La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°291)
Vanessa au château - Suite de l'épisode N°290 -
Soudain la lourde porte massive de chêne vernis souvre, limposant lustre de cristal sillumine, brillant de mille feux, ce qui contraint Vanessa à fermer les yeux un instant, le temps de shabi à cette nouvelle clarté. Des bruits de discussions se rapprochent jusquà emplir la grande pièce. Personne ne soccupe de Vanessa, elle entend des brides de conversations de tout et de rien, comme si la soirée était des plus banales. Puis dun seul coup, plus un bruit, sans trop comprendre la raison de ce silence, Vanessa tend loreille pour entendre enfin la voix de son Maître prendre la parole.
- Mes amis, soyez les bienvenus en mon illustre Demeure, puissiez-vous y passer une agréable soirée
Mes esclaves passeront parmi vous pour vous servir en boissons, pour les hors-duvre, un plateau spécifique est à votre disposition sur la grande table. Jespère que vous saurez apprécier la très belle sculpture de celui-ci.
Vanessa ne doute pas que tous les regards sont braqués sur elle, et elle sent quasi instantanément son intimité shumidifier davantage. Tous applaudissent laccueil du Maître des lieux, et reprennent leurs conversations. Lapéritif dure très longtemps, Vanessa ne voit rien de ce qui se passe dans la pièce, mais elle entend les verres sentrechoquer et les rires sélever. Régulièrement des convives viennent se servir des délicieux mets qui ont été disposés soigneusement sur son corps, parfois des mains sattardent furtivement à la caresser, sans pour autant insister, comme si la règle était de simplement effleurer
Cependant une main se saisit soudain dun hors duvre posé sur le sein gauche de Vanessa et samuse à titiller le téton érigé quil vient de découvrir.
- Je vois que vous appréciez le support de cet excellent caviar en toast, cher ami.
- Très Cher Marquis, ce plateau est une fois de plus une agréable surprise, vous savez recevoir avec classe, dit une voix qui lui semble familière mais quelle ne parvient pas à reconnaitre.
- Vous êtes linvité dhonneur ce soir, il fallait que vous puissiez apprécier votre soirée à juste titre.
- Japprécie, comme chacune de Vos soirées, bien au-delà de mes espérances, soyez en certain.
Les deux hommes séloignent pour continuer leur conversation, laissant Vanessa dans linterrogation concernant cet homme quelle pense connaître mais quelle ne parvient pas à reconnaitre. Qui peut-il bien être ? Comment pourrait-elle connaitre un ami de Monsieur le Marquis dEvans ? Cette question trotte sans cesse dans sa tête à tel point quelle ne voit pas le temps passer
Une heure après le début de la soirée, les soumises-esclaves qui avaient dressé la table reviennent auprès de Vanessa, elles saffairent à retirer ce qui reste daliments sur son corps, un linge humide et parfumé la nettoie délicatement, puis dautres aliments sont disposés. Elle entend des bruits dassiettes et de couverts qui sont disposés tout autour delle, visiblement la suite de la soirée sera un dîner assis pour les convives. Vanessa pourrait paniquer de savoir quautant de mains seront à portée de son corps, autant de possibilités de faillir à sa mission, mais elle accepte, ce qui lui a été ordonnée, par dévotion à son Maître, avec le calme et la concentration légendaire que ses collègues pompiers lui connaissent. En moins de trois minutes une nouvelle table a été dressée, et de nouveaux aliments ont recouvert de nouveau le magnifique corps de la jeune femme. Une nouvelle fois Vanessa patiente la suite des évènements, dans un brouhaha continu dont elle ne capte quune partie des conversations. Soudain un doigt se pose sur sa joue puis descend délicatement pour caresser ses lèvres entrouvertes.
- La soirée ne fait que commencer, jespère que tu es bien installée, car je serai déçu si tu ne parvenais pas à maintenir cette position qui te va si bien, lui chuchote son Maître à loreille.
Puis le Marquis dEvans prend un verre à pied dans sa main gauche, et de sa main droite y fait tinter un couteau pour attirer lattention.
- Mes chers amis, permettez-moi de vous inviter à prendre place.
