Tomber Plus Bas Ou La Chute - 7
Je rentrai chez moi après m'être fait baisé, dans tous les sens du terme, par Viktor. Je me débarbouillais à la cuisine tant bien que mal pour éliminer les traces les plus voyantes... Ma femme avait elle aussi été discrète après son show, qu'elle ignorait avoir donné devant du public.
Elle me lança cependant en me croisant un...
- Oh tu as besoin d'une douche aussi, toi!
... qui me fit rougir jusqu'aux oreilles.
J'avais beau avoir joui pleinement, je me branlai à nouveau sous la douche en repensant à Viktor, à ma femme, leurs corps se mêlant dans mon esprit. J'en fus troublé, comme d'imaginer ce qui allait advenir ensuite.
Nous parlâmes très peu avec ma femme de Viktor. Juste quelques banalités formelles. Je comprenais ma part de retenue mais m'étonnai de la sienne... A moins qu'il ait eu raison et qu'elle se soit touchée en pensant à lui? Ce n'était pas son genre pourtant...
Les jours suivants ne m'apportèrent pas les réponses attendues... Viktor avait tenu parole et livré son devis... Ma femme l'avait accepté et il avait rapidement déposé son matériel et commencé, avec un ou deux acolytes que je ne vis pas ces premiers temps, à préparer la reprise du chantier...
Il ne se manifestait plus à mon niveau et se contentait d'appeler régulièrement ma femme... j'en étais le témoin, en fin de journée, en rentrant du boulot... Il appelait sur le fixe, sans être le moins du monde gêné, et lui parlait des travaux. Elle riait, parfois, au début, puis moins avec le temps... Je la voyais souvent distraite, le regard perdu dans le vide ou me faisant répéter ce que je lui disais...
Parfois Viktor donnait rendez-vous à ma femme sur le chantier, pour lui montrer quelque chose. Elle m'avait demandé d'abord de m'y coller mais j'avais refusé net. Elle y était allé et depuis ne m'avait plus redemandé de l'aide.
Et puis un jour, un coin du voile fut levé... D'une manière que j'aurai préféré éviter, tant elle me fit me rabaisser encore.
J'étais au bureau, il était 17 heures, quand mon assistante vint me signaler qu'un monsieur me demandait. Il n'avait pas rendez-vous mais me connaissait... Allant à l'accueil pour le recevoir, je tombais nez à nez avec... Viktor. En salopette de travail. Egal à lui-même. J'en eu un coup au ventre. Alors que j'allais le mettre à la porte il me lança, sans sourire...
- Je viens de voir ta femme.
Son air grave m'inquiéta à plusieurs titres et je lui fis mine de me suivre dans mon bureau. Mon assistante eut l'air intrigué par le visiteur. Je fermai la porte derrière nous et l'apostrophai immédiatement, en retenant mon éclat de voix.
- Qu'est-ce que vous êtes venu faire ici? Et comment ...?
Il me coupa la parole en plaquant sa main sur ma bouche.
- Tes cartes de visite, petite pute, j'en ai récupéré quand tu es venu chez moi... Je sors de chez ta femme, et elle m'a encore chauffé. Ca me travaille, tu comprends ?
Il me lâcha et poursuivit en faisant sauter brusquement sa salopette, me refaisant le coup du balcon. Sur mon lieu de travail. Je le fixai la mâchoire tombante...
- Il faut que je me calme, maintenant, et c'est la faute de ta putain de bonne femme, alors je viens ici. Sûr qu'elle résiste à cause de toi, son petit mari. Si elle savait! Ah, et tu es déjà en position, bouche ouverte... Alors viens me soulager, chienne...
Il s'installa sur l'un de mes fauteuils de réception en cuir noir et acier poli, idéalement conçus pour lui permettre de se positionner à califourchon, comme il semble apprécier... Sa queue est demi molle, ou pas tout à fait bandée... J'ai plutôt tendance à voir le verre à moitié plein, alors mon propre sexe frémit malgré l'horreur de la situation... Il n'espère pas tout de même... je me plaque dos à la porte pour l'empêcher de s'ouvrir...
