sur la mousse, adossée à un arbre, nous attendions. Les minutes passaient sans quil arrive.
Il ne viendra pas, dit Émilie, dommage, mais ce nest pas une raison pour rester là comme deux cons.
Elle fit glisser sa culotte, et déboutonna mon pantalon. Je bandais déjà, ce qui lui plut. Elle prit ma bite en bouche tout en se caressant. Bien chaud tous les deux nous étions prêts à passer à la suite quand jentendis des bruits derrière moi. Éric.
Il était rouge davoir couru. Essoufflé. Emilie lacha ma bite. Se leva et alla à sa rencontre.
Désolé, dit-il, mes parents ne voulaient pas que je sorte, jai du faire me mur.
Émilie rigola, le prit par la main, et le fit assoir contre larbre. Elle ôta son teeshirt, et lui embrassa le torse. Sa langue glissant sur sa peau, léchant sa sueur.
Je minstallais à côté de lui, me caressant doucement.
Tu as réfléchi, lui demandais-je ?
Oui, mais je ne sais pas si je suis prêt à tout.
Quest-ce qui te fait peur ?
Jai pas envie de me faire enculer.
Cest tout ?
Oui, je crois.
Alors si Émilie te suce là tout de suite, tu nas rien contre le fait de me sucer aussi.
Euh... en fait je crois que ça aussi je ne suis pas certain davoir envie.
Et si comme hier je te suce ça te dérange ?
Non, mais je ne suis pas pédé, alors...
Hier non plus, mais tu as bien aimé.
Oui.
Alors, laisse-toi faire, pour le reste on verra.
Émilie sortie la bite dÉric de son caleçon, et comme la veille nous le suçâmes ensemble, nous occupant bien de sa bite jusquà ce quil éjacule dans ma bouche.
Tu vois, dit Émilie, tu aimes autant les bouches de garçons que celles de filles. Maitenant, avant de me baiser, il va falloir que tu toccupes de ma chatte.
Je ne sais pas, jai jamais fait ça.
Ne tinquiète pas, lui dis-je, je vais te monter comment faire du bien à une femme avec ta bouche.
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