Les convives se rapprochent, des bruits de chaises se font entendre, Vanessa devine que chacun sest assis autour de cette grande table, toutefois elle est persuadée de ne pas avoir entendu la chaise de son Maître bouger, ni celle de lhomme situé à sa droite. Et ses sens ne lui font pas défaut, les deux hommes ont patienté que tout le monde prenne place en silence, restant debout pour capter lattention.
- Bien ! Maintenant que chacun est confortablement installé, je tiens à porter un toast à mon cher ami ici présent, sans qui je naurais pas pu vous accueillir en ces lieux chargés dhistoire, ce soir. Je tiens à le remercier devant tous, et comme je sais quil apprécie les mets et cultures asiatiques, le repas de ce soir a été préparé pour lui, à son attention. Ne vous inquiétez pas pour ceux qui ne sauraient utiliser les baguettes, des fourchettes sont également à votre disposition, mais tâchez de ne pas abimer mon beau support, jy tiens !
(termine-t-il sur un ton humoristique tout en regardant un instant Vanessa)
Des éclats de rire se font entendre et tous applaudissent le Maître des lieux. Vanessa ne comprend toujours pas qui est cet homme, et qua-t-il fait pour venir en aide de la sorte au Marquis dEvans. Les convives reprennent leurs conversations alors que le Marquis et son invité dhonneur sassoient enfin.
- Très cher Monsieur le Marquis, merci de cette éloge mais je nai fait que mon travail, et à vrai dire seul, je naurais pas fait grand-chose.
- Certes, mais vous lavez fait avec une efficacité redoutable, tout comme vos hommes dailleurs. Sans vous les flammes auraient certainement atteint plus de pièces et plus dobjets familiaux et multi-centenaires auxquels je tiens beaucoup et venant de mes Ancêtres.
Vanessa réalise soudain que cette voix quelle avait reconnue était celle de son commandant-chef de compagnie, le chef de colonne de lintervention sur le feu du Château, lhomme qui avait en charge le commandement de lensemble des opérations.
- Je suis heureux que le feu ait été circoncit aussi rapidement, même si je déplore les dégâts que mes hommes nont pas pu empêcher.
- Vos hommes oui mais aussi vos femmes ! répond le Marquis sur un ton taquin et amical.
- Vous y pensez encore, décidemment elle vous a fait grand effet, répond le commandant en souriant. A propos, pourquoi aviez-vous besoin de son adresse ?
- Elle avait oublié sa montre sur la table de la terrasse où la collation a été servie, derrière une carafe de jus de fruit, je tenais à la lui rendre par pure délicatesse, je la lui ai fait porter.
- Toujours aussi gentleman cher Marquis, lespace dun instant jai cru que vous aviez dautres idées en tête.
- Il se peut effectivement que dautres idées maient traversé lesprit.
- Sachez que je ne doute pas quelle puisse appartenir à notre cercle, mais pas comme vous limaginez, cest une véritable castratrice, aucun homme ne sy frotte, elle est faite pour tenir la cravache et non la recevoir.
- Les meilleures chefs font souvent les meilleures soumises, ce sont des femmes qui ont bien souvent le besoin de lâcher les rênes quelles tiennent en permanence. Une sorte de décompression nécessaire parfois !
- Certes, je vous laccorde, mais pas elle, lorsquelle nétait que simple sapeur, elle a posé ses règles de suite en arrivant dans son équipe. Aucun na osé les petites blagues de bizutages que chacun subit à son arrivée. Lorsque le blagueur de léquipe a tenté de prendre la température en lui parlant dufs pourrit dans les rangers, elle a répondu avec un calme spectaculaire digne dune dominatrice « tu peux essayer, rien ne ten empêche, mais les ufs, tu les nettoieras à coup de langue si ça devait arriver dans mes rangers, jespère pour ta langue, avoir été très claire, voir même limpide ».
Vanessa se retient de ne pas sourire à lévocation de ce souvenir, elle sétonne que le commandant sen rappelle si bien, elle ne pensait pas avoir marqué les esprits à ce point.
- Je vois, elle a un tempérament de feu, si je puis me permettre ce piètre jeu de mot, mais je maintiens que ce genre de tempérament cache bien souvent une nature soumise.
