Leslie Re05
Leslie RE05 Rêves.
Rêve étrange, mais pas si loin de la réalité, suite et fin
« Le lendemain matin, je me réveillais avec un drôle de sentiment, javais adoré faire lamour avec Pierre et je savais quil viendrait à nouveau pour recommencer et que je lui refuserais pas, mais javais la sensation davoir trahi mon chéri, mais je naimais pas Pierre, javais seulement aimé quil me sodomise et le plaisir que jen avais tiré...
Soulagée, je pris une douche, puis je mhabillais dune simple robe dété, blanche, dos nu en mousseline avec une paire descarpins, dédaignant le soutien-gorge, mais passant juste un tanga, pour camoufler au mieux mon sexe. La sensation était délicieuse, javais limpression dêtre quasiment à poil, ma poitrine était largement exposée dans un profond décolleté et les effets de transparence de la robe découvraient lensemble de mon anatomie.
Jétais vraiment une belle salope, espérant secrètement allumer mes deux hommes
Je décidais de libérer mes cheveux et de laisser ma crinière blonde retomber librement sur mes épaules.
Mon arrivée au petit déjeuner ne laissa ni Pierre, ni Eric indifférents. Ils me regardèrent avec envie pour lun, avec amour pour lautre. Après quelques banalités et un bon petit déjeuner, nous primes congés des parents dEric et nous sommes rentrés à la maison.
Ce soir-là, Eric me fit lamour comme un forcené, un vrai mort de sexe, comme si inconsciemment il voulait reprendre ses droits sur moi et me faire savoir que je lui appartenais. Je ne men suis pas plainte car jai pris un pied denfer ce soir-là.
Avec Eric et ses parents, nous passâmes lété dans la propriété familiale du sud de la France, près de Cassis, ce qui nous permettait dattendre lopération prévue pour fin-septembre en nous reposant tranquillement
Enfin reposer pour moi était un bien grand mot.
En fait, avec Eric nous faisions toujours chambre à part, tout comme ses parents dailleurs, le jour Eric me faisait lamour dans les dunes de la plage où dans les sous-bois des environs et la nuit Pierre venait me retrouver dans ma chambre.
Je nai jamais été autant enculée que pendant cette période, quatre semaines où mon anus ne sest jamais fermé, sodomisée la journée par mon homme et la nuit par mon amant, son père
Chacun y trouvant son compte ne sest jamais posé de question, même pas la mère de Pierre, que surpris plusieurs fois dans le cabanon au fond de la propriété en train de baiser avec le jardinier. Sortant le mardi et le vendredi après-midi, jai même supposé quelle devait avoir un amant en ville, car le soir en rentrant, elle était souriante et épanouie comme une femme qui avait pris du plaisir.
..
Je suis entrée à la clinique, à Londres, début octobre et je devins enfin femme mi-octobre, après avoir passé deux semaines en observation. Puis après une semaine de convalescence dans la clinique, le chirurgien, un homme charmant, me rassura lors de la visite de sortie, en me disant que tout était pour le mieux, quil mavait fait un joli vagin avec de grandes lèvres et reconstitué un clitoris, qui me dit-il me donnerait les mêmes sensations quune femme lorsque je me le ferais caresser où quand je ferais lamour par mon nouvel orifice.
Javais vraiment hâte de faire lamour comme une femme, mais il rajouta que la convalescence serait longue et que je ne devais pas faire lamour avant au moins deux mois, afin que tout ce cicatrice le mieux possible
- Mais, docteur, dis-je, je ne vais pas pouvoir tenir !
- Vous pouvez toujours vous faire sodomiser, comme avant ! Me dit-il avec un grand sourire, mais surtout attendez Noël.
Jai passé ma convalescence chez moi et Eric venait me retrouver chaque soir pour me faire lamour, en fait me sodomiser comme avant. Mais Pierre, impatient, prenait de mes nouvelles régulièrement et me dit quil tenait à être le premier à me faire lamour avec mon nouveau sexe, car il voyait cela comme une sorte de droit de cuissage, vu que cétait lui qui avait payé lopération.
