Guni 01 Docteur Guni
Guni 01
Docteur Guni
Il est né de l'autre côté de la montagne, son père Tooni était là le jour de sa naissance ( et il a eu du mal à s'en remettre le pauvre ), son autre père Guss ( son géniteur ) était là aussi mais n'a pas assisté à la naissance. Et selon Tooni, au moment de sa naissance, le petit était laid, mais laid ( c'en était à faire peur ). Ça n'a pas duré ! Il a grandi et plus il grandissait plus il était beau, et il a bien grandi
Sa mère l'avait confié à ses deux pères pour qu'il puisse devenir un seigneur. Auprès d'elle il serait resté un esclave.
C'est une enfance heureuse qui passait vite. Très jeune le petit Guni montrait beaucoup de force, il grandissait vite.
A l'âge de onze ans il commençait à s'amuser avec ses petits camarades et à leur faire des misères. Il avait déjà conscience qu'il serait d'un cran très élevé.
À l'approche de l'âge adulte, son père Guss voulait l'orienter vers une carrière militaire mais son second père Tooni trouvait que leur fils avait bien le temps pour choisir. Du haut de ses quatorze ans, le jeune Guni était de cet avis, et il prenait son temps. Il se lançait dans les études supérieures. Ah si, j'oubliais
il continuait à faire des misères à ses petits camarades à chaque fois qu'une occasion se présentait
Arrivé à un âge avancé, enfin pour un célibataire, il était reçu docte-savant. Il avait étudié à peu près tout ce qui s'enseigne, depuis la médecine jusqu'à la musique en passant par la géographie ou encore la littérature
Et c'est ce qui justifiait cette petite fête que ses deux pères organisaient.
Il venait d'avoir vingt ans !
Il avait été un élève modèle, à part bien sûr quand il faisait des misère à ses petits camarades, mais bon, on lui pardonnait il arborait sur l'épaule un tatouage, un joli vingt trois, donc
C'était son cran ! Le cran est défini par rapport à la taille de la bite, c'est tout un truc
Avec ça on se fait pardonner bien des petite taquineries, même de la part de ses camarades qui avaient du mal à s'asseoir pendant plusieurs jours après son passage
Enfin, il grandissait, et profitait de la vie tout en étudiant.
C'était une bien étrange école que celle qu'il avait choisi, le cran ( la taille de la bite ) n'entrait pas en considération lors de l'examen d'entrée. Ces nouvelles idées modernes, moi vous savez, j'ai du mal à m'y faire. Et je ne suis pas le seul, personne n'y comprend plus rien
Dans le temps c'était plus simple, tu avais une grosse queue, tu pouvais faire ce qui te plaisait. Tu avais une petite queue, tu n'avais plus qu'à porter un dispositif de chasteté et faire un bon mariage. Aujourd'hui, tout fout le camps, même si tu as une petite bite tu peux entrer dans une grande école et devenir savant. Il faut tout de même que tu portes un dispositif de chasteté dans ce cas là. Au moins sur ce point rien n'a changé. C'est déjà ça.
Mais enfin il faut bien se dire aussi que si Guni avait choisi cette école ce n'était pas hasard. Lui il avait une grosse queue, une très grosse queue. Ses proportions étaient impressionnantes, la longueur bien sûr, mais au niveau largeur aussi. Tous ceux qui se la sont pris dans le cul s'en souviennent. Certains en redemandaient, d'autre se sauvaient en pleurant leurs pères
Il faut aussi bien se dire que le jeune Guni savait s'en servir, c'est vrai qu'il avait commencé jeune. Il était jeune, très jeune la première qu'il a fait couiner un de ses petits camarade de son âge. Mais bon, il avait de qui tenir. Son père et géniteur, Guss, n'était pas le dernier dans sa catégorie, lui non plus. Enfin c'est une autre histoire mais laissons leur un peu d'intimité.
La fête qui se préparait devait être réussie. Guni avait invité les quarante étudiants qui avaient réussi leur examen. Vingt cinq portaient un dispositif de chasteté. Ceux là avaient une petite bite mais étaient brillants, très brillants. Les quinze autres avaient une grosse bite. Guni avait la plus grosse !
