La Mal Vêtue

Un vieux pantalon de velours, une chemise hors d'âge, des cheveux presque rasés, voilà comment se présente ma nouvelle propriétaire. Elle a l'air mignonne pourtant. Je verrais à l'usage. L'usage arrive quand un début de soirée, elle vient toquer à ma porte. Cette fois elle est bien mise, presque sexy, avec une jupette courte style tennis. En plus elle m'invite à venir chez elle, au premier étage. Je suis moi presque en loque avec un vieux pantalon troué, une chemise pendante.
Venez comme vous êtes.
Je ne peux pas me présenter comme ça !
Mais si voyons, nous ne serons que deux.
Si elle insiste, je ne vais pas me dérober. Je la suis chez elle, dans son antre. C'est vrai nous sommes seules. Elle ne va pas me draguer ?
Un verre pour commencer ?
Je veux bien.
Elle veut commencer, mais quoi ?
A nos amours !
Je n'en ai pas pour le moment.
Je crois que je vais faire une bêtise.
Ah ! Bon et quoi ?
T'embrasser.
Alors je n'ai pas d'amoureux, je suis seule à me contenter le soir et elle juste en dessous me fait une proposition. Elle n'arrête pas là, elle me prend directement dans ses bras, me serre contre elle sans que je puisse m'en séparer. Je sens son genou contre ma chatte. Qu'elle ait envie de moi est une chose, mais moi ?
Je suis une conne, je la laisse faire et en plus elle m'excite.
Je me laisse manœuvrer comme une idiote. Elle me prend la bouche, met sa langue. C'est agréable, excitant, nouveau. Je me sens comme avant la première fois, quand j'allais me faire baiser par mon initiateur, celui qui m'a fait connaître l'amour, non, l'Amour. J'étais restée avec lui au moins trois ans, mais il est parti vers une autre, plus belle ?
Enfin elle me libère. Elle passe derrière moi, m'enlace à nouveau. Cette fois elle pose sa main directement sur ma chatte. Je sens ses doigts forcer à peine pour lever ma jupe. Elle est sur mes cuisses. Je me laisse faire, j'attends même qu'elle monte, qu’elle arrive là où je mouille.

Elle pose ses lèvres dans le cou. J'ai des frissons. Elle continu ses avances. Je la sens tout près du slip. Elle passe dessus. Son doigt se glisse par dessus le vêtement vers le vagin. Non, pas ça, je vais succomber.
Elle arrive à ce qu'elle voulait, sauf que j'ai moi aussi envie de lui rendre la pareille. Je passe ma main derrière moi, je cherche un peu avant d'aller sur son entrejambe. Elle me laisse faire. Sa jupette ne résiste pas à ma main. Je suis aussi sur son sexe. Elle s'ouvre même.
Nous sommes deux filles qui avons le même besoin : caresser un autre corps, et prendre du plaisir ensemble.
Elle est en avance sur moi, elle me fait jouir trop vite.
Nous allons nous asseoir sur un vague divan. Elle enlève mon haut : à part le petit soutien gorge je n'ai rien d'autre. Hardiment elle me l'enlève pour embrasser mes seins. Sa bouche est merveilleuse. Je lui prend la tête. Je ne veux pas qu’elle aille ailleurs, sauf si...
Le si arrive quand elle pose sa tête sur le pubis. Elle a réussi, malgré mes faibles résistances à enlever le bas. Son souffle pouvait m'avertir de la suite. Si une main est en moi, au bord du vagin, l'autre caresse mes jambes. J'ai envie de ses caresses.
Elle me caresse en me mettant nue. Elle me retourne pour que je sois face au mur, les fesses tendues vers elle. Je sens encore ses lèvres sur mes fesses. Elle les écarte. J’attends la suite avec intérêt. Sa langue se faufile dans la raie. Je la sens venir encore tout près de mon derrière. Elle ne va pas me lécher à cet endroit.
Sa langue continu son cheminement. J'attendais sa langue sur mon anus. Je reçois deux doigts dans le vagin. Elle me pistonne avec bonheur pour moi. Et brusquement je sens sa langue sur l'anus, elle le caresse avant de vouloir entrer. Je la laisse faire, après tout j'aime me faire sodomiser, alors elle et sa langue ! Elle me la met dans le cul. Elle me fait jouir une fois puis deux.
Elle me fait asseoir normalement. Je suis un peu essoufflée de mes orgasmes. Elle vient me donner sa chatte. Je la caresse un instant, elle en veut plus. Je lui mets la langue, en léchant. Mon premier sexe de femme, parfumé comme le mien sans doute. Je lèche comme le ferait un animal. Je sens ses réactions positives. Elle me donne envie de continuer à deux cette fois.
Je m’allonge sur le divan, les jambes ouverte, mon sexe offert. Elle ne se prive pas en venant me lécher encore et encore. Elle se tourne enfin pour se donner aussi. Nous jouissons ensemble pour la première fois et j'espère pas la dernière : c'est si bon avec une autre femme.