Collection Pute. Grand-Mère Odette. Début De La Saison Iii (7/9)
Les choses se sont précipitées à la fin de la saison II de Grand-mère Odette.
Jai pris un peu de temps pour écrire cette saison, mais les fêtes de fin dannée et des lecteurs et lectrices mont sollicité pour écrire leurs histoires.
Je reprends donc « Grand-mère Odette » mais surtout la vie de Gladys, jeune fille, venue découvrir qui était cette madame Odette Coquelet de Tournai en Belgique.
Cest ainsi quelle découvre, que madame Odette est sa grand-mère que sa maman lui cachait.
Elle découvez que cette vieille dame qui lui ressemble énormément est propriétaire dun bar à pute dans la ville de Tournai.
Merci, Chris, je reprends mon histoire.
Mamy est à lhôpital, victime dun malaise en plein milieu de son bordel.
Oui, jai découvert que ma grand-mère dont jignorais lexistence tient un bar à filles.
Je suis dans une position inconfortable lorsque je suis réveillée par ma copine et maîtresse Sacha ayant les clefs du bordel en venant voir comment les choses se passent pour moi.
Dans ma chatte jai mis un plug que jai prise pour un gode et je me le suis enfilée ignorant son utilité.
Je me lève difficilement, je suis rempli de courbatures.
Sacha sapproche, voyant les difficultés, que jai à me remettre droites.
Oui, Sacha, masse-moi les trapèzes, oui cest bon, continue.
Cest la première fois que lon me masse, cest divin.
Je suis à deux doigts de prendre le joujou devant moi.
Non pas celui pour lanus, le gros celui qui doit défoncer à mort.
Elle est dans mon dos et a une vision de ce que jai trouvé dans le coffre.
Merde ou as-tu eu tout ce fric ?
Dans le coffre de mamy.
Tu las trouvé ouvert !
Oui, jai vu le tableau décalé par la poignée et jai trouvé tous ça.
Jignorais que nos fesses rapportaient autant après la part quOdette nous prend.
On va pouvoir payer les filles pour la journée dhier, je leur ferais simplement signer une reconnaissance de la somme que je leur aurais donnée.
Parles-en à Lala, elle est au courant de tout ça, sétait un peu son bras droit.
Méfie-toi delle, comme la plupart des gens de couleur elle a tendance à être susceptible.
Elle espérait quOdette la coucherait sur son testament.
Elle savait quelle était fâchée avec sa fille qui habitait en France.
Tu as bien cherché, nous recevons des feuilles de paye chaque mois, trouvons les avant elle, tu apprendras un maximum de choses.
Attends, il reste des affaires dans le coffre, mais avant continue, cest si bon.
Jai fait des études de kiné, il y a quelques années, mais jai rencontré mon putain dAnglais qui ma donné Charlotte.
Jai tout abandonné au début par amour, cétait un phallocrate refusant le travail des femmes.
Que je vende mon corps pour élever ses s, lorsquil ma abandonné, a été loin de lui poser le moindre problème.
Il la su !
Oui, chaque année, il vient avec sa pouffiasse, en vacances chez un pote à nous.
Il profite du système de santé belge, meilleur que le leur depuis la mère Thatcher.
Cest une véritable Anglaise, laide à souhait,
Renaud a chanté « La mère Thatcher », mais jignore qui elle est.
Il en profite pour voir ses s.
Dis-moi, ces lingots, sont-ils bien légaux.
Pourquoi ?
Ils sont frappés de laigle avec la croix de guerre des Allemands.
Regarde, ils sont gravés de la Reichsbank en date de 1936.
Pourquoi mamy avait-elle ces lingots venus de cette période trouble ?
Grand-père doit se trouver derrière ça, on verra plus tard, jai dautres chats à fouetter.
Je téléphonerais bien au docteur Sala, il ma donné son numéro.
À cette heure, si tu étais au pieu avec ta femme, tu aimerais quon te dérange.
Sacha, connais-tu le code du coffre ?
Non, peut-être Lala.
Dans limpossibilité de le refermer, aide-moi, jai une idée.
Elle maide et lorsque nous venons de finir, mon portable sonne, il est 10 heures.
« Je suis le docteur Sala, je viens vous donner des nouvelles de votre grand-mère.
Vous arrivez à assumer. »
Bien prévenant ce jeune docteur, je crains la mauvaise nouvelle.
« Votre grand-mère a passé une nuit calme.
Pouvez-vous venir me voir à mon service ?
Jai des dispositions à voir avec vous pour son suivi.
15 heures, cela vous va ! »
Un peu rassuré, jembrasse Sacha qui me quitte, elle doit prendre son travail à 18 heures et doit soccuper de ses s.
