Laurence

Dans mon dernier récit, j'ai passé en revu mes copines de passage :

http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=18221

Je passais donc mes journées à glander en attendant ma date d'entrée à l'armée, et à me satisfaire avec Sandy.
Avant de vous parler de ma femme, je vais vous raconter ma dernière conquête de passage avant une longue pose.
Il s'agit de la mère de Sonia, Sonia celle qui ne voulait pas remettre le couvert. Alors que je tentais une ultime fois de la convaincre, elle m'envoya draguer sa mère fraichement divorcée. Elle n'était pas vraiment sérieuse mais lorsqu'elle comprit que moi je l'étais, elle en parla à sa mère qui s'en amusa... au début. Mais au bout de plusieurs relance de ma part, Laurence, la maman, accepta une rencontre dans son nouvel appartement à quelque minute de mon village. Elle devait être sacrément coquine et en manque pour se laisser courtiser par un jeune pouvant être son fils. Je me demandais vraiment si toutes les femmes de mon entourage étaient aussi cochonne ! Soit je les attirais, soit on devait se repérer entre "accros"...
Voilà comment je me suis retrouvé un vendredi soir avec une femme d'un cinquantaine d'année. Sonia m'avait donner le numéro de sa mère et cette dernière m'avait "convoqué" par SMS. Laurence m'ouvrit la porte vêtue d'une jolie robe noire, bien décolletée, qui lui arrivait à mi cuisse. Collant noir et escarpin, maquillage parfait, Laurence était vraiment une très belle femme. Elle me fit entrée en se dépêchant de refermer la porte et sans se montrer, certainement pour ne pas croiser le regard d'un voisin curieux.

Laurence : Entres Nelson. Comment ça va ?

Nelson : Bonsoir ! Ça va bien et vous ?

L : Ola ! Tu vas me tutoyer hein ! Et ça va ! Tiens assis toi sur le canapé.

N : Ça va me faire bizarre de vous tutoyer. Je suis encore sur le souvenir de mon enfance où vous faisiez parti des parents d'élèves et où on était venu chez vous pour les cours "avec les mamans".



L : Tu te souviens de ça toi ? C'est marrant... c'était il y a...

N : 10 ans ! Et vous étiez sévère comme maman... mais terriblement sexy.

L : Et ben... tu avais déjà des vus sur moi ?

N : Non, je ne pensais pas à cela mais maintenant que je vous vois, je ne peux plus me sortir votre image de la tête.

L : Ohhhh, tu me fais du rentre dedans ? Et arrêtes de me vouvoyer.

N : Non, je dis ce que je pense. Vous... tu es encore plus belle que dans mes souvenirs. Et tes collants me plaisent beaucoup.

L : C'est des bas... bon on bois un coup ?

N : ... D'accord.

Laurence semblait tendue. Il fallait que je calme un peu mes ardeurs. Il est clair qu'on était là pour avoir plus qu'une petite conversation coquine, mais il ne fallait surtout pas faire peur à la maman comme à la fille. Quand elle se leva pour aller chercher à boire, j’aperçus la naissance de ses bas. Dur pour moi de me contrôler donc...

L : Tiens. (Laurence me tendit la même chose qu'elle, un whisky)

N : Merci.

L : Alors comme ça tu as couché avec ma fille ? (elle s’enfila son verre d'une traite)

N : Tu as envie de parler de ça ?

L : Et maintenant tu veux te faire la mère ?

N : Et toi tu as envie d'un petit jeune ?

Ce dialogue menait nul part et aucun de nous deux ne trouvaient les mots pour déclencher ce que nous voulions. D'un coté Laurence tenter de faire la femme dominatrice pour ensuite se dégonfler, de l'autre je me retenais de ne pas me jeter sur elle de peur qu'elle se dégonfle pour de bon. Alors je décidais de prendre les choses en main "en douceur".

N : Bon écoutes, Laurence, je vois bien que tu ne sais plus si tu as envie de continuer. On est là pour avoir du bon temps non ? Alors on ne doit pas s’embarrasser de discours plein de gène. J'ai envie de te faire l'amour. Si tu es toujours partante, envoies moi un signe concret.


Laurence bu un deuxième verre d'une traite. Elle souffla un bon coup et écarta les jambes. Madame n'avait pas de culotte et avait le sexe parfaitement lisse.
Ça pour du concret, c'était du concret.

L : Purée, tu as raison... c'est juste que ça fait des mois que j'ai pas fait l'amour et tu sais comment c'est... Bon aller on y va !

C'est donc par un cunnilingus que commença réellement la soirée. Laurence s'était enfoncée dans le canapé avec les jambes en l'air. Elle me tenait la tête en me demandant d'insister sur son clitoris qu'elle avait d'énorme.

L : Vas y, aspires le ! Oh que c'est bon !

