Pierrot Ou Un Dépucalage Raté

« Alors, elle est bonne la tante » me dit mon frère Pierre.(voir : un beau mariage)
« Tu sais, j'ai repéré ton manège au mariage ( voir : la main baladeuse) avec elle. L'effet de cuisses à la descente de la 4CV, ton attitude dans l'attente d'un pipi, le temps que tonton Daniel a mis pour vous retrouver et surtout le lendemain matin quand elle t'a collé sa foufoune sous le nez avant de vous éclipser ».
« Ça se voyais tant que ça ? Tu crois que les autres s'en sont rendu compte ? Et tonton aussi ? »
« Penses tu, il était trop bourré. Mais dis moi, si elle est si peu farouche avec les jeunes tu n'aurais pas un plan pour moi, j'aimerai bien en profiter aussi. Elle est belle, et se faire dépuceler par une belle cougar, ça doit être génial . »
« Je ne te promets rien mais nous sommes invités chez eux dimanche prochain pour fêter mes 18 ans. Si ça marche se sera mon cadeau d'anniversaire. »

Dimanche, Ouaah !! Tantine portait une robe, le tissu, je ne connais pas, mais ça lui moulait les fesses d'une façon plus que suggestive.

Le repas, au champagne, fut divin. Elle avait mis les petits plats dans les grands. 18 ans, ça n'est pas rien comme elle dit.

Notre oncle, lui pourtant toujours réservé, se laissa aller à des commentaires grivois aussitôt réprimandé par maman.-A 18 ans c'est temps de te trouver une fille qui te fasses grimper aux rideaux et tu pourras faire l'éducation de ton frère.Il est de seulement 1 an ton cadet, vous êtes pratiquement jumeaux.

Amusée, Dominique me regardait d'un regard complice. Le champagne et les alcools faisaient leurs effets.

« Que diriez vous d'une partie de boules dans le jardin pour faire passer tout ça » enchéri mon oncle à la fin du repas.

Dominique prétexta qu'il y avait la table à débarrasser, la vaisselle à faire. Ma mère se proposa de l'aider. 
« Laissez ça pour plus tard les femmes, venez avec nous »
« Vas y toi, je me débrouillerai bien toute seule pour ranger, et puis les boules, tout au moins celles ci, ce n'est pas mon truc » répondit notre tante.



« Nous sommes partant pour t'aider » l'occasion était trop bonne.

« Et ben ça alors ,c'est bien la première fois que vous vous proposez pour des tâches ménagères, profite en Dominique, ça ne se reproduira pas tous les jours » répondit ma mère.

Et les voilà partis tous les trois, nous laissant seuls avec Domi.

En un rien de temps la table fût débarrassée. Nous nous arrangions pour être derrière elle à chaque fois qu'elle se penchait en avant pour ranger un plat dans le lave vaisselle. Le spectacle de son popotin serré dans sa robe au tissu moulant était on ne peu plus érotique ; (s'en rendait-elle compte ou le faisait elle exprès?) .

Ses fesses rebondies, c'était trop tentant. Je fis signe à mon frère et elle reçu sur chaque fesses une tape amicale mais bien sentie

« Ça va pas, non …. Steve dès que tu vois un cul bien rond, il faut que tu tapes dessus et en plus tu entraînes ton frère à faire de même.. ; C'est pas parce que je vous ai un jour montré mon derrière (voir la leçon de conduite) que toutes les familiarités vous sont permises. Je croyais vous avoir appris à conduire mais aussi à VOUS conduire ».
« Faut pas te fâcher, c'était pour rire ».
« Pour rire, pour rire et parfois ça dérive, n'est ce pas Steve. ...Et puis ce robinet qui coule et tout le champagne que j'ai bu m'est tombé sur la vessie, laissez moi passer, on finira tout à l'heure les saladiers qui ne rentre pas dans ce maudit lave vaisselle » .
« NON, tu ne passeras pas » nous étions positionnés en travers de la porte.
« Comment ça, NON. J'aimerai bien voir ça. Allez, soyez sympas, laissez moi aller aux toilettes, sinon je vais faire dans ma culotte, c'est tout de même pas ça que vous espérez ? »
….....
« Allez laissez moi aller faire mon pipi »Dit-elle en se balançant d'une jambe sur l'autre.

