Baise Avec Ma Tante

J'ai envie de jouir depuis ce matin. Tout le monde est sorti pour des courses en ville. Je vais en profiter. J'enlève juste ma robe d'été pour être à l'aise. J'enlève aussi mon soutien gorge pour ne garder que le string qui ne cache rien.
Je caresse mes seins lentement en insistant sur les tétons que j'ai sensibles. J'étais mouillé en m’asseyant sur le divan, je le suis encore plus. J'écarte le string pour me branler. Je commence par caresser les grandes lèvres puis j'entre deux doigts dans le minou que je fais aller et venir un bon moment avant de venir sur le berlingot.
J'ai en tête ma dernière baise avec mon oncle. Qu'est ce qu'il baise bien. J'envie ma tante qui doit prendre son pied à chaque fois. Il me la mise partout, à m'en faire jouir à tout les coups. Même, si je ne suis pas une fana de la chose en m'enculant.
Je me branle donc, les yeux fermés sans me rendre compte que si tout le monde est sorti, reste ma tante au premier que j'ai oubliée. Tant pis, elle reste tranquille. Mais voilà, elle se manifeste en entrouvrant la porte de la pièce, me voit et vient vers moi couverte de son éternel peignoir. Je ne sais pas comment me cacher.
Je te vois, tu te branle sans rien me dire.
J'ai honte de ce que je fais.
Pourquoi ? Tu te fais du bien, mais si tu m'avais averti de ton besoin, j'étais là pour te faire des machins comme tu n'en a jamais connus.
Je ne savais pas que tu t'intéressais aux filles.
J'aime tout en baise, mon mari a du de le dire quand il t'a fait l'amour.
Elle ouvre son peignoir. Je vois un corps de femme mure vachement bien conservée. Ses seins pointent encore, son ventre est plat comme le mien. Elle vient s’asseoir près de moi, caresse mes seins tellement bien que je mouille encore plus. Je suis vaincue par une femme.
Je me livre totalement à ses soins. Elle enlève mon string pour mettre sa main en entier sur ma chatte. Pour se fixer sur ma praline.

Je sens de suite qu'elle branle fort bien, mieux que moi il me semble. Ses deux seuls doigts me font grimper au ciel rapidement. Ses mouvement lents au départ accélèrent la cadence pour aboutir à mon orgasme violant.
Sa bouche vient sur la mienne, nos langues jouent ensemble le balai de l'amour. Elle m'embrasse bien mieux que mon copain. Je sens qu'elle s'y connaît bien en amour lesbien. Malgré qu'elle soit la sœur de ma mère, je la laisse faire. J'ai droit à des confidences :
Tu sais j'ai baisé la première fois avec une fille pour mes 15 ans. J'ai continué, même si j'aime bien une bite dans le cul. Avec ton oncle, ma vie sexuelle a totalement changée le jour où nous nous sommes rencontré dans une partouze. C'était la première fois que j'ai aimé ce que me faisait un homme, pas seulement dans le cul, mais aussi dans le con. Tu as pu t'en apercevoir hier, quand vous avez baisé. Je n'en suis pas jalouse, il baise qui il veut comme moi je le fais de mon coté. Depuis que nous sommes mariés, je ne sais même pas combien j'ai eu d'amantes ou d'amants ? Nous nous racontons tout.
J'ai un peu honte de me donner comme ça à toi.
Honte de baiser avec moi ? Ça ne va pas. Jouis, c'est le principal.

