Samir, Ou Une Chasse Ordinaire
Cétait pourtant un jour comme un autre. Un vendredi soir comme un autre, même. Le soleil des dernières belles journées de septembre brillait encore. La fac avait repris, la routine avait repris. Les deux mois de vacances avaient filé à une vitesse impressionnante.
Je sursautais lorsque mon téléphone sonna. Et après avoir échangé quelques paroles avec mon interlocuteur, je décidais daccepter daller à cette soirée. Je ne connaitrais personne, mais bon, cétait loccasion de tisser quelques liens, de danser, de mamuser un peu.
J'entrais dans une grande maison et suivis la propriétaire des lieux jusquau garage doù émanait des rires et de la musique.
Dans le garage, il devait y avoir une quinzaine de personnes tout au plus. Plus de filles que dhommes, et aucun nattira mon regard. Finalement, ce ne sera peut être pas une partie de chasse ce soir, pensais-je. Je saluais rapidement lensemble du groupe.
La porte grande ouverte donnait sur un petit jardin, où quelques gars fumaient, accompagnés de quelques filles. Lodeur de chicha.
Je rentrais à lintérieur du garage et maffalais sur le canapé, canette de coca entre les doigts.
J'écoutais distraitement la musique, lorsquun homme entra dans la pièce. Grand, baraqué, un bel arabe. Lui, il me plaisait. Je lui souriais, avant de me glisser dans un groupe où javais aperçu quelquun de ma connaissance.
Entre les danses et les discussions, le temps passait rapidement. J'avais chaud.
Je délaissai mon partenaire de danse pour prendre lair dans le jardin.
Appuyée contre le mur, je vis lentement se mouvoir une silhouette. Je souris en découvrant mon bel inconnu.
« Samir » me dit-il en me tendant une canette de boisson énergisante.
J'attrapais la canette, en profitant du contact de sa main, en lui demandant pourquoi venir me voir.
« Tas beaucoup dansé, tu dois avoir soif
»
La lumière du garage éclairait ses traits.
Je posais la canette par terre et attirait lhomme contre moi.
Délicatement, je posais mes lèvres contre les siennes. Il ne réagissait pas. Japprofondissais le baiser.
Il céda enfin. Nos langues se mêlaient et semmêlaient. Il était à la fois doux et fort. Cétait bon.
Je me plaquais contre lui en étouffant un gémissement. Je sentais sa bite devenir dure contre moi. Sa main me caressait les fesses. J'avais envie. Envie de lui. Envie de jouir. Envie de le sentir en moi.
Jinterrompis le baiser.
« Tu connais la maison ? » soufflais-je.
« Un peu
»
« On trouve un endroit sympa ? »
Il me répondit pas, mais mattrapa la main en me trainant à lintérieur.
On se retrouva dans un bureau, la porte close. Juste nous deux. Il me plaqua contre le mur proche de la porte, en menserrant de ses bras.
Jembrassais doucement son cou, entre sa barbe et son t-shirt. Il gémissait doucement.
Samir menleva rapidement ma chemise, puis mon soutien gorge. Je fis passer son t-shirt au dessus de sa tête admirant son torse dessiné.
Je caressais toute sa peau apparente, alors que lui me suçait langoureusement les tétons. Je rejetais la tête en arrière, profitant de linstant.
Je défaisais alors son jean, laissant apparaitre une belle barre dans son boxer. Je massais doucement ce sexe tendu.
Il poussa un grognement de satisfaction, alors quil se baissait pour finir de retirer son jean.
Lentement, il déboutonna la braguette de mon jean. Puis, il passa sa langue au dessus de mon shorty.
Que cétait bon !
Il enleva mon dernier vêtement. Jétais nue devant lui. Il était nu devant moi. Ce que javais envie !
Il replongea sa tête dans ma chatte.
De sa main, il écartait mes grandes lèvres. Je sentais son souffle chaud sur ma vulve. Je nen pouvais plus. Je plaquais sa tête contre mon intimité.
« Lèche moi ! »
Sa langue entra en contact avec mon clito. Un râle de plaisir méchappa. Sa langue sinséra dans mon vagin détrempé, alors quil titillait mon anus de sa main libre. Je sentais ma mouille séchapper de ma chatte. Je lencourageais en poussant des gémissements de plus en plus sonores.
Sa langue appuyait sur mon clito, deux doigts jouaient avec mon vagin, un autre élargissait ma pastille. Je sentais mon corps se tendre. Jallais jouir.
Pressentant ma jouissance, il stoppa son cunnilingus. Je grognais de frustration.
« Continue ! Je vais jouir ! »
Il lapa mon intimité avant de sarrêter de nouveau.
Je le repoussais au sol. Je lui enjambais la tête, plaquant ma chatte trempée contre sa bouche, alors que je me positionnais en 69.
Son sexe était beau. Pas très long, mais large. Je le prenais en bouche. Je le suçais lentement en lui massant les boules. Puis jalternais les va et viens longs et profonds et les plus rapides. Il gémissait autant que moi.
Sa langue dans ma chatte faisait des miracles. Jallais jouir. Le va et vient de ses deux doigts dans mon sexe combiné à sa langue sur mon clito me fit me cambrer en hurlant.