Les étudiants qu'on appelait désormais les doctes-savants, seraient logés dans la maison de famille pendant la petite fête qui devait durer plusieurs jours.
Tooni avait avait fait venir quelques serviteurs supplémentaires, il savait recevoir, et il aimait ça aussi il faut bien dire. Tous les invités seraient traités comme il convient, comme ce nouveau statut de docte-savant leur donnait le droit, et non comme leur cran le leur limitait. Ceux là qui en avaient une petite, seraient des maîtres tout de même. Ils porteraient bien sûr un dispositif de chasteté mais ils seraient des maîtres
Comme je vous disais, avec ces idées modernes il n'y a plus rien à y comprendre
Ça ne semblait pas déranger le jeune Guni ces nouvelles idées. C'est vrai qu'il leur avait à tous pété le cul au moins une fois, mais c'est pas une raison
Enfin, moi je reste convaincu que cette nouvelle mode va passer !
Les invités arrivaient les uns après les autres à la maison. Guss avait repris ses fonction à la tête de la caserne et avait donc délégué tous les pouvoirs à son époux Tooni. En fait je viens de dire une bêtise, Tooni avait tous les pouvoirs dans la maison, et ça c'était pas nouveau !
Les invités étaient reçu par Guni puis aussitôt présentés à Tooni. Ils avaient gardé ce réflexe vestimentaire d'une élégance minimaliste. Et si, en théorie, ils s'extrayaient du classement par le cran ( la taille de leur bite ) les moins bien dotés gardaient une certaine pudeur et portaient en général une tunique qui couvrait, au moins en partie, leur dispositif de chasteté.
Tooni s'était bien habillé pour l'occasion. Il portait une tunique légère qui ne cachait pas sa musculature et s'arrêtait juste au dessous de la ceinture
et des sandales. On voyait du premier coup dil son dispositif de chasteté en ivoire de Dentosaure. Petite bite peut être mais, dispositif de chasteté très haut de gamme
Qui montrait l'amour que lui portait son époux.
Les invités se mettaient ensuite à l'aise.
Je veux dire par là qu'il se déshabillaient
Si vous n'aviez pas compris. Même Lucius retirait sa cape. Il avait une jolie cape qu'il pouvait refermer par devant et qui se transformait alors en une jolie tunique courte qui lui arrivait juste au nombril
et des sandales.
Lui aussi arborait un tatouage sur l'épaule, presque le même que Guni, vingt trois moins, Guni avait vingt trois plus. Les frimeurs ! C'est amusant de voir que plus les hommes ont une grosse bite, plus leurs vêtements sont petits. Les vêtements que portait Guni n'étaient que pure coquetterie, un harnais avec un petit glaive de parade, un collier décoratif en métal, une cape (comme son papa Guss ) et quand il fallait s'habiller pour une cérémonie par exemple il portait une tunique courte et ouverte qui laissait voir plus de peau qu'elle n'en cachait.
Guni les conduisaient alors dans la salle de réception au fond du patio, ils étaient à l'ombre, une table décorée de corbeilles de fruits les attendait, il y avait aussi des coupes en argent et de nombreuses carafes de vin en argent également. Plusieurs serviteurs veillaient à ce qu'il ne manque pas de vin, ni de rien d'autre, mais surtout de vin.
L'ambiance se réchauffait vite. Il y avait des banquettes un peu partout, des fauteuils et une quarantaine de jeunes gens dont quinze seulement ne portaient pas de dispositif de chasteté, et qui laissaient leurs queues se balancer librement, ils s'en amusaient et se pavanaient devant leurs autres camarades qui eux avec leurs petites bite sous clé faisaient un peu miséreux.