Ce traitement dura bien 15 minutes. J'avais glissé 2 doigts dans sa fente et je la limais frénétiquement tout en aspirant son bouton tout dur. Laurence était en sueur et avait décidé de retirer sa robe pendant l'exercice. Elle en voulait encore plus en m'expliquant qu'on l'avait pas léché depuis des lustres. Toujours les jambes en l'air, elle s'écarta les fesses avec ses deux mains pour ouvrir encore plus sa fente. Son petit trou s'était ouvert aussi.
Je décidais d'y glisser ma langue tout en frottant son clitoris. Laurence gémissait de plaisir. Elle en voulait toujours plus. Elle avait déjà jouis une fois et sa chatte avait rejeté un peu de liquide. Mes doigts n'avaient plus aucunes difficultés à la pénétrer alors je décidais de lui en mettre quatre.
Le pouce de mon autre main avait gagné son anus. Je bougeais les bras dans tous les sens d’excitation. De son coté, Laurence avait saisi la bouteille de whisky qu'elle avait laissé sur la table basse. L'alcool lui donna du courage et fit tomber toutes ses limites.

L : Défonces moi la chatte, Nelson ! Fist moi s'il te plait ! Et frottes bien mon clito !

J'obéissais avec joie. Cette vieille coincée en manque savez ce qu'elle voulait ! Je ne sais pas pourquoi mais à me moment là, je me demandais pourquoi son ex-mari n'avait pas retenu une dévergondée pareil !

N : C'est courant chez vous ce genre de désir, madame ? (j'insistais bien sur ma main en la fixant dans les yeux)

L : Ohhh la vache !! Oui comme ça !

N : Alors c'est ta première fois comme ça ?

L : Oui ! Mon mari ne voulait pas me faire ça.
C'est un coincé du cul !

N : Ah ouais ? Pourtant tu sembles aussi rétro dans ton genre. Tu caches bien ton jeux ! (Je tournais ma main dans sa chatte, et avec la deuxième je pinçais légèrement son clitoris. Laurence lâcha un long râle de jouissance et laissant tomber sa tête en arrière. C'était vraiment beau à voir)

L : Aaaaahhh... ah oui ! Ah oui que c'est bon...

Nous étions comme figé. Laurence se remettait doucement de ses émotions et moi je me délectais de ce spectacle. Je retirais lentement ma main de sa chatte en contemplant ce trou béant qui se refermait presque aussitôt. Sous les fesses de Laurence, le canapé arborait une belle auréole. Tout me semblait parfait. La vue, le gout lorsque je me léchais les doigts, et l'odeur enivrante. Laurence me regardais faire avec un sourire de satisfaction : j'étais heureux de l'avoir fait jouir comme cela.

L : On dirait que tu as pris autant de plaisir que moi. Ce n'est pas ce genre de mec que m'a décrit ma fille.

N : Elle t'a dit quoi ?

L : Que vous aviez eu un rapport brutal et que tu étais du genre pervers et pressé.

N : Oui... peut être... Avec Sonia c'est la première fois que je me suis rendu compte que je devais me contrôler. Mais en même temps ta fille est canon alors c'est pas évident.

L : Moui... Alors que moi je ne suis qu'une vieille et c'est plus simple...

N : Oh que non ! Tu n'as rien à envier à ta fille. Tu es un canon aussi mais en plus tu as le regard qui va avec ! Si tu savez comme j'ai eu envie de te sauter dessus d'entrer de jeux !

L : ... Tu es bête ! (Laurence souriait à mes compliment) Tu m'as vidé de toute énergie en tout cas. Si tu veux me sauter dessus je ne pourrait pas te repousser.

N : Je suis crevé aussi du coup, c'est que j'ai mal aux bras ! (On riait ensemble de bon cœur)

L : Je vais pas te laisser repartir sans avoir joui. J'ai une sacré dette envers toi ! Et.
.. contrairement à Sonia, je serrais ravie tout avaler.

N : J'osais pas te le demander... des fois que ce soit telle mère telle fille.

L : Allonges toi, je vais te montrer que c'est faux.

Laurence se plaça entre mes jambes, allongée sur le ventre. Elle me prodigua une superbe fellation. C'est surtout avec ses yeux qu'elle fit le plus gros du travail. Il ne fallut pas plus de 5 minutes avant que je lui inonde la gorge de sperme lorsqu'elle me fixa en ajoutant des "mmm". Une vrai salope!

Nous avions tous les deux joui. Après presque une heure à discuter de tout et de rien, nous nous sommes dis au revoir. C'était un au revoir signifiant qu'il n'y aura pas de prochaine fois. De toute façon Laurence avait décidé de quitter la région pour recommencer sa vie. J'ai eu un petit pincement au cœur en l’apprenant. Il s'était passé quelque chose de différent avec Laurence...

L : Bon et bien c'est le moment de se quitter...

N : Comme tu dis oui... (J'étais contrarié et cela se voyait)

L : Ne t'en fait pas Nelson... Je suis sur que tu trouveras une femme... mieux que moi déjà... et de ton âge !

N : Je sais Laurence, je sais. J'espère retrouver ce petit truc que j'ai eu avec toi...

L : Mais oui j'en suis sur !

N : Laurence, je peux te demander une dernière chose ?

L : Qu'est ce que tu veux Nelson ?

N : On s'est pas embrassé... Est ce que je peux t'embrasser ? Ça serait un chouette dernier souvenir de toi.

Laurence m'embrassa dans la foulée, et merveilleusement bien...

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