Tout en parlant ses mains parcourent mon corps. J'en ai des frissons tellement ce qu'elle me fait est agréable. Elle ajoute :
Si tu veux nous pouvons baiser en trio avec mon mari. J'aime assez être à trois pour baiser.
Je veux bien :
Le cri du cœur ou du cul, je ne sais pas, j'ai bien envie d'essayer cette façon nouvelle pour moi je jouer à trois.
Elle continue à jouer avec moi. Sa main passe entre mes cuisses pour les caresser à l'intérieur. Elle est patiente pour monter jusqu'à ma minette. Elle ne s’attarde pas en route pour chercher ma framboise et recommencer une nouvelle masturbation.
Dieu que c'est bon, qu'elle branle bien, qu'elle me fait du bien. Je jouis complètement. Je voudrais qu'elle entre plusieurs doigts dans la cramouille.
Je tiens sa main qui me caressait pour la diriger. Elle comprend vite ce que je veux. Je sens ses doigts entrer lentement, puis rapidement. Je penche ma tête en arrière, je me régale avant de partir encore une fois.
Je veux aussi participer. J'arrive à pose ma main sur sa figue. Elle est au moins aussi mouillée que moi. J'ai donc la facilité de faire ce que je veux. Alors je vais au plus pratique à mon sens : j'entre directement dans son con. J'y entre deux seuls doigts que je fais aller et venir.
Oui, baise moi longtemps comme ça, petite salope. Encore, garce.

Je dois lui faire un drôle de plaisir puisqu'elle se laisse aller dans son délire post orgasme. Je ne pensais jamais pour ma première fois arriver à lui donner tant de plaisir. Je garde ma main dans son sexe, je sens donc tous les spasmes nombreux qui durent longtemps, plus que pour moi.
Nous sommes à égalité en orgasme. Je ne pensais pas qu'un femme de son âge soit tellement attirée par le plaisir de la baise.
Je ne connais pas encore tout.
Nous allons baiser uniquement avec nos cons.
C'est un ordre pas une proposition.
Mets tes cuisses un peu pliées, vient tout près de moi. Tu sens que nos sexe sont près. Allez, force un peu pour me toucher le clitoris avec le tien. Je force beaucoup pour arriver à ce qu'elle voudrait. Là, nous sommes con à con. Je sens d'abord ses lèvres contre les miennes puis cette fois nos pralines se touchent. Et nous commençons à bouger pour que nous fassions des va-et-vient.
Je connais maintenant un des secrets des vrais lesbienne. C'est plus que bon : nous jouissons ensemble. Je voudrais continuer. Elle aussi, mais nous le ferons avec mon oncle. Je rêve déjà de ce rapport entre les femmes et la grosse bite dans ma bouche.
- Je vais te fister.
C'est quoi ?
J'entre toute ma main dans ton con.
-C'est pas possible.
Ne parie pas, tu perdrais.
Ça doit faire drôlement mal.
Ça fait surtout jouir à t'évanouir.

Essayons.
Je ne sais où elle veut en venir, ni comment elle va faire. Je lui obéis en tout point pour écarter mes cuisses. Elle me branle encore un peu, prend ma cyprine qu'elle passe sur toute sa main. Elle s'approche de mon abricot. J'avoue avoir peur. Sans gêne, au contraire, pour moi, elle entre facilement trois doigts, me doigte un peu pour bien m'exciter puis elle ajoute un quatrième doigt ce qui n'est pas sans me donner encore envie de jouir. Enfin elle ajoute le pouce : je regarde comme je peux ce qu'elle fait. Elle serre sa main pour la faire entrer. Là j'ai un peu mal, elle continue sans trop s'occuper de mes états d'âme. Elle entre sa main en entier jusqu'au poignet. Je ne sais ce qu'elle fait dans mon vagin, c'est la débandade de mes points critiques. J'ai à la fois mal et ça me fait du bien (un peu comme dans une première sodomie). Elle continue jusqu'au moment où je m'éclate en multiples orgasmes.
Je ne veux plus qu'elle sorte la main. C'est bon, trop bon, je suis prête à passer des heures ainsi. Et, elle avait raison, je perds conscience de plaisir. Je ne suis pas évanouie, je suis dans les vapes du plaisir trop fort, comme on peut l'être de trop boire.
Je reste immobile quand sa main sort de mon ventre.
- Tu verras, tu auras un peu mal au con aujourd'hui. Branle toi une seule fois avant de t'endormir. Pense à ce que nous ferons avec ton oncle la nuit prochaine.


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