Marc L'Invité Surprise (Suite De La Piscine)
Cest lété, il fait beau et chaud, je rentre à la maison, et je retrouve ma femme Catherine toujours aussi jolie avec ses grand yeux verts, son mètre 60, son corps voluptueux et généreux. Elle est habillée de sa petite robe bleue, qui met ses formes en valeur.
Elle sapproche, s membrasse tendrement, je ne peux mempêcher de la prendre dans mes bras, de laisser mes mains, se promener sur ses hanches, ses seins, ségarer sous sa robe, le long de ses cuisses, jusquà son sexe que je caresse doucement à travers sa culotte .
Elle se laisse faire, elle sabandonne, son tendre baiser, se transforme en baiser fougueux. Elle presse son cops contre le mien, elle avance son pubis pour appuyer son clitoris plus forts sur mes doigts qui sont passés sous la fine dentelle, et la masturbe fermement.
Elle mouille, de ma main libre je fais glisser, sa robe je défais le soutien gorge, et je descends doucement en la couvrant de bisous, jusquà sa chatte. Elle sappuie au mure les cuisses légèrement écartées, pour que ma langues puisse accéder à son intimité. Je la lèche, minsinue à travers ses lèvres, la pénètre, remonte titiller son petit bouton tout gonfler de plaisir. Elle gémit, me presse sur la tête, me guide par la parole en me disant ses désirs :
Vas y lèche moi, fort, mets ta langue dans ma chatte en feu, bois ma mouille, aspire mon clito. Donnes moi du plaisir ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je jouis mon chéri, oh cest bon, oui encore ta langue, oui comme ça, comme ça ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Et elle jouit dans un dernier sursaut et me plaquant avec ses mains la tête sur son entre jambes trempée
Je me relève, elle me fait un léger bisous, mentraine dans le salon, se couche sur le canapé, en écartant les cuisses sans pudeur et en se caressant. Elle me dit : sautes moi. En un clin dil je suis nu,
je mallonge sur son corps chaud et offert, je la pénètre , nos bouches se retrouvent et nous faisons lamour, lentement en douceur, mes mouvements sont lents, puis rapides, puis de nouveau lents.
Après quelques instants de récupération, nous nous séparons. Elle se lève en disant : eh bien toi tu ne perds pas de temps, à peine arrivé, comme ça sans rien dire tu me sautes,
Moi : tu veux que je te dise, cétait super, et jai invité un nouveau collègue, qui est seul en ce moment car sa femme est partie chez ses parents, à diner mercredi prochain, il sappelle Marc. Voilà je tai tout dit après tavoir tout mis.
Le mercredi suivant , 19h30 tout est prêt, il fait toujours aussi chaud, Catherine est ravissante dans sa robe, très décolletée, moulante et courte. Marc est en retard, jai chaud jai soif, en lattendant je bois une bouteille de rosé, quand il arrive, vers 20H15, je suis déjà à moitié pompette.
Il sonne, ma femme va lui ouvrir, avec un large sourire, qui disparait très vite, quand elle découvre, derrière le magnifique bouquet de fleurs des champs, Marc, lhomme qui la sauté cet hiver dans les douches de la piscine municipale. Lui aussi est très surpris,
Je fais les présentations, mais très vite je maperçois que Cathy nest pas dans son état normal, et Marc nest pas à la discussion, son regard narrête pas de se tourner vers Catherine. Qui je dois le dire est magnifique.
Je décide donc den avoir le cur net.
Dabord je place Marc à coté de Cathy à table, je les observe, il me semble que parfois ma femme se raidie. Cest le moment ou la main de Marc est sous la table, il doit lui caresser les genoux.
Pour parfaire mon plan, jai continuer de boire (avec modération), ce qui fait quavant le dessert, je maffale dans un fauteuil et fait semblant de mendormir (je peux vous faire croire que je dors, mais je nai pas les paupières complètement fermées, 3 millimètres suffisent pour louverture et la vision est excellente).
Dans cette position je vois tout.
Cathy reviens avec les desserts, Marc revient des toilettes, ils me voient dans cet état, Cathy me secoue, me dit que je ne suis pas sérieux devant notre invité, qui cest assit à sa place et qui dit doucement : ce nest pas grave, nous allons prendre le dessert tous les deux, viens tasseoir .
Elle retourne à sa place en disant je suis désolé
Marc :moi je ne le suis pas trop, nous allons pouvoir discuter un peu tous les deux.
En disant cela, il se rapproche delle lembrasse tendrement sous loreille, et sa main passes lentement sous la robe.
Elle se recule en disant : ça ne va pas, vous êtes mariés, je suis mariée et en plus mon mari est juste là
Marc : cet hiver à la piscine, tu nas pas résisté longtemps, et dis moi que tu nas pas pris ton pied dans les douches et jarrête tout de suite de tembêter
Cathy : cet hiver cétait cet hiver, maintenant cest maintenant, et Alain est juste là, si il se réveille tu imagines la situation
Marc : en se levant pour venir vers moi et me secouer en criant mon prénom Alainnn, Alainnn.