- Tu ne devrais pas me laisser comme ça, dit-il en commençant à se masturber. Avec tout ce que j'ai transpiré aujourd'hui, et vu la date de ma dernière douche, ça va sentir le fauve en rut d'ici à trois minutes.
Et le voilà qui se paluchait lentement, jouant de son prépuce sur son gland, le découvrant à moitié, peau sur chair en coulisse, son méat qui me faisait de l'oeil, perlé d'une larme de mouille... Il avait raison, l'odeur montait rapidement...
- Viens me nettoyer, petite pute... J'aime quand tu t'occupes bien de moi...
Et moi, affolé, qui me décollai de la porte, me jetai sur sa queue pour essayer de sauver les meubles... Oh, qu'elle sentait fort une fois bandée sous mes narines! Oh que cette peau était douce, quel contraste que ce goût prononcé, si particulier... Il n'était même pas si terrible, à moins que ce ne fut moi qui délirais maintenant... Un plat gouteux, voilà ce que je m'enfilai dans la bouche, un plat en sauce, relevé, au parfum qui m'envahissait le palais puis plus loin les narines... J'en recrachai le fumet par le nez en m'appliquant à bien le nettoyer, le salaud...
Je ne perdis pas de temps car la peur me prenait que mon assistante vienne frapper à la porte, qu'elle l'ouvre dans la foulée, qu'elle me trouve dans cette position humiliante... Je l'aspirais, le léchais, le gobais, je faisais rouler son gland sur ma langue, ventouse avec ma gorge... Mais il semblait décidé à faire durer...
- Faut parler un peu, hein? Sinon on va s'inquiéter pour toi et venir frapper! Du coup je vais te raconter un peu ce qui m'amène, pendant que tu me suces ... hmmm... que tu me suces bien, salope, tu deviens meilleure à chaque fois...
Il se pencha en arrière et s'attrapa les tétons du bout des doigts, qu'il caressa sensuellement sans me quitter des yeux... je disparaissais entre ses cuisses à intervalles régulier, il me mettait la main derrière la tête pour mieux me guider, écartait bien les cuisses au point où les effluves de son cul venaient me chatouiller le cerveau... la scène était d'une obscénité particulière... Cet homme chauve et bedonnant, de près de 20 ans mon aîné, qui se faisait pomper cuisses ouvertes alors que j'entendais mon assistante taper sur le clavier.
- C'est ta femme... enchaîne-t-il... elle me cherche, je te dis... Ca fait des jours qu'elle me cherche... Je la fais venir sur le chantier, ça tu le sais, pour le suivi des travaux, j'essaie de provoquer des situations de rapprochement tu comprends ? J'ai remarqué qu'elle me mate à la dérobée à chaque fois, l'entrejambe surtout... Il y a des fois où elle m'a fait bander rien qu'en arrivant, avec ses tailleurs coupés près du corps, la salope... Elle a un cul à se faire bourrer profond, ta femme... Elle le sait, et puis des nibards ! Je mordrais bien dedans pour tâter de leur chair, putain! Eh bien quand je bande, elle mate encore plus... Il faut dire que je lui offre des angles qui le permettent! l'autre fois elle s'est approchée pendant que j'étais monté à l'escabeau... Elle voulait voir de plus près, je suis sûr... A chaque fois que je quittais des yeux le plafond où je lui montrais les taches d'humidité, je la voyais qui détournait le regard... A quelques centimètres en contrebas de ma bite.. Et moi je voyais son décolleté et n'en bandais que plus... Elle aime me faire bander ta femme...
J'accélérai le mouvement, j'aurai voulu qu'il se taise... Je n'étais plus à ce que je faisais en me demandant s'il me mentait, si elle faisait vraiment ça... Elle n'est pas autant portée sur le sexe, ma femme, pas comme ça en tout cas... Elle m'a toujours dit, qu'elle aime le raffinement, qu'il lui faut des sentiments, ou de l'admiration, pour être attirée sexuellement... Mais là, avec lui ? Pas possible...