« Oui ! Oui ! Oui ! Je jouis ! »
Je le suçais de plus en plus vite. Il gémissait. Je sentis sa verge se contracter dans ma bouche. Puis dans un râle, il éjacula.
On se releva doucement. Il était toujours raide. Je lentendis mettre une capote. Puis, il me poussa contre la porte, inséra trois doigts dans ma chatte avant de me pénétrer dune traite.
Mes chaires sécartaient alors que sa bite me transperçait, provoquant un gémissement de bien être. Il me pistonnait doucement puis de plus en plus rapidement.
Jétais pleine de sa bite. Je voulais quil senfonce loin, encore plus loin. Tous ces mouvements me faisaient gémir.
Jaimais cette bite qui me pénétrait fort. Jaimais le claquement de mes fesses contre son bassin. Jaimais me faire prendre.
Samir me décolla du mur pour me déposer sur le bureau. Les jambes écartées, la chatte luisante de mouille, une bite dans le vagin, jétais indécente. Jétais indécente, mais cétait jouissif.
Il se ré enfonça violement en moi, me tirant une longue plainte. Il me besognait avec vigueur, avec puissance. Il était au fond de ma chatte. Il me faisait un bien fou.
Mon bel inconnu se pencha vers moi, je tendais les lèvres vers lui. Nos langues se mêlaient. Sa verge me faisait jouir. Jétais bien.
Poursuivant sa pénétration intense, il commença à jouer avec mon clito. Ses deux doigts dessus le massaient dans tous les sens. La pression quil exerçait dessus, ses coups de rein, je ne tarderais pas à jouir.
Javais la chatte explosée par sa grosse bite. Javais le clito énorme. Je sentais cette boule de jouissance monter de mon bas ventre de manière irrémédiable.
Il me pénétrait violement, relevant le bassin, lorsquil était au fond de moi. Ce mouvement était divin.
« Prend moi fort » lachais-je, au bord de la jouissance.
« Baise moi ! Défonce moi ! Putain ce que cest bon ! »
Il me retourna, en me plaquant le buste contre le bureau. Il sagenouilla derrière moi, je sentis sa langue sur mon anus. Que jaimais cette caresse !
Sa langue titillait mon anneau, le pénétrant le plus loin possible. Bientôt, ce fut un doigt qui sinsérait en moi. Je gémissais de bonheur.
Je sentais mon anus souvrir de plus en plus, sélargir de plus en plus. Javais envie de me faire prendre le cul.
Il se releva. Dune pénétration profonde, il réinvestit ma chatte trempée. Je reculais mon bassin à chaque va et viens pour le sentir encore plus profondément en moi.
Je laissais ma main descendre jusqu'à mon clito que je caressais. Jétais prête à jouir.
Il allait de plus en plus vite, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Je gémissais de plus en plus fort. Mon souffle devenait archaïque.
La jouissance sappropriait lensemble de mon corps.
Je sentis ses doigts continuer à jouer avec mon anus. Il en enfonça deux profondément.
Le va et vient de ses doigts dans mon cul, son autre main frottant mon clito, sa bouche contre mon épaule et sa grosse bite dans ma chatte eurent raison de moi. Je partis dans un orgasme fulgurant.
Jhurlais de plaisir. Je sentais ma cyprine gicler et couler le long de mes cuisses. Ma chatte se contractait involontairement, mon anus aussi. Je ne contrôlais plus rien.
Samir se retira de ma chatte brûlante. Javais la sensation dun manque.
Je lentendais craquer une nouvelle capote. De nouveau équipé, je le sentis se positionner sur mon anus.
Ce contact mélectrisait. Il inséra le gland et attendit. Je voulais le sentir en moi. Je voulais jouir du cul. Je murmurais : « prend moi ».
Il ne bougeait pas.
Il se retira, avant de se repositionner. Je lenfonçais dun coup de rein en moi en poussant un gémissement sonore.
Il me déchirait le cul, que cétait bon.
De ma main libre, je lui massais les couilles. Il gémissait de plus en plus fort. Moi aussi. Après quelques fougueux va et viens, je lui demandais de sallonger par terre.
Je le chevauchais, sa grosse bite bien plantée au fond de mon anus. Je me caressais la chatte en même temps.
Sa bite grossissait encore dans mon conduit anal. Jallais plus vite, plus fort en lui. Il grognait. Moi aussi.
Je renversais ma tête en arrière, cherchant de loxygène. Jallais jouir.
Dans un râle profond, je sentis Samir se déverser en moi, son éjaculation provocant ma jouissance. Jhurlais de nouveau, mon corps se tendant comme un arc.
Je mécroulais sur le corps de mon amant dun soir. Jétais bien.
Je mallongeais à ces côtés, encore étourdie par les différentes jouissances.
Je navais aucune notion de lheure et du temps quon avait passé à baiser. Après quelques longues minutes de récupération, je me relevais et mhabillais. Jembrassais rapidement Samir en lui murmurant que ça mavais bien plus et je partais du bureau témoin de nos scènes de sexe.
A lintérieur du garage, les autres invités continuaient à danser. Je sortis dans le jardin pour reprendre mes esprits. Appuyée contre le mur, mon regard se posa sur un objet qui brillait au sol : la canette de Red Bull.
Je souris en lattrapant. Samir avait raison : javais soif.
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