« Petits salauds, ça vous fait bander de me savoir dans le besoin, j'aurais mieux fait de me taire » ajouta-t-elle en entamant une danse-pipi.

« Le saladier, il n'est pas rangé que je saches » lui demandais je
« Exact, il n'est pas rangé, et alors je ne vois pas où est le problème ? ….... Oh ! Non, je crois comprendre, vous voulez que je me soulage dans ce récipient, vous n'êtes vraiment pas bien il faudra penser à vous faire soigner. …. Une dernière fois, laissez moi passer ou je crie et les autres sont tout près. La honte quand je leurs dirais ce que vous voulez de moi ».
« Tu vas crier aussi fort que quand ton curé te baise ? »

 « Comment vous savez ça, vous ? »
 « On s'en doutait en te voyant partir si pimpante à la messe. Les bondieuseries, s'est pas ton truc ,hein !! A ta réponse on en est maintenant fixés . … alors, dans le saladier où nous nous sentirons dans l'obligation de le dire à tous le monde ».

« Du chantage, maîtres chanteurs et voyeurs, on aura tout vu ».

Dépitée, son envie étant plus forte que sa pudeur en un geste bien féminin elle enjambe sa petite culotte qu'elle pose sur la table et prend dans ses mains le large saladier en verre, resté dans l'évier. Rapidement elle fléchit les jambes, jusqu’à ce que ses fesses touchent ses talons. Dans le même mouvement, elle écarte légèrement les cuisses, entrebâillant la fente de son sexe poilu. Elle pose vite le saladier sur le carrelage juste devant elle.
« Vous vous rendez compte de ce que vous me faites faire ? Il faut que je ne puisse plus me retenir pour faire des choses pareilles.»
En tenant toujours les bords du saladier, elle bascule ses hanches vers l’avant pour venir poser ses genoux, l’un après l’autre, sur le sol. Elle est maintenant à califourchon à l’aplomb du récipient, les cuisses largement ouvertes. Elle cambre son dos et glisse l’index et le majeur de sa main droite entre les grandes lèvres de son sexe.
Pierrot et moi sommes fascinés par le spectacle

