Piscine : 1Ère Rencontre

Comme tous les mardis après-midi, je vais à la piscine après le travail. Je tiens à garder la forme. J’ai 25 ans, 1m82, brun, les yeux verts, 76 kg. Je mets mon maillot de bain dans les vestiaires (ce sont des vestiaires individuels qu’on ferme depuis l’intérieur) et me dirige ensuite vers les douches. Il y en a une petite dizaine et sont mixtes. Une fois propre, je peux enfin passer par le pédiluve avant de rentrer dans le grand bassin. L’eau est à environ 25°C et il n’y a pas grand monde, parfait pour faire ma série de longueur. Je mets mes lunettes sur mes yeux et c’est parti !
Commence alors les allers-retours d’un bout à l’autre du bassin. Pendant ce temps, mes pensées se perdent et j’aime observer les autres personnes nager. Il y a les personnes âgées qui nagent pour entretenir leurs muscles et leurs articulations, les bandes de copines qui discutent où elles ont pied, et les autres nageurs comme moi. Il m’arrive parfois de me retrouver derrière des femmes et là, mes yeux se fixent presque automatiquement entre les jambes de ces dernières. Je m’imagine ce que ce maillot de bain peut bien cacher…
Au bout de 40 longueurs, je m’aperçois qu’il y a une nouvelle personne dans la piscine. Une femme d’environ 35-40 ans, plutôt grande, un peu ronde, brune avec un maillot de bain une pièce. Je remarque tout de suite que sa poitrine a l’air magnifique, grosse comme j’aime. Elle a un petit ventre, des fesses bien rondes et rebondies. Bref, c’est le genre de femme que j’adore et qui m’excite au plus haut point. J’en profite pour faire une pause et pour la regarder. Elle entre dans l’eau lentement en jaugeant la température puis s’immerge totalement. Là, elle me regarde, il faut dire que ça fait maintenant presque 2 minutes que je ne l’ai pas quittée des yeux. Elle me fait un petit sourire et commence à nager. En ayant bien vu son visage, je me souviens l’avoir déjà vue la semaine dernière à environ la même heure.
Ayant récupéré de mes longueurs précédentes, je reprends ma nage.

Je suis derrière la femme et peut regarder ses jambes s’ouvrir et se fermer à mesure qu’elle nage la brasse. Cette vision commence à me donner des idées et je sens ma queue grossir dans mon maillot de bain… Je double la femme et recommence à nager à un bon rythme, mais dès que je me retrouve derrière elle, c’est reparti pour mater son sexe caché par son maillot de bain. Je me rends compte que ça fait très « mateur » mais mes yeux sont obnubilés par ce spectacle. Quand nous nous croisons, je laisse trainer ma main qui touche la sienne, et cela plusieurs fois de suite. J’ose même toucher une de ses fesses en la doublant. La, je m’excuse et elle me répond toujours avec son petit sourire que ce n’est pas grave du tout. Je commence à penser que je lui plais peut-être un petit peu.
Ma belle s’arrête de nager et reste un petit moment à l’endroit du bassin où on a pied. Je suis de l’autre côté et je reviens vers elle en nageant. Quand j’arrive à environ 10 mètres d’elle, je suis surpris de voir sa main au niveau de son entrejambe sous l’eau. Elle écarte son maillot de bain et se caresse doucement le clito. Moi je n’en perds pas une miette et essayes de nager le plus longtemps possible sous l’eau. Mon sexe redevient dur d’un coup. Arrivé à côté d’elle, je fais moi aussi une pause.
Elle me dit « C’est fatiguant de nager, et mon maillot me gêne. Ça serait tellement mieux de nager toute nue, vous ne trouvez pas ? »
« Oui, je suis d’accord, mais si nous étions tous nus, je serai obligé de vous regarder et je ne pourrai plus nager » répondis-je.
« C’est bien le but. » La, elle passe rapidement sa main sur mon sexe dur par-dessus mon maillot pour que personne ne voit son geste.
« Eh bien, on dirait que vous n’avez pas attendu pour me mater. Sur ce, je vais prendre ma douche, un peu de compagnie me ferait plaisir, si vous voulez me rejoindre… »
Et la, elle sort de l’eau par l’échelle en cambrant bien ses fesses devant mes yeux. J’ai envie de la suivre mais si je sors dans cet état là, tout le monde va voir que je bande ! J’attends donc quelques secondes le temps que la taille de mon sexe redevienne acceptable, je sors de l’eau, récupère ma serviette et mon gel douche et rejoins les douches.