Je ne bronche pas à part un léger grognement
Marc : tu vois même si la maison seffondrait il ne se réveillerait pas, alors on peut faire, quelques galipette, il ne va rien voir. En plus ça mexciterait de faire ça devant lui, pas toi ?
Il sétait de nouveau rapproché delle, il se pencha, lui pris la tête entre les mains et lembrassa tendrement, en lobligeant à se lever.
Tout en lui tenant la tête dune main pour ne pas interrompre, le baiser, de lautre main il fit descendre les bretelles de la robe, qui glissa au sol.
Cathy dans un dernier effort pour résister se recula, dit non je ne peux pas faire ça. Elle buta sur le canapé sur lequel, elle tomba à la renverse.
Marc sans précipitation mais avec une certaine fermeté, lallongea sur le divan, lembrassant dans le cou, lui caressant les seins, les épaules.
Ses baisers lamenèrent jusquà son ventre, elle respirait fort, elle aimait ses caresses, sa bouche glissa sur la culotte, il lui écarta les jambes, et continua de lembrasser sur les cuisses.
Il sarrêta, sur le sexe quil embrassait à travers le fin tissu.
Il passa les mains sous ses reins, quelle leva pour faire glisser la dentelle, et de nouveau sa bouche pris possession de son antre en feu. Sa langue descendait remontait le long de ses lèvres, il suçait le clitoris gonflé de plaisir. Cathy les yeux fermé savourait en gémissant les caresses.
Tout à coup il sarrêta, en disant : masturbes toi pendant que je me déshabille. Lair un peu déçue, elle sexécuta, et commença à se frotter la chatte.
Une fois nue, il la regarda, en se caressant lui aussi. Son sexe était long et légèrement courbé. Il se rapprocha de sa bouche, quelle ouvrit pour le recevoir.
Il lui dit : continue de te masturber donne toi du plaisir,
Et il commença à se servir de sa gorge comme dun sexe. Je voyais sa bite entrée et sortir, doucement, puis rapidement. Il lui tenait la tête fermement,
Elle se caressait de plus en plus fort
Marc : je vais jouir dans ta bouche
Cathy (la bouche pleine) : non sur mon visage
Mais il est trop tard, je le vois dans un dernier sursaut se raidir, lui maintenir la tête, et crier son plaisir.
Cathy na pas jouit, elle a cessé de se branler pour essayer de se dégager, mais na rien pu faire.
Elle se dégage en disant : tu es un salaud, je ne voulais pas. Jen ai plain la bouche
Marc avec le sourire : embrasses moi et donnes moi un peu de ma giclée.
Cathy en colère : non, tu peux partir maintenant, tu as eu ce que tu voulais, tu as jouis, cest bon.
Elle se lève, en regardant dans ma direction pour voir si je dors encore.
Marc : tu nas pas jouit toi ?
Cathy : ce nest pas grave, tire toi.
Il shabille, ils ne se parlent plus, elle le raccompagne à la porte , il essaie de lembrasser, mais elle esquive, elle referme.
Cest le moment que je choisis, pour me réveiller.
Elle est surprise, et moi je feins la surprise, de ne plus voir Marc et surtout de la trouver entièrement nue.
Moi : il sest passé quelque chose pendant que je dormais
Cathy embarrassée : il ma fait des propositions, il ma fait du chantage est elle me raconte tout, la piscine, la soirée
..
Je me suis rapproché delle, je bande comme un taureau, je la prends dans mes bras, lembrasse tendrement
Cathy : tu ne men veux pas
Moi : non mais tu vas quand même devoir te faire pardonner
Cathy : fais de moi ce que tu veux mon amour
Elle se baisse défait mon pantalon et mengloutit, après quelques instants, dune pipe de rêve, je la relève, la retourne, en lembrassant dans le cou et en lui caressant les seins à la peau si douce, je la force délicatement à se pencher en avant. Elle prend appui sur le dossier du canapé. Je lui demande de se cambrer un maximum. Elle a compris je vais la sodomiser.
Cathy : tu es vache de me faire ça, mais je ne peux pas te le refuser. Fais doucement.
Jhumidifie son petit trou, avec de la salive. Je prends mon sexe en main et je commence à forcer létroit passage qui na pas beaucoup servit.
Cathy me guide par la parole : doucement, avance un peu, ton gland est rentré, ce nest pas trop douloureux, va doucement, je sens tes couilles contre mes fesses, tu es au fond, tu es bien ?
Moi : oui cest délicieux cest serré, je vais jouir
Cathy : bouge mon chéri fais toi du bien, je vais me caresser
et je vois sa main droite se diriger vers son entre jambe
je commence par des coups de reins lent et régulier. Je regarde ma bite sortir et entrée. Elle se détend, je vais de plus en plus vite
Cathy qui va jouir sous ses caresses mencourage : vas y défonces moi, cest bonnnnnnnnnnnnnnn. Encules moi profond, défonces moi le cul, comme tu défoncera le cul de la femme de ce salaud de Marc
Moi en jouissant : oui mon amour, je te vengerai. Jenculerai sa femme
Et je jouis en même temps que Cathy en giclant au plus profond de son intimité.
Après une bonne douche, et une bonne nuit de sommeil, nous avons trouver une date pour inviter Marc et sa femme Christine.
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