Ses deux doigts en ciseaux ouvrent sa vulve. Ses petites lèvres sont très ourlées et leur plissement forme, en leur milieu, une sorte de lobe proéminent.
Ses doigts nous révèlent l’entrée du vagin et le méat.
Elle est en position. Son ventre s’arrondit légèrement. De ses doigts, elle presse de chaque côté de ce petit petit orifice. Le méat s’avance, pointe, hésite. Une première goutte dorée perle immédiatement, suivie d’un jet bref, qui manque de peu de passer par-dessus le rebord du saladier. De sa main libre, elle att vivement le plat et l’incline vers son sexe. Un second jet court atterrit cette fois au fond du plat.
Maintenant que la position est bonne, elle laisse tout aller. Toutes ces opérations sont faites bien sur avec précipitation tant son envie est grande
Le jaillissement de l’urine est impérieux, pressé, abondant, sonore. C’est l’épanchement franc et libérateur d’une femme qui se soulage. Je la sens toutefois crispée, et si les autres revenaient, quel spectacle et quelle honte. Le jet dru siffle et chuinte à la sortie du minuscule orifice, puis frappe le verre avec un son cristallin, dont le ton change à mesure que le récipient se remplit.
Le jet faiblit, se fait saccadé, puis s’arrête. Elle force pour évacuer de grosses gouttes, ce qui lui fait ressortir l'anus. Une dernière poussée, mais seul un mince filet coule cette fois sur l’entrée rosée du vagin et s’évacue le long du périnée.
Dépliant les jambes, elle se relève. Les dernières perles ambrées s’égouttent de son sexe toujours ouvert et tombent dans le saladier en faisant -flap flap-
 « Ouuuff !! » fait -elle. « Il était temps, le champagne c'est vraiment diurétique »
Elle s’accroupit de nouveau, att le récipient en prenant bien soin de ne rien renverser , et se redresse, en examinant l'impressionnant volume d’urine que sa vessie soulagée a rendu.
«  Eh ! Ben dites donc les jeunes, je crois que j'en ai fait plus que j'en ai bu ».
Nous la sentions soulagée car une fois le saladier vidé, elle déchire un carré de papier essuie-tout du rouleau placé à côté de l’évier. Elle écarte les jambes toujours tendues et se cambre, tendant vers nous son fessier.
Sa main droite descend entre ses cuisses ouvertes et, d’un geste rapide, elle passe le carré de papier plié en deux tout le long de sa fente pour l’essuyer.
« Et voilà, je m'en doutais, l'histoire se répète » nous lança-t-elle en se retournant. En effet, nous avions, pendant qu'elle s'essuyait, sorti nos dards tendus à l’extrême à la vue du spectacle qu'elle venait de nous offrir. Mais nous n'avions pas l'intention de nous branler comme dans la situation de la leçon de conduite. (voir fin de : la leçon de conduite)
« Pierrot aurait une requête à te faire ?» 
« Je vois, pas besoin d' un dessin, tu ne veux pas te branler tout seul, tu veux que je le fasses, et pour toi ce sera la première fois qu'une autre main que la tienne sera à la manœuvre »
Il répondit d'un simple hochement de tête .
« Allez viens me voir ne sois pas timide. ...Ah ! ta queue est plus incurvée et moins longue que celle de ton frère mais avec elle tu vas faire des ravages à l'avenir »
Elle s'accroupit, s’emparât alors de son sexe, sa main entourant la hampe elle commence un mouvement doux de va et viens puis ouvrant la bouche elle s’apprête à le sucer. Le pauvre Pierrot ne résista pas au contact des lèvres charnues de sa tante, sans un mot, il lui éjacula dans la bouche, Dominique surprise eu un mouvement de recul si bien que les autres jets allèrent s'écraser sur sa joue et le col de son chemisier.
« Pardon, pardon » fit Pierre complètement honteux de ce qu'il venait de faire «mais,  mais j'étais à la limite de maculer mon slip, c'est la première fois tu sais.  Tu crois que je suis un éjaculateur précoce ?» ajouta-t-il affolé.
« Mais non, c'est parce que tu n'as pas encore l'expérience et que je te fais de l'effet. C'est aussi peut être parce que je sais bien m'y prendre avec les jeunes mecs, n'est pas Steve ».
« Euh, oui, c'est peut être ça. Je vais lui faire voir comment on s'y prend, appuie toi sur l'évier et montre nous ton beau cul »
« Si je fais ce que tu me demandes tu ne dira rien à ton oncle au sujet du curé, promis »
« Nous n'avions aucunement l'intention de moucharder et nous étions même prêts à te laisser aller pisser, mets toi en position pour la première leçon »
Domi cambre les fesses en arrière, le ventre sur l'évier ( je ne me lasse pas de ce cul bien arrondi) J'écarte alors ses fesses pour contempler son petit trou qui m'avait accueilli il y a un petit moment déjà. Ce n'était plus le même, il était moins beau, les fameux 36 plis (voir : la leçon d'anatomie) étaient violacés et fripés. On aurait même dit qu'il n'était pas complètement refermé.
J'en fis part à ma tante :
« Qu'est ce que t'as fait avec ton trou de balle, il n'est plus le même. Ce n'est pas Daniel qui t'as arrangé comme ça, je l'ai vu encore en état après qu'il t'es sodomisé, ce n'est pas moi non plus, je l'aurais remarqué. Tu t'es enfoncé un plug ou quoi ? »
« Pendant que tu fais des réflexions sur mon oignon, moi j'attends. Si ça ne te plais pas, je rabats ma jupe et tchao. Me mettre un plug, je rêve ou vas tu chercher ça ?»
« Si c'est pas tonton, ni moi ni un objet contondant, c'est quoi alors ?...... J'y suis : ton curé !! c'est ton curé, je savais les noirs bien montés mais à ce point là, il doit te déchirer le fion le porteur de soutane. Faudra lui dire qu'il arrête de t'enculer pendant un moment, il faut te mettre en convalescence de sa bite, ou alors dis lui de te prendre par devant. »
« Et d'une il ne porte pas de soutane, et me prendre par devant comme tu dis ça ne l’intéresse pas, la seule chose qui le fasse bander c'est mon p'tit trou »
« Il aimerait pas aussi bien les hommes que les femmes ton de chœur ».
« C'est pas ton problème, alors tu me la mets, tu vois bien que Pierrot attend sa leçon, il est tout triste de l'incident de tout à l'heure et il ne s'en remet toujours pas »
Sans crier gare je lui enfonce mon mandrin dans la chatte et la pistonne sans amour ni conviction, elle se tortille bien un peu mais je pense que le cœur n'y est pas. Cette fois c'est pas terrible. Sans attendre de réaction de sa part je ressors de son trou trop lubrifié et viens me branler sur le bord de l'évier. Malgré le peu d'enthousiasme je suis surpris par mes grandes giclées de foutre qui viennent se briser dans le saladier, resté là depuis la pissée de la tante. C'est à ce moment précis que les joueurs de boules firent une entrée bruyante dans la maison.
« Ça donne soif, tu n'as pas quelque chose à boire » demande mon oncle à son beau frère sur le pas de la porte ;
«Eh-oh ! Eh-oh ! Vous êtes là les s et toi Domi où es tu ? » vociférait maman en entrant dans la cuisine.
Inutile de dire que nos quéquettes regagnèrent nos slips aussi vite que Dominique rabattit sa jupe. J'en profitais au passage pour faire disparaître dans ma poche sa petite culotte restée sur la table.

