De Fantasme En Fantasme 1

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Quelle histoire !
Tout avait pourtant bien commencé, par un petit jeu érotique sympa, et nous voilà à présent enfermés chez ces fous ...
J'ai demandé à Noélie de me rejoindre, vêtue d’une gabardine, seul accessoire imposé. Je lui ai proposé de nous retrouver place Bellecour et de nous promener en ville.
Il faisait beau et je l’ai vu arriver avec sa petite gabardine beige, un peu courte, sa jupe mauve dépassant légèrement.
Une fois arrivée à mon contact, je lui ai présenté rapidement les règles du jeu auquel elle devait se soumettre. Noélie adore la soumission, comme moi au cours de nos jeux sensuels ... Combien de fois me suis-je déjà soumis à elle, tel un esclave sexuel !
Elle devra, tout au long du parcours, se débarrasser de ses vêtements, s'enfiler tout ce qu’elle pourra sur son passage, sur un seul hochement de ma tête de ma part, et poser pour des photos au milieux de tout le monde, en laissant passer une fesse, une vulve ou un sein de façon discrète et fortuite, juste pour le regard de mon objectif, mais bien sûr visible par toute personne avisée ... C'est probablement ce qui nous est arrivé ...
Je trépigne d’impatience en voyant Noélie arriver au loin.
Je ne sais pas comment va se dérouler cet après-midi, mais nous connaissant cela ne manquera certainement pas de piquant …
Je propose à Noélie de prendre place à bord de la grande roue. La machine se met en marche et très vite, nous nous retrouvons en hauteur, à l’arrêt. Noélie en profite pour retirer sa culotte, que je lui chipe pour mieux en apprécier les effluves. Je passe les doigts sur sa vulve et me réjouis de trouver les chairs de Noélie déjà humides … J’en profite pour prendre quelques clichés … Puis, la roue reprend sa descente et nous décidons de déambuler dans les rues commerçantes.
Nous nous arrêtons devant une boutique de lingerie coquine et comprenons très vite l’opportunité qui se présente à nous.

Nous entrons et sommes reçus par une femme qui visiblement nous prend pour un vrai couple, et nous jouons le jeu.
Noélie a besoin d’un avis éclairé sur ce qu’elle désire acheter et pour ce faire, je l’accompagne dans la cabine d’essayage.
Pas encore vraiment fixée sur un article précis, Noélie emporte culottes, soutiens gorges, portes jarretelles, nuisettes et autres babioles ; toute une panoplie dont je vais pouvoir profiter pendant cet essayage …
Noélie enlève sa gabardine, puis sa jupe, son chemisier et son soutien-gorge ; j’ai conservé sa petite culotte dans ma poche … Elle ne revêt plus à présent qu’une paire de bas …
J’assiste au spectacle, ravi, et je joue avec mon objectif. Noélie se prête volontiers à mon œil fripon, tel un mannequin qui défile …
Tantôt avec un simple un porte-jarretelle, tantôt avec une petite culotte … Puis avec une nuisette qu’elle feint de perdre, laissant s’échapper un sein … Elle sait que j’apprécie le show et elle s’amuse de mon excitation.
Cela me rappelle les dernières photos qu’elle m’avait envoyées : une sorte de « pressbook » que je lui avais commandé, où je la découvrais dans diverses postures et arborant une panoplie d’accessoires de lingerie. Elle était magnifique !
Aujourd’hui encore, pour mon plus grand plaisir, elle joue avec mon objectif, prend un air faussement pudique et effarouché, en tentant vainement de cacher un sein ; puis adoptant des postures plus osées, elle n’hésite pas à écarter largement les cuisses pour rajuster ses bas, ou bien se penche en avant, les fesses bien offertes pour vérifier le confort d’une culotte …
Je me régale et mon excitation va crescendo … Je profite de notre isolement pour dégainer mon sexe et somme Noélie de lui administrer quelques coups de langue … puis m’engouffre dans son arrière-train pour quelques délicieux vas et viens !
Mais la vendeuse s’impatiente et nous devons maintenant quitter la boutique.
Notre périple est loin d’être terminé …
Nous poursuivons notre ballade.
A l’exception de sa gabardine, Noélie a définitivement quitté mes vêtements …
Spontanément, je ralentis mon rythme et marche à présent quelques pas derrière elle.
Soudain, je l’interpelle et, surprise, elle trébuche ! Malencontreusement, elle manque de tomber et se ratt de justesse à un banc public. Quelle comédienne !
Il s’agit bien évidemment d’une feinte, mais qui place Noélie dans une position telle que sa gabardine ne la couvre plus entièrement et laisse apparaître ses fesses, ce qui n’échappe bien évidemment pas à mon objectif !
La scène interpelle quelques badauds que nous rassurons très rapidement afin qu’ils prennent le large et nous permettent de poursuivre notre ballade coquine.
Nous repartons et plus loin, entrons dans un magasin qui propose des articles de cuisine. Je repère sur un présentoir, un petit fouet, spécial sauces, que je propose à N. de s’enfiler dans le vagin.
Elle empoigne l’instrument et le glisse entre ses cuisses. La froideur de l’inox la surprend mais il se réchauffe très vite au contact de ses entrailles vaginales, et c’est maintenant à sa sauce qu’il goûte … Je souris et jubile … Je fixe la scène en photo …
Plus loin, c’est un pilon qui fait de l’œil à Noélie. Sans perdre un instant, et après l’avoir humecté largement comme un gland qu’elle lécherait, elle se l’enfile entre les fesses. Je n’en reviens pas ! Je shoot autant que possible …
Mais nous devons partir, notre petit manège n’est pas vraiment discret !
Je n’en peux plus, je vais exploser ! Il va falloir trouver très vite un endroit tranquille.
Je me rappelle alors d’un échange que nous avions eu au sujet d’une église.
C’est ainsi que nous rejoignons la plus proche, mais elle est fermée au public !
Je m’approche de Noélie pour lui permettre de mieux apprécier mon état d’excitation et elle constate qu’effectivement, il y a urgence. Que faire ?
Nous repartons et traversons la ville à toute allure. Nous sommes à présent dans la vieille ville et scrutons le moindre recoin. Un porche, une cour … Une traboule, nous y sommes !
A peine arrivés je présente à Noélie mon sexe, tendu, extrêmement dur, et mes bourses, gonflées à bloc …
N. empoigne mes artifices, qu’elle lèche et pompe goulument. J’essaye de ne pas crier, mais l’envie est trop forte …
Très vite en effet, mon sexe se met à pulser. Je fais un effort démesuré pour tenter de me contenir, mais en vain … et je laisse finalement libre cours à mon éjaculation …
La sève s’écoule, chaude et abondante dans le bouche accueillante de Noélie qui déglutit avec plaisir, sans en gâcher la moindre goutte !
Mais, nous devons quitter l’endroit rapidement, car nous risquons à tout moment d’être découverts.
Je précède Noélie et en profite pour faire quelques pas devant les vitrines avoisinantes.
Un molosse m’aborde alors et me demande mon aide, invoquant un problème technique sur son véhicule. Je m’approche de la camionnette sans méfiance et là … plus rien !
Quelqu'un a dû voir notre petit manège et nous suivre, pour nous napper !
L'après-midi était pourtant folle, et très excitante !!