- Bien souvent nest pas toujours, mon cher ami, elle est faite pour dominer, ça me parait si évident ! En intervention, devant des hommes agressifs, avec un calme impressionnant, un sourire bien placé, elle sait prendre le dessus, parfois sans dire un mot, simplement un regard fixe.
- Je vois que vous êtes persuadé de sa nature dominatrice, écoutez, si nous avons loccasion de la faire entrer un jour dans ce cercle, je vous promets de lui laisser le choix de sa condition, et je lui prêterais même mes soumis avec joie si elle choisit le côté de la cravache.
- Nespérez pas trop tout de même, je ne me vois pas linviter innocemment à une de vos soirées, ponctue le commandant en souriant.
Le Marquis dEvans lui rend son sourire, un il sur Vanessa pour observer ses réactions, mais même si elle est fortement troublée par la présence de son commandant en chef, elle se contrôle à la perfection, comme si son esprit avait abandonné son enveloppe charnelle. Le repas se poursuit, les deux amis continuent de converser, mais Vanessa ny prête plus attention, elle reste troublée sur la présence du commandant, et sinterroge de la suite que son Maître décidera de donner à la soirée. Elle craint quil ne la dévoile, elle craint que cet homme qui la toujours respecté dans le milieu professionnel des pompiers ne la voit plus du même il. Cest un homme quelle apprécie énormément, et elle ne voudrait pas que leur relation soit gâchée parce quelle a fait le choix de vivre la soumission quelle a toujours rêvée
Perdue dans ses pensées, elle ne sent même pas les pics des fourchettes qui viennent volontairement éveiller sa chair à la grande surprise des invités qui félicitent le Marquis de la docilité de Son esclave. Ce dernier sourit, satisfait de limmobilisme de Vanessa, mais Il sait que ce contrôle est dû à ce qui traverse son esprit en ce moment, et savoure le trouble qui la traverse. Le Noble se lève solennellement, sans un mot il obtient lattention de Ses convives.
- Mes amis, jespère que ce met vous a plu, en attendant le dessert, je vous propose un petit moment de détente et de jeux avec Mes esclaves et différents objets qui sont à votre disposition.
Tous applaudissent la proposition et se lèvent dans la joie pour aller profiter et r des corps offerts des esclaves du Marquis dEvans. Vanessa ne voit toujours rien, mais au fil des minutes qui suivent, elle entend le bruit des chaînes, des fouets, parfois même des gémissements. Elle devine aisément quici ou là, on attache, on fouette, on suce, on baise, on encule
Que ce petit moment de détente proposé par le Maître des lieux est en réalité un véritable moment orgiaque ou la Domination perverse sur les esclaves est la principale occupation des Invités qui ont lair de sen donner à cur joie. Finalement elle se réjouit de sa place, même si elle est difficile à tenir, elle nest pas certaine quelle aurait pu assumer aussi rapidement dêtre offerte à autant de personnes en même temps. Les soumises chargées de la table reviennent, tout a été mangé, il ny a plus rien à retirer, elles nettoient Vanessa du même linge humide et parfumé, puis Holly MDE apparait dans son champ de vision.
- Pour le moment le Maître est satisfait, cest bien, continue ainsi, lui dit-elle en souriant. Pour le dessert il exige une autre présentation, tourne toi sur le ventre.
Sans un mot, Vanessa sexécute, mais un peu difficilement tant ses muscles sont engourdis et Holly MDE perfectionne la position, lui replace la tête en la tournant du côté gauche, puis les soumises saffairent une fois de plus à la recouvrir de délicieux gâteaux en tout genre.
- Le Maître tient à ce que linvité dhonneur puisse apprécier les courbes de ton visage, tâche de ne jamais croiser son regard.
La table de nouveau prête, les soumises repartent, sauf Holly MDE qui sagenouille à côté de la place de son Maître, les mains dans le dos, le regard baissé, immobile dans lattente. Vanessa peut la voir, elle se surprend à apprécier la beauté de la position de cette image de servitude et dévotion totale
Dans sa nouvelle position, Vanessa voit une partie de la salle, et ce quelle voit, bien loin de la choquer, lexcite au plus haut point
(A suivre
)
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