Viktor me ramena à ma tâche de la pire manière qui soit: il se frotta la raie avec deux doigts, puis vint se badigeonner le sexe ensuite... je ne voyais rien mais l'odeur se transforma et me prit à la gorge. Encore, mes neurones qui explosent... Puissant excitant que l'odeur de son cul, mon dieu que suis-je devenu?
Je me remis à le lécher avidement, et ça y était, sa mouille et ma salive formaient la toile qui m'emprisonnait et me liait à ce pervers.
- Alors l'autre jour je lui ai offert ce qu'elle voulait... Je lui avais donné rendez-vous et quand elle est arrivée, j'ai fait mine d'avoir oublié... je suis sorti de la douche la serviette sur la tête, après qu'elle m'ait appelé trois fois... Nu, évidemment... Je me frottai le crâne négligemment et j'ai mis deux secondes avant de retirer la serviette... elle ne s'était pas encore détournée et le fit à ce moment là, cramoisie... J'ai éclaté de rire en m'excusant et ça l'a fait rire aussi, du coup elle s'est permis de me regarder à nouveau, le regard dans le vague, de ceux qui ne fixent rien pour mieux regarder, tu vois ce que je veux dire? Mais elle n'a pas donné suite, la salope... Par contre on a franchi un cap... la fois suivante, elle s'est autorisée à me renifler, les yeux clos, alors que j'étais derrière elle dégoulinant de sueur... je l'ai vue dans le reflet de la vitre... Elle avait envie de se laisser aller contre moi, de s'abandonner, de se donner... Je lui aurai fait gicler le con rien qu'à le lui presser! Et aujourd'hui, aujourd'hui... C'est elle qui était sur l'escabeau, assez haut pour que je vois bien ses cuisses nues sous son tailleur, belles cuisses de rousse, la vache! Elle mouillait, je l'ai senti, j'ai du nez pour les chiennes... Elle a fait mine de tomber et je l'ai rattrapée, une main au hanche, l'autre main sur la jambe, au dessus du genou, je l'ai glissé plus haut et elle a frémit, rien dit, ta salope, juste achevé son geste en s'excusant, un putain de sourire aux lèvres, des lèvres à pomper des bites je te dis...
Je n'en peux plus et lui également... Il me pousse vers ses boules que je lape à grands coups de langue, j'en bave, merde, le chien de Pavlov ne saurait faire mieux... A table! j'embouche ses énormes couilles faisant fi de ses poils, cherchant la moiteur de la chair, ces coulées de sueur tiède, j'allonge ma langue autant que possible, le nez entre ses testicules, pour le choper par en dessous, là où tout est plus fort, là où c'est le meilleur... Il m'att la nuque et le cou et me retourne fermement, me fait glisser sous ses fesses...
M'y revoilà me dis-je sans savoir où je suis l'instant d'après, tant le lieu ne peut se décrire, tant je m'y perds de délice, lèvres et nez en avant, à me souiller, oui, me souiller à sa raie... à me damner toute langue dehors, hurlant silencieusement dans les profondeurs abyssales... Quelqu'un me tend la main, me saisit... Où? au bas ventre... ce membre, ma colonne de chair, est la seule chose qui palpite, me tient encore vivant... Et c'est branlé, étiré, empaumé que je reviens violemment à la réalité...
J'éjaculai puissamment et sentis dégouliner, alors que j'étais encore sous lui, des coulées de lave, son foutre qui ruisselait sur toute sa longueur, entre ses couilles, dans mon cou... Il avait profité de mon état second pour me défaire le pantalon et me mettre la bite à l'air, le salaud... J'étais dans une posture des plus indécentes et la porte du bureau pouvait s'ouvrir à n'importe quel moment... J'avais joui et j'en avais honte...
- Jamais elle ne couchera avec vous, lui avais-je lancé en reprenant mon souffle et me rhabillant à la hâte.