« Vous en avez mis du temps pour cette vaisselle, je te l'avais bien dis, ils sont nuls dans les taches ménagères, ils auraient mieux fait de jouer aux boules. Et puis vous n'avez même pas fini, et la vaisselle n'est même pas bien faite, regarde moi ça, il reste du jus de citron et de la crème chantilly dans le saladier, décidément vous êtes nuls, je te plains ma pauvre Dominique d'avoir eu à supporter ces incapables »

Si elle savait notre pauvre mère : du jus de citron et de la crème chantilly alors que c'était un restant d'urine de la tante mêle à mon foutre, elle est de plus en plus naïve.

« Bon les s (elle n'agace à toujours nous appeler mes s) il est tard, votre père a fini sa bière, nous partons, dites au revoir et merci ».

Mon frère fit un bisou appuyé à sa chère tante, moi je lui glissais à l'oreille « merci, pour le cadeau »

Fronçant les sourcils je devinais son interrogation « le cadeau, quel cadeau ?»


« Mais ta petite culotte portée, voyons. Je l'ai récupérée sur la table de la cuisine » lui susurrais je à voix basse .

En guise de réponse j'eus droit à une volée de petits coups de poings sur les épaules.

C'est avec des grands 'au revoir' du bras que Daniel et Dominique saluèrent notre départ ; En regardant de plus près il me semble que tonton pelotait le cul de sa femme.

D’où ma question : il va s'apercevoir que celle ci ne porte pas de culotte.
Que va-t-elle inventer pour justifier l'absence de ce petit bout de tissu ?


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