Dans La Chaleur De L'Été (14)
Émilie nous branlait tous les deux pour nous faire bander de nouveau. Quand elle nous sentit bien en forme, elle descendit le long du lit et nous prit en bouche. Passant de ma queue à celle dÉric.
Tu aimes te faire sucer, demandais-je à Éric ?
Pour toute réponse il soupira et sourit. Ce sourire craquant qui me donnait envie de lui sauter dessus, de lembrasser à pleine bouche, et de le baiser. Hélas, Éric nétait pas sensible aux charmes masculins, et découvrant juste les plaisirs du sexe, avec une femme, il nétait pas prêt à gouter à ceux que lon peut prendre avec un homme.
Émilie fit glisser Éric jusquau bord du lit, et sempala sur sa queue bien dure.
Vient me prendre par le cul, me dit-elle.
Je me plaçais derrière elle et alors quelle chevauchait notre jeune ami, jentrais dans son petit trou, déjà bien dilaté ce soir.
Émilie gémissait, Éric criait de plaisir. Notre trio réuni dans une dernière étreinte hurla lorsque nous fûmes dévastés tour à tour par lorgasme.
Éric se rhabilla et nous quitta en embrassant longuement Émilie, la remerciant pour cette soirée, pour tout ce quelle lui avait fait découvrir. Jétais un peu jaloux, mais ne dit rien en le regardant séloigner dans la nuit.
Tu aurais aimé lenculer.
ET quil me suce aussi.
Dans la chambre, allongés sur le lit, Émilie me demanda de lui raconter ce que jaurais fait avec Éric sil avait accepté de baiser avec moi.
Jaurais aimé quil vienne vers moi, timide, tremblant, hésitant, et quil me donne ses lèvres. Dabord un baiser chaste, puis très vite, sa langue se serait insinuée dans ma bouche, senroulant autour de la mienne en un baiser torride. Il aurait été surpris daimer ça, daimer embrasser un homme. Alors jaurais senti sa bite se gonfler de désir. Grossir contre ma cuisse, se tendre vers la mienne déjà bien dure. Il maurait jeté un regard plein denvie, mais ne sachant pas quoi faire, comment sy prendre il aurait attendu que je prenne linitiative.
« Il aurait eu un moment de doute, de recul, mais lenvie, lexcitation aurait été la plus forte, et entrouvrant les lèvres il aurait pris mon gland entre elles. Dabord il naurait fait que gouter à ma peau, passant ses lèvres le long de mon membre, le léchant lembrassant timidement. Je serais resté silencieux, le laissant découvrir tout seul le gout, la douceur, lodeur dun sexe dhomme. Puis, dun coup, il maurait avalé, me tenant entre ses lèvres chaudes et humides. Doucement, il aurait commencé à me sucer la bite.
» Toutes ses peurs, ses criantes, ses tabous se seraient envolés alors que sa bouche glissait le long de mon sexe dur. Il naurait plus pensé quà ses désirs, ses envies, le plaisir quil voulait prendre avec moi, me donner, partager. De plus en plus excité il aurait accéléré le rythme, se branlant en même temps.
« Alors, relevant son visage, me penchant pour lembrasser, goutant mon sexe dans sa bouche, je lui aurais demandé de me donner son cul. Éric, bien chaud, naurait pas eu une seconde dhésitation, et membrassant à pleine bouche maurait dit oui.
» Je laurais fait sallonger, écartant ses jambes, jaurais glissé un doigt bien humide entre ses fesses, chatouillant son bouton. Doucement, écoutant ses réactions je laurais glissé en lui, ouvrant son anus, le préparant à maccueillir. Un doigt explorant son conduit étroit, jaurais senti son corps souvrir à ce nouveau plaisir. Un autre doigt, ma main caressant son dos, il maurait demander dêtre tendre, de ne pas lui faire mal en sentant mon gland venir se poser contre son illet. Je lui aurais dit de ne pas avoir peur et de se laisser faire.
« Accentuant la pression jaurais franchi son anus, mon gland entrant en lui et restant là sans bouger, pour quil shabitue à moi, pis jaurais poussé tout mon sexe en lui, jusquà la garde, et aurait écouté son soupir daise en me sentant lenculer.
» Il aurait joui par le cul, criant, hurlant alors que je baiserais son petit trou encore vierge, déflorant son anus en lui faisant connaitre son plus bel orgasme. Il aurait joui plusieurs fois réclamant que je continue, hurlant mon nom. Jaurais obéi, le baisant, lenculant, lui bourrant le cul avec force.
« Jaurais joui et fou de désir pour ma bite, il se serait jeté sur moi, ôtant ma capote souillée maurait à nouveau pris dans sa bouche pour gouter mon foutre.
» Je lui aurais pris la bite, et laurait sucé à mon tour avant de lui donner mon cul. Lui promettant quil était aussi bon que le tien. Bien excité il aurait joui très vite et serait devenu accroc aux hommes. Membrassant à pleine bouche il maurait juré que jamais il noublierait cette nuit et penserait à moi à chaque fois quil sucerait un mec »
Émilie souriait. Elle vit ma bite de nouveau dure et vint sur moi.
Tu nes quun pervers, baise-moi avant de dormir. Tu peux même penser à lui en le faisant.
Je ne revis pas Éric, et neut pas loccasion de le convertir. Je repartis à la fin du weekend, ratant Erwann qui débarqua avec Félix juste après moi.
Lété se termina de façon moins agitée, mais tout aussi plaisante. Claire et moi profitâmes des derniers jours daout pour explorer le recoin tranquille du bureau où baiser en paix. Émilie revint reposée et je la retrouvais avec plaisir.
Septembre pointait le bout de son nez, la lumière prenait cette couleur des débuts dautomne. Et Nina allait avoir 20 ans.
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