La femme était sous l’eau, en train de rincer le shampoing qu’elle avait dans les cheveux.
« Ah, vous êtes enfin là, vous aimez vous faire attendre »
« Pour ma défense, je ne pouvais pas sortir de l’eau avec l’état dans lequel vous m’aviez mis »
« Je n’ai rien fait pour vous mettre dans cet état la » dit-elle se rapprochant de moi pendant que je me lave. Elle repasse sa main sur mon maillot ce qui a pour effet de me refaire bander d’un coup.
« On dirait que je vous fait de l’effet, et qu’est-ce que ça vous fait si je fais ça ? ». La, elle sort sa poitrine de son maillot de bain. Je reste scotché devant ces seins gros, lourds, ces gros mamelons avec des tétons qui pointent. Je ne peux m’empêcher de les saisir dans mes mains toujours pendant qu’elle caresse ma bite plus dure que jamais par-dessus mon maillot. Je les pétris, les lèche, les suce ! Elle commence à pousser des petits gémissements en me demandant de continuer. A mon tour maintenant de poser ma main sur son maillot entre ses jambes. J’exerce une forte pression tout en la caressant, je glisse mes doigts sous son maillot afin de toucher sa chatte, entièrement épilée, chaude et mouillée à la fois. Elle sort maintenant mon sexe de mon maillot et commence à me branler.
« Quelle jolie bite, je me demandais depuis un moment à quoi elle ressemblait. Tu sais, après être allée à la piscine la semaine dernière et t’avoir remarqué, je me suis touchée dans les vestiaires en pensant à toi, je me suis doigtée jusqu’à l’orgasme en imaginant ta queue dans ma bouche et en train de me pénétrer. »
Au même moment, j’ai entendu des bruits, des gens qui s’approchent des douches. On a vite rangé ce qu’on avait sorti avant qu’ils ne puissent nous voir. Ma bite toujours dure faisait toujours une grosse bosse dans mon maillot, je me mis donc dans le coin de la douche pour que personne ne le remarque.
La femme sortit de la douche, prit ses affaires dans son casier et alla dans un vestiaire sans fermer la porte en me faisant signe. Je pris ma serviette que je mis devant mon sexe, récupéra également mon sac dans mon casier et la rejoignais. Elle avait déjà enlevé son maillot et était en train de se caresser assise sur le petit banc. Je ferme la porte à clé cette fois-ci avant de me déshabiller également. Elle s’empresse de saisir ma bite dans une main tout en continuant de se caresser et approche sa bouche de ma queue. Elle lèche tout d’abord ma bite sur toute sa longueur, de bas en haut avant de titiller mon gland gonflé avec sa langue. Pendant ce temps, j’occupe mes mains en reprenant mes caresses sur ses seins. Je fais tourner mes doigts sur ses tétons durs, malaxe ses seins. Elle ne perd pas de temps non plus puisqu’elle me prend dans sa bouche. Le contact de ses lèvres sur ma bite est tellement bon. Je crois que jamais ma bite n’a été aussi dure. Je continue mes caresses en me baissant un peu pour atteindre sa chatte. Je passe mes doigts dessus et elle est trempée. Pas trempée d’eau mais de mouille. Elle me dit « Tu as vu à quel point tu m’excites et tu me fais mouiller. Ta bite est tellement dure, j’ai hâte de la sentir en moi ». Et là, elle me prend entièrement dans sa bouche. Mon sexe mesure quand même 18cm, mais ça n ‘a pas l’air de lui poser de problème, elle doit aimer faire des pipes. Pendant qu’elle se délecte de ma queue, j’enfonce un doigt à l’intérieur de son antre. Elle est tellement chaude et humide, je ressors mon doigt et le mets à ma bouche. Sa mouille est particulièrement bonne, ça me donne très envie d’elle. Ma belle nageuse continue de me sucer de plus belle en me caressant tantôt les boules tantôt les fesses avec son autre main. Elle s’y prend tellement ben que je sens que je ne peux plus me retenir ! Elle le sent elle aussi et me branle encore plus vite et plus fort en me disant « Donnes moi tout ton sperme chaud, si tu savais comme j’en ai envie ». Je me laisse alors aller dans ma jouissance, mon jus sort de ma queue au rythme de ses contractions. J’admire le spectacle de mes jets puissants allant dans sa bouche et sur son visage. Je ne devais pas faire trop de bruit pour que les personnes dans les vestiaires voisons ne nous entendent pas. Jamais une telle quantité de sperme n’était sortie de ma queue en une seule éjaculation. Elle se délectait de mon jus, suçant ma bite jusqu’à la dernière goutte.