Lui-même renfila sa salopette avec un air conquérant, sûr de lui, et il me laissa là sans rien ajouter. Je ne savais pas si l'odeur était installée dans mes narines ou partout dans le bureau mais le regard de mon assistante à son départ était assez troublé. Avais-je gémi? Crié? Curieusement sur l'instant je m'en foutais. Ce qu'il m'avait dit sur ma femme me perturbait plus que le reste...
Quelques jours plus tard j'entendis une conversation de ma femme avec Viktor, avec qui elle prenait une nouvelle fois rendez-vous. C'était l'occasion de vérifier ses dires, et de voir à quel point... Si... Bref, ce qui se passait vraiment dans ses occasions.
Je m'organisai donc pour être sur place ce jour là, et guettai dehors son arrivée. Quand il s'avança dans la rue, je me dissimulai dans une porte cochère et le laissai passer devant. Il était vêtu d'un jeans moulant que la musculature de ses cuisses tendait au maximum. Et même à cette distance je voyais que son sexe y trouvait une place par défaut: il n'aurait rien porté que ça n'aurait rien changé!
Je m'engouffrai ensuite dans l'escalier pour ne pas perdre trop de distance avec l'ascenseur... A l'étage, Viktor sonna chez nous et ma femme sortit immédiatement, comme si elle l'attendait, pour traverser le palier. Elle était vêtue d'une jupe large et fleurie, plutôt courte, qu'elle réservait d'habitude aux sorties champêtre... Et d'un chemisier blanc dont les boutons démarraient assez bas entre ses seins... Elle faisait plus jeune et fraîche et ses joues rosissaient étonnamment, faisant ressortir ses taches de rousseur...
Quand ils rentrèrent sur le chantier j'en profitais pour me glisser dans l'appartement et me faufiler sur le balcon... La porte fenêtre de la pièce principale était ouverte et un arbuste siégeait à l'un des angles m'offrant une cachette acceptable... Je les entendais discuter... Puis les vis... Ils se faisaient face, à une distance inhabituelle... Ma femme toisait Viktor le menton relevé, d'un air de défi, mais le rouge au joues, et lui avait croisé les bras sur sa poitrine, façon monsieur Propre, même si on ne pouvait pas penser à ça en le voyant... Il la fixait, puis baissait les yeux sur son bas ventre, puis regardait à nouveau ma femme, haussait un sourcil, semblait l'inviter à baisser les yeux... Comment en étaient-ils déjà là!
Et ma femme baissa les yeux, accrocha la bosse qui déformait son pantalon de manière ostentatoire... Son jeans moulait son sexe comme pour une reproduction du modèle en série... Parfaitement. Et il avait des atouts indiscutables en forme comme en proportion... je le devinais à moitié bandé, son état le plus... attirant... Ma femme se trouva comme un lapin pris dans les phares, et lui en profita, ne bougea pas mais sortit son arme la plus terrible...
- Il paraît que vous ne coucherez jamais avec moi (j'en eus un vertige immédiat, le salaud!)... Trop bourgeoise, trop mariée, trop fidèle... C'est dur de me faire ça, bonne comme vous êtes... Vous avez vu l'état dans le quel vous me mettez? Oh je ne bande pas au maximum, je me retiens, pour rester un minimum décent... A moins qu'il n'y ait plus de place dans mon jeans? Ah ah... mais la chaleur... Vous la sentez la chaleur? je suis sûr qu'à cette distance vous la sentez... moi je vous sens en tout cas... Je sens ce qui se passe sous votre jupe... Vous avez sorti la tenue de printemps, vous êtes en fleur là en dessous, hein? Curieuse, avide de découverte, et excitée... je le sens... Vous ne coucherez jamais avec moi, mais vous avez envie d'en savoir plus... Vous m'avez vu nu, vous voudriez me toucher, là...
- Non, non...
C'était comme un murmure dans la bouche aux lèvres gonflées de ma femme... Mais elle ne le quittait pas des yeux, ce sexe qui se tendait encore...