Sur le bureau, avant de mendormir et de rêver à ma mère baisant avec celui qui semble être mon vrai père, un dossier attire mon il.
Certainement sa couleur rose.
Il est 14 heures, Lala arrive.
Comment, va la patronne ?
Jaurais plus de nouvelle à 15 heures.
Dis-moi, je pourrais te voir, tu toccupes des payes des filles ?
Moi, je calcule leurs heures et les passes quelles rapportent, cest le comptable qui soccupe du reste.
Chaque fille touche selon ses passes !
Oui, tout est déclaré, cest lui qui tient la comptabilité, Odette lui portait largent et me ramenait les chèques pour chaque fille.
Tu sais, tout est déquerre, tu peux avoir confiance.
Le comptable paye leurs impôts et ceux du bar.
Lempressement que fait Lala à me dire que tout est carré, me met la puce à loreille.
Dans les premiers jours où jai travaillé avec maman, Viviane, lune de ses employées tapait dans la caisse.
Maman, la surprise et quand elle la interrogée, comme Lala, on sentait la peur dans sa voix.
Elle lui a fait vider les poches de sa blouse de travail et un billet de 50 est apparu.
Celui quelle avait marqué au feutre.
Elle la virée.
Je vais aller le rencontrer, note-moi son adresse.
Les deux filles de service à cette ouverture sont là.
Sabine et Sylvie.
Les clients arrivent.
Mamy ma dit quà cette heure, cest beaucoup de Français, venant baiser pendant que leur bourgeoise torche leurs marmots qui passent la frontière.
Ils ont des professions libérales.
Vers 16 à 17 heures, ce sont aussi les hommes de France, mais ceux qui travaillent et qui diront à leur bourgeoise quils ont dû faire des heures supplémentaires.
Bref, le soir, ça tourne aussi avec Belges et Français, les filles sont heureuses chez mamy Odette.
Je remonte au bureau de ma grand-mère.
Je minstalle et jouvre cette chemise rose, javais lu « Lettres dengagements ».
Lettres personnelles, je les étudie, jai une idée et ces lettres vont mêtre utiles.
13 heures, je sais que les visites sont possible, je verrais le docteur Sala à 15 heures, mais avant je passerais pour voir son état.
Je roule avec ma Vespa vers lhôpital quand je passe devant une maison avec une plaque marquée « Serge comptable »
Cest le nom que Lala ma donné.
Je marrête, il faut battre le fer lorsquil est chaud et jai un peu de temps.
Je voudrais voir la comptabilité de ma grand-mère Odette.
Lala, vient de mappeler, elle ma mise au courant que votre grand-mère a eu un accident de santé.
Êtes-vous sûr de pouvoir comprendre la compta de votre mamy ?
Ça aussi cest louche, jai vu maman faire la sienne.
Je prends mon portable.
Lala, peux-tu me faire linventaire de tous mes stocks.
Bouteilles de champagne, boisson, boîte de capotes, gels et autres produits.
Oui, pour mon retour.
Je repars voir mamy.
Votre grand-mère est partie passer un IRM, vous pouvez lattendre dans sa chambre.
Cest linfirmière du service qui me fait cette proposition.
Je minstalle dans le fauteuil pour les visites.
Mes paupières sont lourdes, toutes ces émotions et la nuit que jai passée y sont pour beaucoup.
« Alors connasse, tu as décidé à nous emmerder.
Oui, on pique du fric à ta grand-mère, cette vieille peau qui est pingre.
Oui, on se marre de lavoir baisé depuis des années.
Regarde la queue de Serge, jaime la sucer. »
Lala est nue, dommage quelle soit seulement notre barmaid vue son joli cul.
Si elle tapinait, comparé aux filles qui mont envoyé leur demande dembauche sauf Clarisa, une jolie blonde dont le profile mintéresse, les clients se larracheraient.
Surtout quen plus de sa nudité elle est agenouillée devant le fauteuil du comptable et lui suce la queue.
Belle pratique.
« On vous baise comme je vais baiser ma petite pute.
Tu vois Gladys, je me fais baiser sans lui demander le moindre euro, ce sont les caisses de ta grand-mère qui nous payent. »
Je mouille, je sens que je mouille.
Lala se redresse, je rigole, Serge a une petite bite et bande un peu mollement.
Pas si pro que ça la Lala, avec moi ce beau gosse banderait comme un âne.
Elle sempale me montrant sa chatte de couleur et épilée et ça gicle, ça gicle partout.
Je suis éclaboussée.
Ah !!!
Vous avez un souci mademoiselle Gladys !
Ou, suis-je, à oui, dans la chambre de ma grand-mère à lhôpital.
Comme dans le bureau de mamy, je métais endormie...
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