En fait je suis restée tranquille à la maison jusquà la fin de lannée, résistant, aussi, tant bien que mal aux avances dEric, lui-même impatient, car il désirait ma faire lamour comme à une femme, alors je prétextais à chaque fois quil fallait que je vois le chirurgien avant pour une visite de contrôle et son accord.
Jai été à Londres voir le chirurgien vers mi-décembre qui massura que tout était bien et me donnait son accord pour faire lamour comme une femme, jétais si heureuse que jen fis part aussitôt à Pierre, si bien que nous fûmes invités pour passer les fêtes de fin dannée avec eux. Je dis à Eric que le jour de Noël serait loccasion de me faire lamour et de me prendre comme une femme
Heureux de cette nouvelle il continua à me faire lamour comme avant.
Les retrouvailles furent chaleureuses, et le diner de Noël somptueux, arrosé comme il se doit par de bonnes bouteilles, et certainement de somnifère pour certains, puis après un digestif au coin du feu et la distribution des cadeaux, chacun regagna sa chambre
Vers minuit, alors que tout le monde dormait, Pierre vint me retrouver dans ma chambre, où ayant été prévenue de sa visite, je métais apprêtée à le recevoir.
Je métais habillée avec une guêpière seins nus à avec porte-jarretelles en dentelle noire, des bas noirs, des escarpins et dun string ouvert assorti à la guêpière.
A peine était-il entré dans ma chambre quil membrassa fougueusement et me poussa ensuite sur le lit et commença à balader ses mains sur tout mon corps. Cela me rappela notre première fois, sauf que Pierre ne rencontra aucune verge lorsquil commença à me caresser ma chatte, lorsque son doigt entra en contact avec mon nouveau clitoris une onde électrique se propagea dans tout mon corps me faisant hurler de plaisir, le chirurgien ne mavait pas menti
Il me titilla ensuite les seins qui pointaient déjà depuis un moment en pinçant gentiment le téton et le faisant rouler entre pouce et index. Cétait exquis, je ne pus mempêcher de lâcher encore quelques gémissements de satisfaction. Pierre glissa ensuite vers le bas du lit et positionna sa tête entre mes jambes. Il approcha sa langue de ma chatte et en donnant quelques coups de langue, commença à la lécher, jappréciais fortement ce nouveau traitement tout en douceur sur mon sexe neuf et sentis le plaisir menvahir petit à petit, surtout lorsque sa langue passait su mon bouton.
Je navais plus quune envie, celle dêtre pénétrée par mon nouvel orifice, alors présentant mon envie, se redressa et présenta sa queue à lentrée de ma fente par louverture de mon string fendu.
Jétais anxieuse et excitée à la fois, il me pénétra rapidement et sans beaucoup forcer et je lenserrais de mes cuisses pour quil entre facilement dans mon ventre.
Il sactiva, ses mains enserrèrent mes fesses, me caressèrent les flancs. Il prit ma bouche et aspira ma langue. À chacune de ses poussées je ressentis son membre brûlant envahir mon ventre, lirradiant de plus en plus loin, traversant mes reins, jusquau fin fond de mes entrailles. Je me mis à gémir de plaisir. Il membrassa avec plus de passion encore, ce qui amplifia encore ma jouissance. Il continuait à aller et venir en accélérant sa cadence.
- Remontes tes jambes sur mes épaules, je pourrais ainsi te prendre plus profondément, me demanda- t-il.
Je me faisais maintenant littéralement bourrer comme une chienne en chaleur. Je poussais de longs râles et mon corps se mit à trembler de jouissance. Je découvris avec avidité les plaisirs inédits que me procurait ce nouveau sexe. Je lâchais sans aucune retenue des feulements pour exprimer le plaisir que me procurait tout ce bonheur, tout en disant :
- Ohhh mon salaud, comme cest bon, je suis une chienne, ahhh, je pars !
Il macheva par quelques coups de reins puissants. La jouissance me submergea et jhurlais comme une folle. Au même moment, je sentis sa verge se tendre, puis sa semence minonder le vagin. Pierre poussa un grognement de satisfaction lorsquil éjacula en me remplissant le ventre.
Nous restâmes ainsi quelques instants sans bouger, lui enfoncé en moi, jétais comme sur un nuage, puis Pierre se retira délicatement de moi et en se relevant, il me dit :
- Tes trop bonne ! Je ne regrette pas mon investissement !