- Rahhh vous me faites mal, je dois le libérer un peu, désolé (il accompagnait la parole du geste et lentement, défaisait sa braguette et le bouton de son jeans)... il faut qu'il respire un peu, il va ... (il portait un slip, et j'en fus surpris)... Oh vous sentez comme il respire? vous sentez comme il sent? (il ouvrait son pantalon pour libérer le sexe, faisait remonter le gland à la limite du slip, sans le découvrir, sur sa hanche...)... Oui, vous aimez comme il sent... Il sent l'homme, le mâle... Vous n'en avez jamais vu d'aussi gros, ça vous attire, ça vous fascine... vous aimeriez le toucher... et moi j'ai besoin d'être soulagé... ce n'est pas comme coucher, non, c'est juste toucher... Qui le saurait? qui le saura, hmmm ?
Ma femme haletait en silence, comme privée de souffle, elle tremblait sur ses jambes, et tandis qu'elle semblait perdre l'équilibre, il la saisit par le bras et la maintint debout, non sans dégager un peu plus son sexe enfermé dans son slip... Qui ne semblait pas de la première fraicheur - elle en eut une grimace d'effarement mitigé, entre répulsion et joie contenue... je ne la reconnaissais plus. Et lui changea de registre subtilement...
- Vas-y, vas-y ma belle, touche, palpe, sent cette densité, cette chaleur sous les doigts, tu vas voir c'est étonnant comme ça chauffe ces grosses bêtes là... (il lui prit l'autre main et la tendit vers sa queue de plus en plus raide...)... Oh tu vois comme elle réagit? tu lui fais de l'effet, touche, touche-moi, profites-en, fais toi plaisir...
Et ma femme obtempéra, avançant ses doigts timidement d'abord, puis tandis qu'elle attrapait entre trois doigts la forme dissimulée dans le slip, l'empoignant plus fermement, en poussant un soupir de soulagement... Elle l'avait en main, enfin, ça faisait l'effet d'une attente récompensée, et elle le palpait effectivement, en testait la fermeté, la souplesse, la raideur, et très vite le branlant à même le tissu, poussant un petit cri de surprise quand le gland, proéminent, presque violet, jaillit du slip fièrement, encapuchonné de peau... Elle soufflait maintenant, le branlait sur toute la longueur, jouait avec le prépuce pour mieux décalotter la bête, comme il disait... Lui s'avançait doucement, la faisant reculer contre le mur, jusqu'à ce qu'elle s'y adosse, sans avoir lâché l'engin, le tenant maintenant à deux mains, comme une avec un nouveau jouet, toute à sa joie d'avoir la plus grosse bite qu'elle avait jamais eu entre les doigts, bien décidée à en connaître tous les plis et contours... elle bascula la tête en arrière et ferma les yeux, elle sourit... la salope... Elle sourit de bonheur, sans perdre le fard qui lui envahissait les joues... Honteuse mais heureuse, ma femme, à branler ce salopard...
- C'est ça, tu vois? Tu aimes ça hein, ma salope... Montre moi tes nibards un peu plus, lui dit-il en déboutonnant les quelques boutons restants...
- Ne me parlez-pas comme ça, souffla-t-elle, offusquée...
- Tu trouves que ça manque de respect? tu te trompes, chérie, moi je respecte la chienne que tu es.. Parce que tu es chienne, regarde-toi les tétons tous dressés, à me caresser la bite, je te sens couler comme une fontaine là dessous... A quoi ça sert que je te parle comme ton mari, hein? Tu veux que je te caresse les seins, que je touche ton pubis ou tes fesses? C'est bon pour lui! Et apparemment ça ne te suffit pas si tu es là à me faire monter la sauce avec les doigts... Moi je te pince les nichons et je vais te palucher le con pendant que tu me branles, c'est ça qui t'excite... C'est ça que tu veux...
Et le voilà qui passe le bout des doigts sur le sexe de ma femme à travers la robe, vigoureusement, sans qu'elle l'ait lâchée pour autant... Elle proteste mais il ne change pas de rythme et la frictionne sans relâche... Elle pousse des râles excités comme je ne l'ai jamais entendu pousser, et le branle cette fois non plus pour le découvrir mais pour lui donner du plaisir au diapason du sien propre que je vois monter...