A part pour ce détail, les corps étaient beaux, musclés, soignés. Il faut bien se figurer que les porteurs de cage à bite étaient aussi beaux que les autres, aussi musclés, souvent aussi élégants et souvent on aurait aimé trouvé entre leurs jambes une belle grosse bite à la place de ce dispositif de chasteté. Mais le port d'un tel dispositif était obligatoire pour entrer dans cette école, pour les petites bite bien sûr, et pour faire valider le diplôme c'est le port définitif qui était exigé.
Faut pas déconner non plus, moi je veux bien que le monde change mais pas trop et pas trop vite
L'ivresse montait, Tooni passait de temps en temps pour s'assurer que tout allait bien. Lucius dansait devant ses camarades. Un petit groupe de musiciens était arrivé et Guni les avait rejoint. D'autres se mettaient à danser également, Lucius prenait Jovial dans ses bras. Jovial était un de ces porteurs. Il était beau comme un dieu, grand et de très belle carrure mais il avait une petite bite, son tatouage affichait un petit douze.
Ils étaient nus tous les deux et se serraient l'un contre l'autre, se caressaient. Leurs corps se touchaient et la peau de l'un caressait la peau de l'autre. Jovial s'accroupissait et avec une expertise incroyable prenait dans sa bouche la queue de Lucius. Elle était énorme mais il l'avalait sur presque toute sa longueur en un mouvement.
Guni avait arrêté de jouer de la musique il regardait le spectacle et il bandait. Tooni était resté là, immobile, il regardait lui aussi la scène, il était peut être un peu moins impressionné que les jeunes, mais c'est pas sûr, mais malgré tout on voyait son dispositif en ivoire de Dentosaure se relever par a-coups au rythme des battements de son cur.
Un autre de ces jeunes hommes se relevait, choisissait un de ses camarades parmi les porteurs du dispositif, le prenait dans ses bras, l'embrassait, le retournait et lui enfonçais sa bite dans le cul. La victime gueulait mais ne cherchait pas à se défendre. Comme je vous le disais précédemment, tous, sans exception s'étaient fait péter le cul par Guni aussi ils n'avaient plus trop peur de se faire enculer. Tous avaient vu pire, et surtout l'avaient senti passer.
Guni arrivait à son tour, il choisissait le plus menu de ses camarades porteurs, il avait un petit cul bien ferme et une musculature mince, un petit dispositif de chasteté, il avait une toute petite bite mais il était beau. Il était de petite taille c'est à peine s'il arrivait à l'épaule de Guni. Tagui, c'était son nom, avalait sa salive et s'accroupissait devant Guni. C'était Guni le boss, c'était Guni qui avait la plus grosse. Leur titre de docte-savant devait passer au dessus de la loi de la taille de leurs queue mais ce titre ils l'avaient tous, donc. Guni avait la plus grosse queue.
Tagui tentait de la prendre dans la bouche comme il pouvait, il avait du mal le pauvre, le gland passait et sa langue le caressait. Il la faisait tourner autour du gland de Guni qui maintenant gémissait de plaisir, tirait la tête de Tagui vers lui en poussant sa queue plus profond. Elle s'enfonçait, ça résistait mais elle s'enfonçait un peu plus profond, à chaque mouvement elle s'enfonçait encore plus.
Le pauvre Tagui faisait tout ce qu'il pouvait, il s'était déjà pris le bite de Guni dans le cul mais tout le monde sait que ça passe plus facilement dans le cul que dans la gorge. Surtout que quand on se la prend dans le cul, on arrive encore à respirer.
Guni n'était pas un tendre dans ce genre de situation. Ce n'était pas exagéré quand je vous disais qu'il avait fait couiner plus d'un de ses camarades.
Tagui ne cherchait plus à résister, il encaissait comme il le pouvait, il se laissait faire.
A côté d'eux des couples s'étaient formés, il restait encore un dizaine de ces beaux jeunes hommes, tous portaient un dispositif de chasteté, ils regardaient la scène. On pouvait deviner qu'ils ne restaient pas indifférents, leurs dispositifs de chasteté se relevaient et on pouvait voir qu'ils étaient bien chauds. Tous bandaient mais tous devaient faire ceinture, et tous, somme toute, n'auraient droit qu'à une certaine frustration.