Ill me demanda de le sucer et après avoir rebander, il me sodomisa alors que jétais allongée sur le ventre, et après avoir une nouvelle fois jouit au fond de mon cul, il est sorti de ma chambre en riant, me laissant inerte sur le lit.
Jétais si heureuse que je restais dans cette posture impudique, sur le ventre, les jambes écartées, le cul et la chatte rempli de la jouissance de mon amant et même lorsque mes orifices brûlants laissèrent sécouler le trop-plein de semence chaude, je neus pas le courage, ni la volonté de remonter le drap sur mon corps
Le lendemain, Eric eu à son tour le privilège de me faire lamour comme il en avait toujours rêvé, ne sachant pas quil nétait pas le premier à me posséder ainsi, et trop heureux du plaisir quil prit ce jour-là, il me demanda de lépouser
Comme pendant lété mes deux hommes profitèrent largement de mon corps et de mes deux orifices pendant la semaine de congés
Rentrée à Paris, je mhabillais en femme et goutais avec plaisir à mon nouveau corps, quEric possédait régulièrement, maintenant il caressait mon sexe sans réticence et surtout lorsquil me sodomisait.
Un jour avant daller le rejoindre pour diner et aller au cinéma, après mavoir paré lanus de mon rosebud, je me suis habillée avec un porte-jarretelles et des bas noirs, une mini-jupe noire fendue très haut, des escarpins à talons aiguilles et pour le haut, un chemisier blanc, sans soutien-gorge et un string ouvert avec trois perles qui pendaient sur le devant.
En lenfilant, jai ressenti immédiatement du plaisir, une gêne, il simmisçait délicieusement entre mes fesses et en marchant les perles qui pendaient venaient frappées ou frottées sur mon clitoris, me donnant des sensations merveilleuses, générant à chacun de mes pas des ondes de plaisir.
Dans ma voiture, une envie incontrôlable de me caresser menvahit. Je commençais à onduler du bassin pour appuyer mon cul sur le siège et enfoncer le rosebud en moi, les perles faisant leur ravage sur mon clitoris à chaque mouvement
Puis, arrêtée par un bouchon, lenvie étant trop forte, jen profitais pour relever ma mini-jupe et écarter mes jambes. Mes lèvres étaient largement irritées et gonflées et mon clitoris érigé et dur. Jai commencé par me caresser les cuisses à la lisière de la dentelle de mes bas, puis ensuite ma main est remontée doucement vers mon entrejambe.
Je jouais dabord avec les perles du string, effectuant des mouvements de frottements puis, impatiente, jécartais avec deux doigts mes lèvres intimes et enfonçais doucement mon index dans mon vagin.
Ce nétait pas la première fois que je me masturbais, mais lendroit insolite décuplait les sensations, mon doigt accrocha mon clitoris et le plaisir commença à envahir mon bassin, puis tout mon corps. Je me cambrais en gémissant sous ma caresse, mon doigt décrivit des cercles de plus en plus rapides. Je ne pouvais plus mempêcher de pousser des petits cris tout en haletant. Le plaisir devint incontrôlable.
Je maperçus, avant de jouir, quun routier, arrêté à ma hauteur sur la file de droite, ne perdait pas une miette du spectacle, mais à cet instant plus rien nexistait autour de moi, seul mon plaisir comptait. Je ne mis pas longtemps à atteindre lorgasme. Une vague de chaleur me submergea et je laissais échapper un cri de plaisir.
Incroyable comme ce fût bon. Jen étais à la fois toute chamboulée et toute surprise. Cétait divin. Le routier leva le pouce dans ma direction pour me signifier que cela lui avait bien plu. Je remis immédiatement ma jupe en place, heureuse de mêtre exhibée de la sorte et davoir pris un tel plaisir et jai continué ma route pour aller à mon rendez-vous. »
Mon rêve se termina dune étrange façon, car je me souviens juste dEric me faisant lamour et me prenant chatte et cul en hurlant de plaisir, mais je nai aucune souvenance du mariage qui devait avoir lieu quelque temps plus tard.
En me réveillant jai senti mon membre dressé, je me suis alors masturber comme une folle en me godant le cul. Cela aurait pu être la réalité, mais ma vie fut bien différente
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!