Mais il a d'autres projets... Il lui ôte son chemisier puis défait sa robe en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire... elle hoquète de surprise mais se transforme soudain quand il envahit son corps avec ses mains, la caresse de partout et fait vibrer ses chairs, lui tord les tétons entre pouces et index, lui passe une longue langue violacée dans le cou et se frotte comme un dogue enfiévré contre sa cuisse...
- Touche toi, touche toi ma salope... fais toi monter avec les doigts... astique-toi la chatte
Elle n'en peut plus et fourre sa main entre ses jambes, je vois sa toison pubienne briller sous le soleil rasant, et même l'intérieur de ses cuisses ruisseler... Elle n'en peut vraiment plus, ce n'est pas possible!
- C'est ça, c'est ça continue...
Il lui murmure des choses à l'oreille que je ne saisis plus, et elle réplique par des oui, des ahh, des encore... Il se débarrasse de son jeans et du tee-shirt tendu sur son ventre bedonnant, je vois son crâne chauve transpirer, ses yeux noirs enfoncés dans ses orbites la fixer comme un prédateur, il se penche légèrement et récupère son slip qu'il lui tend sous le nez, lui plaque sur la bouche, elle gémit plus fort et accélère la cadence entre ses poils, découvrant son clitoris enflé comme jamais entre ses lèvres gorgées de sang... Son corps pâle de rousse, sa chevelure qui flamboie presque, ses contorsions sous le plaisir me mettent dans tous mes états...
Il lui appuie sur les épaules, la fait s'accroupir le long du mur...
- Ecarte les jambes, reste ouverte, lustre-toi la chatte ma salope, vas-y... tourne la tête, sens, ouvre la bouche, c'est ça, reste les yeux fermés si tu veux, mais enfourne mon biberon, régale-toi...
Ohhh mon dieu pourquoi suis-je venu ici? Ma femme, cuisses ouvertes, sexe béant, la poitrine qui palpite sur son torse, plantée haut entre ses épaules de nageuse, et son beau profil, aux lèvres ourlées, qui gobe ce sexe hors norme, embouche ce gland turgescent... et lui qui se caresse dans sa bouche, joue de son prépuce sur ses lèvres, la rendant plus folle encore, lui balançant des petites giclées de liquide séminal jusque dans sa gorge, le trop plein de bave qui coule sur son menton... Leurs deux corps nus, la belle et la bête, abandonnés au plaisir... Elle va jouir, elle pousse des petits cris annonciateurs... mais là encore il l'arrête.
Il la bascule sur le matelas, l'allonge sur le dos et elle le regarde d'un air affolé, malgré tout obéissante, il se place à califourchon sur elle, la domine de toute sa masse, encadrant son visage de ses cuisses énormes, la menaçant de son ventre proéminent, mais c'est sa bite, ce bâton de chair comme une masse au dessus de son visage, au bout duquel un filament de mouille se balance vicieusement... Il le remarque et sourit, le dirige de la queue vers ses lèvres, et elle, rahhh je n'y crois pas, elle qui tend la langue pour le saisir au vol, l'aspirer comme un spaghetti avec l'air de faire un show...
- C'est ça, avale, tu vas faire mieux que ça ma salope, je vais t'apprendre comment faire pour aimer les hommes, les vrais...