Tagui pleurait, il était tout rouge au moment ou son visage s'écrasait sur le ventre de Guni, il avait fini par y arriver le barbare, là c'est de Guni que je parle. Il avait réussi à y entrer sa queue en entier. Je dis le barbare car en amour c'en était un. Sinon il était adorable mais dans les affaires de sexe, c'était un sauvage.
Guni relevait sa victime, pardon je voulais dire son camarade Tagui, le retournait, lui lubrifiait le cul. On pouvait deviner une certaine panique ou au moins une certaine inquiétude dans le regard de Tagui. Puis c'est sans ménagement, sans prévenir que Guni prenait position et poussait sa queue dans le cul de son partenaire.
Il a hurlé le pauvre Tagui, ce n'était pas la première fois qu'il se prenait cette queue dans le cul mais ça lui faisait ça à chaque fois. Il faut dire aussi que Guni ne se prenait pas la tête, ne se posait pas de questions, il poussait, ça rentrait, c'est tout !
Son ventre s'écrasait rapidement contre les fesses de Tagui qui couinait et poussait des gémissements étranges que Guni trouvait toujours très amusants. Il retenait fermement Tagui par les hanches et le tirait vers lui avec force en même temps qu'il lui balançait des coups de bassin. Tagui semblait sangloter mais ne faisait pas un geste pour se dégager. C'était difficile de dire s'il n'osait pas parce que c'était Guni et qu'il avait la plus grosse et qu'il était le fils du chef de la caserne et que
Ou bien si c'était tout simplement parce qu'il aimait bien les sensations fortes. Il faut dire que l'invitation n'avait rien d'obligatoire, un refus n'aurait pas provoqué de problème, ils étaient tous là de leur plein grès.
Avec Guni, c'était garanti, les sensations fortes étaient très fortes.
Guni se retirait alors, il ressortait sa queue totalement du cul de Tagui, se penchait sur lui et lui donnait un baiser, un de ceux qui laisse un marque pendant plusieurs jours. Il faut bien dire que Guni, ça l'amuse toujours de rire
Et il aime bien rigoler le petit.
C'est encore sans prévenir qu'il enfonçait de nouveau sa queue bien à fond dans le cul de Tagui mais là c'était pour bien le lui limer. Il ressortait, quelquefois totalement, puis revenait avec force et violence bien à fond . Il ne retenait pas ses coups de bassin et c'est avec toute sa force qu'il tirait Tagui vers lui et lui limait le cul pendant de longues, de très longues minutes.
Le pauvre Tagui encaissait bien. Autour d'eux, il y avait les autres couples qui s'étaient formés, les porteurs s'en prenait plein le cul, les non porteurs s'en donnaient à cur joie. Il faut bien comprendre et bien se représenter la situation, ceux qui ne portaient pas de dispositif de chasteté avaient une grosse bite et que ceux qui portaient un dispositif s'en prenaient une dans le cul
Et il y avait aussi une dizaine de porteurs qui eux assistaient à ce spectacle avant d'en faire partie. En attendant, en voyant leurs camarade s'en prendre plein les fesses, ils s'inquiétaient ou s'impatientaient selon qu'il avaient le cul encore étroit ou gourmand.
Un de ces porteurs se glissait dans le dos de Guni, c'était Rufius , refermait ses bras autour de lui l'embrassait sur les épaules et dans son dos. Guni le laissait faire, il ne bougeait plus. Puis se retirait et oubliant son camarade Tagui, il se retournait et prenait dans ses bras ce nouveau partenaire.
Guni le retournait il reprenait ou il en était avec Tagui. C'est sans aucune tendresse qu'il lui enfonçait sa queue bien à fond en un mouvement rapide et décidé. Ce nouveau partenaire parvenait juste à lui dire '' Oui vas y défonce moi le cul ! '' juste avant de hurler et de rajouter
'' Doucement pas si fort ! ''.
Vous vous imaginez sans doute que Guni l'a écouté ?
Fin de l'épisode
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@CharlyChast
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