« Eh bien, tu avais les bourses bien pleines, j’adore le gout de ton sperme, j’en avais tellement envie »
« Oh moi aussi j’avais tellement envie que tu me suces. Laisses moi te rendre la pareille en attendant que je retrouve de l’énergie pour te prendre ».
Et la, je me suis mis à genoux et lui ai littéralement dévoré la chatte. Ma langue passait sur ses lèvres et sur son clito pendant que 2 de mes doigts exploraient l’intérieur. Je m’appliquais bien à caresser chaque millimètre carré de ses parois vaginales en variant la pression de mes doigts, ma langue titillait son clito plus ou moins vite. Je la sentais bouger de plus en plus, sa respiration était forte, elle se caressait les seins en me suppliant de continuer, de lui enfoncer un doigt en plus ce que je fis de suite. L’orgasme ne mit pas longtemps à venir comme ça, mes doigts allant de plus en plus vite et de plus en plus loin, ma bouche aspirant son clito. Elle se contracta en laissant échapper un râle de bonheur, elle était prise de légers spasmes. Quand elle récupéra ses esprits, elle se leva et m’embrassa à pleine bouche. Je mis mes mains sur ses fesses pour la coller contre moi. Elle se rendit compte que ma bite avait retrouvé toute sa splendeur, elle se tourna, mit ses mains sur le banc en me présentant ses fesses et me dit « Défonces moi comme jamais je n’ai été défoncée, je veux sentir ta grosse bite entrer et sortir de moi ».
« Il ne faut pas me le dire 2 fois » dis-je en lui écartant les fesses. Je la prends d’un coup, sa chatte est déjà trempée. On lâche un râle de plaisir en même temps en sentant nos sexes ne faire plus qu’un. La vision de ma queue entre ses deux fesses me donne envie de la prendre encore plus fort. Mes mains attrapant ses hanches, je la défonce littéralement, je donne tout ce que j’ai, le bruit ne nous importe plus tellement nous sommes excités, pourtant nos corps cognant l’un contre l’autre doivent en faire du bruit ! Je continue de la prendre bien fort et vite, elle se met à caresser son clito en même temps.
« Oh oui, fais moi jouir mon cochon, fais moi jouir avec ta queue ».
Et la, elle a encore eu un orgasme, encore plus puissant que le premier. Cette fois-ci, elle a poussé un hurlement, c’est sur que d’autres personnes l’ont entendue.
Je calme le jeu en sortant ma bite en en caressant alternativement sa chatte et son trou du cul que je devine non vierge.
« Tu as déjà été prise par la petite entrée ? »
« Oh oui, et j’ai très envie de sentir ta belle queue dans mes entrailles. Ma chatte est encore toute tremblante de ce que tu viens de me faire mais mon cul est jaloux ».
Je penche mon visage sur ses fesses, ma langue vient à la rencontre de son anus. Je le lèche, lâche de la salive dessus avant de l’étaler avec mon sexe. Je pose mon gland sur son trou et l’enfonce tout doucement, elle se dilate très bien ma jolie nageuse. Je continue jusqu’à ce que ma bite ai complètement disparue. Son cul est plus serré que sa chatte, ma bite frotte bien les parois de son anus, nous apprécions tous les deux cette sodomie, je l’entends dans sa respiration. Je la lime bien fort maintenant, son anus est totalement dilaté, et là je n’en peux plus, je me décharge une deuxième fois en claquant bien mon bas ventre contre ses fesses. Ma bite la remplit encore de sperme, j’ai l’impression que ça ne va pas s’arrêter. Quand je commence à débander, je me retire et observe mon jus sortir de son petit (gros ?!?) cul et couler sur sa chatte. Elle pose sa main dessus et l’étale partout sur sa chatte.
« C’est malin, je suis bonne pour reprendre une douche chez moi maintenant »
Nous nous rhabillons tous les deux et attendons que la voie soit libre pour partir sans que personne ne nous remarque. Nous rentrons chacun chez nous, sans s’être dire au revoir jusqu’au mardi prochain bien sur…
Nous nous fréquentons régulièrement depuis et avons vécu d’autres histoires que je vous raconterai plus tard…