Joignant le geste à la parole il lui enfourne le sexe dans la bouche, et ma femme écartèle les lèvres pour accepter son gland dans sa bouche, elle fait les efforts nécessaires et il franchit les amygdales pour s'avancer vers le fond de la gorge malgré sa taille... Il force le passage, lui bouche le nez pour l'aider, lui lime la gorge par à coups, progressant sans hâte mais surement... elle s'étouffe, éructe, il la libère et reprend, elle râle, soupire, gémit, il lui enfile le gosier comme un expert, prend appui sur ses mains et se tient au dessus d'elle, son visage ensevelit sous sa graisse, il commence vraiment à la baiser, comme si elle pouvait tout prendre, tout supporter, et de fait, après des minutes interminables, je me demande si ce n'est pas une heure, elle l'avale tout entier, crois-je voir de ma cachette, ses joues enflées, sa gorge distendue, la bave et la mouille se mêlant pour former un magma visqueux, sortant aussi de ses narines, les yeux cernés de noir tant le maquillage à coulé, mais elle s'applique... il l'a relevé un peu et s'est penché vers ses cuisses qu'il a relevé, et il la doigte sans retenue pendant qu'elle le dévore et s'empale sur son membre, il a trois doigts dans sa chatte qu'il secoue en elle, plaqué contre la paroi supérieure de son vagin, et son gros pouce lui presse le clitoris, avec des arcs de cercle savants... Elle prend son pied, oui, même sous l'effort incroyable qu'exige l'exercice de gorge profonde, que j'imagine elle fait pour la première fois - quoique je trouve qu'elle l'exécute plutôt comme une pro! Elle prend son pied et gicle comme jamais, des petits jets comme une fontaine de jardin exotique, incessants, et les doigts de Viktor qui la font clapoter à l'infini...
- Ahhh c'est bon, tu es faite pour ça ma chérie, pomper des grosses bites, faire plaisir aux hommes, les faire jouir et jouir dans le même temps, vider les couilles de tes amants à grands coups de langue et de fonds de gorge, oh... je vois mon sexe te déformer la gorge, c'est incroyable, elles sont rares les chiennes qui peuvent me prendre comme ça, il manque encore quelques centimètres, mais je te ferai tout gober, tu verras, je te prendrais de la meilleure des façons pour que tu aies mes couilles sur les lèvres et mon gland au bord de l'estomac, tu verras, tu vas adorer, tu vas venir chez moi pour que je te fasse le grand numéro, pour que je te baise par tous les trous, regarde moi ça, comme tu prends mes doigts, quatre maintenant, je suis sur que je peux te fister, et ton petit trou du cul qui s'écarte, il voudrait sa dose aussi, hein? tu voudrais ma main aussi dans ton cul, que je m'enfonce jusqu'à la garde, poing en avant, jusqu'au coude entre tes fesses à te transformer le con en geyser! Je vais te souiller comme une truie et tu crieras ton plaisir, je te le promets, mais en attendant, mouille le matelas ma salope, et prends mon jus...
Ce fut trop pour moi, je giclais dans mon slip sans même m'être touché, et trop pour ma femme également qui poussa un hurlement de bête étouffé dans les poils de Viktor, le foutre débordant du bord des lèvres, et sa chatte coulant de plaisir si abondamment que je crus qu'elle urinait... Viktor ne la lâcha pas, prolongeant les sensations au delà du supportable au point que les jambes de ma femme furent bientôt prises de convulsions... Il se dégagea alors - mon dieu quel boa sortant de la bouche de ma femme! puis se pencha lui-même haletant sur son visage, pour l'embrasser à pleine bouche, se délectant de bave visqueuse et de foutre, interrompant ses gémissements tremblants...
Ma femme quitta son abandon soudainement, refaisant surface et se rendant compte qu'elle était nue, ruisselante de plaisir, sous un homme bedonnant et chauve, couvert de poils et de sueur qui n'était pas son mari. Elle eut un air de dégoût affolé et fit mine de se dégager.
Je n'attendis pas la suite et m'enfuit par notre appartement. Je me faufilais sur le palier et malgré mon pantalon souillé, redescendit l'escalier jusqu'à la rue. Là, j'attendis que Viktor s'en aille... ce qu'il fit, fier de lui apparemment, quelques minutes plus tard. Ma femme avait du le mettre dehors rapidement. après-tout, j'étais censé rentrer bientôt... Le temps avait filé, la séquence avait duré deux heures, sans que je les vois véritablement passer.
