Mes Séances Chez Les Séniors

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J'ai appris à 20 ans d'être ce que mon Maître voulait ce que je sois, c'est à dire un bon soumis obéissant et disponible. J'ai été dressé pour satisfaire des séniors. Cinq d'entre eux ont mon numéro de téléphone et me contactent pour m'utiliser comme bon leurs semble.
Une fois par mois nous sommes tous réunis chez mon Maître et je suis là pour les soulager. Ma jeunesse et mon tempérament de soumis les font vibrer et n'allez pas me dire que les soixantenaires sont inactifs. Bien au contraire ! En plus d'être encore vert, ils sont vicieux et arrivent encore à me faire rougir.
Au cours de ces séances je me déshabille entièrement, mon Maître enlève ma cage de chasteté sans avoir le droit de toucher mon sexe rasé et j'attends les ordres. En général ils commencent par se moquer en m'humiliant car, après un mois de sevrage je bande de suite dés qu'on me libère.
Maître récupère un lacet sur mes chaussures puis me ligature les testicules avec. Il sert assez fort pour me les faire devenir rouges et douloureuses. Ainsi il montre sa supériorité en me faisant comprendre que je lui appartiens. Il me considère comme étant son esclave en me faisant faire des choses devant ses invités qui me rabaisse, mais au fond de moi, je dois dire que j'aime ça même si parfois c'est très humiliant. Il m'a dressé pour que je devienne sa chienne et il y est très bien arrivé.
J'ai un collier de chien autour du cou et c'est en laisse qu'il me promène devant une dizaine de jambe et moitié moins de sexe que je dois honorer chacun leur tour. Maître reste habillé, il se resèrve pour la fin. D'abord il fait plaisir à ses invités. Certains ont quittés le pantalon et le slip, c'est ceux-là qui ouvrent le bal. Ils font de moi ce qu'on fait avec les oies, ils me gavent !
A genoux, les mains dans le dos toujours tenu en laisse par Maître je me laisse faire, je suis là pour ça.

Les sexes n'ont pas toutes la même taille et les plus longs me titillent la glotte. On m'étouffe à moitié, je bave, je déglutis, cela ne les empêchent pas de continuer. Puis, les premiers servit passe derrière pour me prendre l'orifice anal pendant que d'autre sont toujours devant. Je me fais traverser de part en part en ayant l'impression que les sexes vont se rejoindrent au mileu. Je suis tenu par les hanches, par la tête et par la laisse. Je me tiens comme je peux pour ne pas m'écrouler sous les assauts et je ne contrôle rien.
Tous y passe sous l'oeil attentif de Maître qui les encourage ;
"- Allez y les gars, faite vous plaisir ma chienne est là pour vous. Secouez-là n'ayez pas peur de la démonter, vous savez qu'elle aime ça et qu'elle est là pour vous !"
C'est pas faut. Malgré le redoublement des assauts de part et d'autre, je prends mon pied. Quand je pense que mes parents me croient entrain d'être avec mes copains, enfin d'autre copains, les pauvres ! S'ils savaient que leur fils chéri sert de vide couilles à une assemblée d'hommes murs, ils auraient une bien piêtre opinion à mon égard !
Viens le moment de la purge. Je me repositionne à genoux ouvrant la bouche pour recevoir ma récompense et les hommes viennent l'un après l'autre se masturber devant. J'ai le droit d'avaler qu'une fois le dernier passé. Je montre ma bouche pleine de sperme à tous puis j'avale. J'aime le foutre depuis toujours. C'est du nectar en tube !
Rassasiés, épuisés ils vont s'assoir pour reprendre leurs esprits. Moi je passe dans les mains de Maître, pour moi ce n'est pas fini. Comme à chaque fois, une fois par mois, il veut me punir pour mauvais comportement. Il me relève, enlève ma laisse, je me positionne devant la table, je pose mes mains dessus, j'écarte mes jambes et je sers les dents car ce n'est pas le moment que je préfère. Je comprends qu'il me punisse, je n'ai pas un comportement des plus classique. Après tout je ne suis qu'une chienne ! J'obéis.
C'est une vingtaine de coup de martinet que je reçois sur les fesses. Entre chaque coup je dois le remercier. Les autres ont mal pour moi. Les cinq derniers sont les plus douloureux car il frappe fort. Si je bouge il m'attache et recommence à zéro. Ce n'est arrivé qu'une fois. Maintenant je ne bouge plus. Pendant qu'il frappe il m'envoit un flot d'insultes très cru et me fait comprendre que c'est lui le Maître. Une fois la punition terminée je m'agenouille et je le suce en signe de remerciment et de respect. C'est seulement après avoir bu son nectar qu'il m'enlève le lacet sur les testicules et m'autorise une branlette devant la troupe et dés que le sexe est au repos il me repose ma cage de chasteté. Une fois équipé je m'habille, je leurs dit au revoir, j'embrasse les pieds de Maître et je m'en vais.