Petite Histoire Sans Importance

Il nous arrive de délirer. Un soir il avoue qu'il aimerait me voir avec un autre que lui. Je préférerais avec une autre femme. Nous transigeons pour un couple. Colette est une amie, mariée à Guy. Ce qui devait arrivé est là, nous sommes invités comme souvent, mais ce soir Colette est d'humeur friponne et le dit franchement : elle a besoin d'un peu de jouissance. André, mon mari prie donc Guy de satisfaire sa femme.
Colette se lève, se montre à nous en se tournant comme une modèle dans un défilé de mode. C'est vrai qu'elle est plus que belle, même moi je le trouve désirable. Je remarque qu'André commence à bander. Guy se niche contre madame. Elle lui dit qu'il n'est pas poli de bander comme il fait, devant les autres. Colette ne fait rien pour qu'il se calme, au contraire. Elle l'embrasse sur la bouche. Je vois même les langues se chatouiller.
André me murmure des paroles chaudes :
Je me verrais bien avec elle sur un lit.
Et moi avec lui sur moi ou même sa bouche sur mon con.
Nous avons parlé trop fort. Colette nous fait part de son désaccord, elle préférerait baiser avec moi. C'est un peu la surprise, tant pour moi que pour Guy.
Pour appuyer ses propos elle vient vers moi, se baisse pour poser sa bouche sur la mienne. Un peu interdite je me laisse faire jusqu'au moment où Colette passe une main sous la robe. Je sais par expérience que ce geste conduit immanquablement vers la baise. Je commence à écarter ses jambes, pas tellement au départ, mais la main monte doucement. Arrive le moment où Colette passe sa main sur ma chatte. Je ferme les yeux : elle va me masturber avec mon accord.
Tout ne se passe pas facilement. Guy se laisse gagner par le désir. Colette continu ses avances vers moi, André regarde, non pas impassible, mais espérant qu'enfin sa femme va se dessaler en tout. Guy ne fait rien pour calmer : il sort sa queue bandée : un joli morceau, même pour moi. Colette arrive à frôler ma chatte.

Je regarde pleine d'espoir la queue tendue de Guy. Cette fois, c'est sur je vais baiser avec un autre que mon mari. Tant mieux en un sens. Colette arrive à prendre dans sa main tout mon sexe. Sans se démonter je prend dans la bouche la bite de Guy. Il est debout, le pantalon enlevé, le polo par terre, il est nu devant nous tous. Sa femme me masturbe, je me laisse faire avec plaisir. Mon mari se lève enfin. Il se déshabille : il est bien fichu comme homme aussi bien que Guy, avec sa grosse queue.
André se place derrière Colette, il passe sa queue dans la raie. Elle ne fait rien pour l'écarter, au contraire, il me semble qu'elle la dirige. Il avance son pubis vers le fessier offert généreusement. Colette va en prendre une sacrément grosse dans le cul. Les deux corps se rencontrent, la pine de mon mari entre dans le cul de notre amie. Elle accompagne les mouvements d'André, le petit salop qui encule une autre que moi, devant moi qui suce Guy.
Les voir ensemble me fait jouir sous la main de Colette. Je ne suce plus Guy, je déguste sa semence en quantité. Presque au même moment Colette lance un petit cri : elle jouit. La bite de mon mari sort de son cul avec des filaments de sperme. Colette ne veut pas perdre cette semence. Elle se tourne pour prendre la queue de mon mari pour finir de la vider. Elle garde des traces de sperme autour de ses lèvres avant de m'embrasser sur le bouche.
Nous sommes vidés, nous nous arrêtons juste pour reprendre nos souffles. J'ai envie de continuer avec elle. C'est moi qui me colle à elle, seins à seins, ventre à ventre, pubis contre pubis. Je sens ses poils contre les mieux. Nous nous tenons les fesses. Là l'envie me prend d'aller moi aussi fouiller son cul.
Nous restons debout, corps à corps, nos mains dans les fesses de l'autre. J'arrive sur son anus un peu avant elle. Je rentre mon doigt puis un autre. Je reçois pareil dans le cul.
Et Guy ? Il est vers mon mari, qui a prit la queue pour la caresser comme je peux le lui faire. Il le branle et mon époux se laisse faire. Il se fait branler par une autre homme et il a l'air de trouver ça bon. Enfin à son tour il att la queue de Guy. Il le branle aussi.
Nous sommes en 69 pour nous sucer, ils jouissent sur nous. S'ils sont à bout de souffle, nous continuons à nous lécher pour le plaisir.