J'allais prendre un café au bar du coin, masquant de ma veste la tache entre mes jambes. Puis je remontais et fis mine de rentrer d'une rude journée. J'allais à la salle de bain et y trouvais ma femme qui terminait de se changer. Je ne fis aucun commentaire et ne m'étonnais pas, après tout il lui arrivait souvent de prendre une douche après une journée de boulot. Mais là, il flottait dans l'air comme une odeur particulière et ma femme évita de m'embrasser sur la bouche. J'avais peur moi-même d'y sentir le foutre qu'elle avait avalé. Je me douchais à mon tour...
Nous avions tout deux des choses à nous reprocher - après-tout j'avais joué les voyeurs et jouis de voir ma femme baisé par un autre (j'en bandais à nouveau rien qu'à repenser à la scène) - aussi le repas du soir fut assez sobre côté discussion.
Par contre, ma femme se jeta sur moi au coucher, apparemment elle n'était pas aussi calmée que je le croyais. Nous fîmes l'amour assez brusquement, mais était-ce à cause de la violence des images qui nous occupaient l'esprit? La jouissance vint rapidement, et sans véritable plaisir. Je sentis ma femme un peu déçue et m'en excusait dans un murmure...
- Ce n'est pas grave, mon chéri... Je suis fatiguée de toute façon...
Et nous nous endormîmes en nous tournant le dos.
Ma nuit fut agitée, mon sommeil interrompu. Je n'arrêtais pas de repenser à ce qui m'était arrivé depuis ma rencontre avec Viktor, et où nous en étions à présent, avec ma femme dans l'histoire à présent. Je ne pouvais pas en rester là, il fallait que je fasse quelque chose pour enrayer l'escalade. Croyez-moi si vous voulez, ce fut le souci de préserver ma femme qui emporta ma décision. J'avais tort, mais je ne le savais pas encore...
Quelques jours plus tard, le samedi, je me présentais chez Viktor dans l'après-midi. J'espérais qu'il fut là. J'avais un peu de temps devant moi, ma femme allait rejoindre des amies de longue date, ce qui pouvait l'embarquer jusqu'à tard dans la soirée. Je pris l'ascenseur avec une certaine appréhension... Accepterait-il de me recevoir? Voudrait-il de moi? Car j'y allais pour ça, cette fois... Me donner à lui, cesser de le fuir, me donner pour sauver ma femme et faire cesser ce jeu...
Alors que je m'approchais de sa porte, à l'étage, j'entendis de la musique et ce que je pris d'abord pour des cris... J'hésitais mais seule la musique résonnait dans le couloir à présent. Je pris mon courage à deux mains et sonnais. Une minute plus tard - qui me parut interminable - la porte s'ouvrit en grand.
Viktor était dans l'embrasure de la porte, entièrement nu, cette montagne de chair et de poils ruisselant de sueur, le souffle court, cet air goguenard au visage en me voyant... et son sexe trempé de je ne sais quoi, campé comme une grappe de chair sur ses énormes couilles, tête en avant, prépuce à mi-gland, le méat juteux me fixant avec provocation... J'étais venu pour ça, et apparemment il était déjà en mains... J'en ressentis une jalousie immédiate, et faillis me mettre à pleurer... est-ce qu'il le sentit? Toujours est-il qu'il me fit mine d'avancer et me colla contre son torse, souleva son bras et me plaqua la figure dans son aisselle... Ma température monta de plusieurs degrés et mes oreilles bourdonnèrent... Mais je l'entendis malgré tout me parler tout bas ...
- Désolé, ma chérie, je ne peux pas, là... tu reviendras, tu reviendras et tu auras ce que tu es venu chercher, tu m'auras pour toi tout seul... En attendant...
Il me laissa le temps de me décoller de sous son aisselle, ce que je fis non sans l'avoir embrassé, puis il se dégagea de mon étreinte et attrapa un enveloppe dans le porte documents accroché au mur dans son entrée.
- Le concierge s'est trompé. Descends-donc lui rapporter cette lettre ...
Et sur un sourire ambigu il me referma la porte au nez.
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