Dans La Chaleur De L'Été (13)

Même si de faire l’amour en plein air était très excitant, Émilie n’avait pas envie de poursuivre les fesses dans la mousse, et nous rentrâmes avec Éric, qui nous suivit bien volontiers.

La maison était plongée dans le noir, et nous entendîmes la grand-mère d’Émilie ronfler doucement dans sa chambre. Arrivés dans la notre Émilie se mit nue et s’allongea sur le lit. Elle écarta les cuisses et se caressa en attendant que nous plongions en elle.

Je m’installais avec Éric entre les jambes d’Émilie et lui montrait comment s’y prendre. Le guidant dans l’exploration buccale d’un sexe féminin. Embrassant l’intérieur des cuisses, courant autour des lèvres, les suçant, les embrassant.

— N’y va pas trop vite, trop fort, il faut du temps, il faut la laisser s’ouvrir à toi. Regarde comme c’est beau, et bon, et chaud, et doux.

Éric plongea à son tour et à tâtons, lécha la chatte bien humide d’Émilie qui gémissait sous ses coups de langue inexpérimentés.

— Tu t’y prends bien, l’encouragea-t-elle, pour une première tu es bon, et si tu continues comme ça tu vas me faire jouir.

Éric, que j’observais en retrait, bandait ferme. Son petit cul se tortillait pendant qu’il bouffait la chatte d’Émilie. Il me faisait très envie et je m’approchais de lui dans l’espoir de pouvoir y gouter.

Me sentant tout proche, il leva la tète et vit mon sexe en érection juste au-dessus de ses fesses.

— Non, dit-il, j’ai pas envie.
— Laisse-le tranquille, me dit Émilie en ramenant la tête d’Éric entre ses cuisses. Laisse-le me bouffer. Ce soir c’est lui qui décide. C’est sa soirée.

Un peu déçu je vins m’allonger à côté d’Émilie et me masturbais en regardant Éric. Il y mettait du coeur, mais Émilie en eut marre et lui dit qu’il était temps de passer à ce pour quoi il était là. Elle l’attira sur elle, prit sa bite et la guida vers son sexe bien ouvert pour la recevoir.

Éric soupira d’aise en entrant en elle. Il resta allongé sur Émilie sans bouger, savourant sa première pénétration.

— C’est trop bon, dit-il, c’est au-delà de tout ce que je pouvais imaginer.
— Tais-toi et baise-moi.

Éric commença ses va-et-vient, cherchant ses marques, son rythme. Hésitant, glissant. Émilie l’embrassait, l’encourageait, le guidait. Je ne me branlais plus, ému par ce spectacle. L’innoncece d’Éric, son plaisir qui montait, son visage qui rougissait, son regard de plus en plus intense.

Il poussa un cri et jouit en Émilie. Il tomba sur elle. Émilie caressa ses cheveux, embrassa son visage, lui dit des mots doux à l’oreille.

Éric se releva, il avait le même sourire ravi que la veille. Il roula sur le côté, ôta sa capote qu’il jeta sur le sol. Je regardais avec envie son sexe flasque et luisant de foutre.

— Il te fait envie, dit Émilie. Il est encore jeune, encore maladroit, mais il a du potentiel.

Éric me regarda. Je me penchais vers lui pour l’embrasser. Il recula. Je n’insistais pas.

— Donne-moi ton cul, dis-je à Emiiie, il faut que je baise.

Émilie se mit en position, relevant ses fesses, et je me glissais en elle sous le regard d’Éric.

— Tu sais, dit Émilie alors que je l’enculais, il n’y a pas qu’une façon de faire l’amour. J’aime aussi qu’on me prenne par le petit trou. Tu veux essayer ?

Il fit oui de la tête.

— Laisse lui la place, qu’il goute aussi au plaisir de la sodomie.

Je me retirais, et après lui avoir enfilé une nouvelle capote, lui prit la bite d’Éric pour la guider vers Émilie.

— C’est différent, lui dis-je, mais une fois que tu as gouté à ça tu ne peux plus t’en passer. Tu pourrais même avoir envie de mon cul.

Éric encula Émilie qui soupira en le sentant entrer en elle. Même si elle avait l’habitude de recevoir des queues, son petit cul était serré et Éric jouit très vite. Je repris ma place et poursuivais ce que j’avais commencé.

Éric était allongé sur le lit, regard dans le vide, sourire béat.

— Je crois qu’il aime, dit Émilie. Il va être un amant très doué.

Je jouis enfin, et tombais à mon tour sur le lit.

Émilie s’allongeât entre nous deux, et prit nos bite en main.

— Ce n'est pas terminé, dit-elle en nous branlant, j'ai encore envie...